Laïus, topo et cliché

Vacances

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La fin d'une aventure

Peut-être qu’un jour, une rime d’un poème, une phrase d’un texte ou une photo d’un article resurgira dans votre mémoire. Vous sourirez. A ce moment-là, vous vous souviendrez de Cocktail, ce fameux site où vous publiiez des articles lors de votre dernier cycle. Vous voudrez rechercher ce blog sur internet mais vous ne le trouverez pas, il n’existera plus. Vous serez déçu de ne pas pouvoir retrouver les si beaux textes écrits par certains élèves. Vous regretterez de ne pas avoir gardé des traces de ce site créé par notre enseignant. Alors profitez maintenant d’enregistrer vos œuvres ou mêmes celles des autres si elles vous plaisent. Vous pourrez les relire dans votre canapé, âgé de six ou septante-sept ans. Vous raconterez à vos petits enfants:
«Quand j’avais votre âge, on rédigeait des textes, des poèmes et on faisait des photos lors du cours de français. On les publiait sur le site Cocktail. Malheureusement, je ne peux pas vous le montrer car il n’existe plus.»

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Chiara et Tina

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Cocktail

Pasted Graphic

On a commencé en duo et nous finirons en duo. Notre premier texte ensemble s’appelait « Le journal de Lucie »,
et notre dernier sera « Cocktail »
Des fois, nous avons eu de la peine à trouver l’inspiration, mais malgré ça, nous avons toujours écrit des histoires. On se réjouissait toujours d’avoir le français pour écrire nos textes. L’année passée nous avons eu beaucoup d’inspiration, cette année moins. Merci à Monsieur Prod’hom d’avoir créé ce site, nous avons eu beaucoup de plaisir,
Merci pour tout vos conseils qui nous ont bien aidés.
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Un dernier post-it

Quel message pourrions-nous transmettre pour notre dernier post-it? Quelque chose qui marque les esprits, quelque chose dont on se souviendra toujours. Un message joyeux parce que nous aimons que nos lecteurs aient le sourire en lisant nos post-it. Des phrases détournées jusqu’aux textes poétiques en passant par les innovations, nous terminons nos deux ans sur Cocktail. Les émotions sont partagées, bien sûr, on est triste d’arriver à la fin mais on est tout de même heureux d’avoir contribué à ce blog. Peut-être qu’un jour vous aurez besoin d’un post-it pour noter quelque chose à ne pas oublier. Au moment où vous le détacherez, vous penserez peut-être à nous. À nous qui détachons le dernier post-it du paquet aujourd’hui et griffonnons ces quelques mots:

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Post-it

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Trahison d'automne...

Es-tu déjà rentré dans cette forêt...? Elle te charme, t'emporte et ensorcèle tes pensées... Elle t'aveugle de ses douces couleurs d'automne, et fait de toi sa simple marionnette. Si tu pars explorer ce bois, tu y resteras. Mais pour en sortir, tu devras toi aussi jouer un double jeu...
Des mensonges s'entassent sur toi et avec le temps, ils t’étoufferont. Seul le vent te libérera... L'hypocrisie des gens t'enfoncera au sol. Tu seras une racine prisonnière de ce vieux chêne, au milieu de cette vaste forêt...

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Personnes innocentes

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Voilà tout est dit

Voilà tout est dit,
Cocktail c’est fini.
Et M. Prod’hom s’en va aussi.
Je lui dirai quand même merci,
Bonne retraite!
Pendant qu’on travaille,
Vous, vous faites la fête.
Vous allez bien vous amuser.
Nous on va tout recommencer,
Et on n’est loin de s’amuser…

Tim

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Le journal de Nicolas (6)

Dimanche, 5 octobre 2014

Cher journal,

Ma mère ne m’a pas laissé aller à l’anniversaire de Matthieu. Sur le moment, j’étais triste et fâché. Je n’ai pas parlé à ma mère pendant tout l’après-midi du lundi.

Mardi matin, je lui ai demandé pardon parce que je n’aime pas être comme ça avec elle. Elle m’a expliqué qu’elle ne voulait pas que j’aille à la fête d’anniversaire de Matthieu parce qu’elle travaillait tard le samedi soir et qu’elle avait besoin de moi pour garder ma sœur. Plus tard à l’école, je n’ai pas dit la vérité à Matthieu, je lui ai menti, j’ai dit que j’allais être présent à son anniversaire.

Samedi après-midi, mes parents sont allés travailler et moi je suis resté tout seul à la maison avec ma sœur. Je ne savais pas quoi faire car l’anniversaire commençait à 15h00 et c’était déjà 14h30.

Je suis rapidement monté dans ma chambre pour me changer et emballer le cadeau de Matthieu que j’avais acheté mercredi. Il était 14h50 et ma soeur s’est endormie alors j’ai pu partir tranquille à la fête.

Super anniversaire! Tout le monde est venu. J’ai passé une très bonne soirée et je me suis fait plein de copains et copines. À 16h00, Matthieu nous propose de manger le gâteau pour ouvrir les cadeaux. Ensuite, on a continué à parler et à jouer.

À 18h30, je suis rentré et il y a eu un imprévu, mes parents sont rentrés avant moi et ils m’ont puni. Je ne peux plus sortir ni écrire mon journal à partir de lundi. Je suis vraiment mais vraiment triste de ne plus pouvoir écrire.

Nicolas

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Le Journal d'Hugo (23)

Le vendredi 26 décembre 2014


La pire chose qui aurait pu m’arriver est arrivée. Heureusement pour moi, mon père était derrière moi pour me rattraper lors de ma chute. Elle, celle que je déteste le plus au monde vient d’arriver, ma mère! Avec papa, on ferme la porte à clé à toute vitesse puis on retourne à table sans rien dire. Elle sonne une deuxième fois, cette fois c’est grand-père qui lui ouvre, il ne l’a pas reconnue. Deux minutes plus tard, je ne sais pas ce qui s’est passé mais maman a réussi à entrer dans la maison et à venir s’incruster à table avec nous. Après une longue discussion entre papa et cette sorcière, ils se dirigent vers moi, papa avec une tête d’enterrement et maman a la tête d’une personne qui aurait gagné au loto. Bref, je sens que rien de bon ne va m’arriver. Papa commence par me remémorer tous les bons moments qu’on a passés ensemble et il en a les larmes aux yeux. Maman poursuit en disant que la vie n’était pas si mal chez elle. Elle ajoute qu’une petite désintoxication de jeux vidéos ne me ferait pas de mal, dit que le luxe n’est pas fait pour moi et conclut en parlant de ma prise de poids chez papa. Le résultat: je dois partir, retourner vivre avec maman sans Arthur, tout seul. Rien que le fait de partir m’horrifie, mais en plus sans mon frère, avec qui je vais pouvoir jouer à la play? Ah non… j’oubliais, chez maman il n’y a rien, juste une télé que j’ai le droit de regarder une fois par mois.
Et même si je ne m’entendais pas avec lui je voudrais qu’il vienne avec moi, pour qu’il n’y ait pas de traitement de faveur. On ne va pas se le cacher, vivre chez mon père ou chez ma mère ce n’est pas la même vie. Malheureusement, je crois que la mienne sera chez ma mère et pour en rajouter une couche, je pars demain matin à la première heure. Il ne me reste donc plus qu’une heure chez mon père. À minuit, ma mère m’appelle: « Hugo, mon petit chéri, viens voir maman, c’est l’heure du départ. » Je serre toute ma famille dans mes bras en espérant les revoir bientôt. Mon petit frère me dit en rigolant par désespoir: Ciao ciao Hugo!

P.S: Grand-papa m’a tout expliqué, c’est lui qui a invité maman, car il ne l’a pas reconnue et dit toujours que Noël est un moment convivial que l’on partage avec tout le monde, voilà la raison pour laquelle il l’a laissée entrer et venir manger avec nous. La bêtise de grand-père va me coûter cher!

Je n’en peux plus d’écrire tous mes problèmes sur un petit bout de papier, je crois que je ne m’en sortirai jamais, en fait je ne crois pas, j’en suis persuadé.

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Les mondes parallèles... (final)... seléllarap sednom seL

Je me relève et après avoir nettoyé mon jeans, je lève la tête et vois Karl, mon grand ami. Après une courte discussion, nous redevenons les meilleurs amis du monde et nous décidons de repartir. En effet nous avons remarqué que nous sommes tout les deux tombés dans la bouche d’égout, et donc, si nous sautons à nouveau nous ressortons chez nous. Nous allons donc à la bouche la plus proche de l’école car nous voulons voir à quoi elle ressemble dans ce monde parallèle.
Arrivés là-bas nous voyons Mme Lecoultre qui semble perdue mais elle n’avait qu’à pas nous mettre ce 3.5.
- Goodbye Mme Lecoultre and luck good.
Dis-je et nous sautions dans la bouche en ricanant...

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Les mondes parallèles... (final)... seléllarap sednom seL

- Eh! d'où viens-tu, toi?
- Je ne sais pas, mais... Tu es Karl!
- Quoi, tu me reconnais!
- Bien sûr; mais où étais-tu? Je t'ai cherché partout.
- Ben... là , de l'autre côté de la bouche d’égout.
- Coïncidence, il m'est arrivé la même chose.

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Les mondes parallèles... (Avec Paulo 2)...seléllarap sednom seL

Bon, je me décide à lui parler maintenant que mon fantôme est parti.
- Oh! Ah, eh! Bonjour. Qui êtes-vous?
Enfin, je ne sais pas, moi j’étais quelqu'un, et vous?
Vous savez, je voulais dire... euh non. Je ne suis personne.
Arrêtez de me parler, il faut qu'on discute.
Qui êtes-vous? Je m'appelle Karl.
Ah! Mais tu t'appelles Paolo.
Bon ben, salut!
Je ne suis pas plus avancé...

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Les Moines Plutoniens (12)

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« Crève sale… CASSEROLE ! »

Grobrt, un Raton-Laveur


FINAL SAISON 1

Quand ils arrivèrent au sous-sol, ils furent surpris de découvrir une gigantesque installation, visiblement une espèce d’usine à clones. Dans le fond, on pouvait voir une personne se mouvoir dans l’ombre.
- C’est trop tard, chers amis, cria une voix familière.
- Bah non, c’est même pas midi enflure ! rétorqua Dagan
- Vous avez une heure de retard, ça a changé à cause de l’équinoxe.
- Ah… Mais il n’est jamais trop tard pour te tuer, salaud !
Un silence s’installa dans la pièce. Tandis que l’équipage se grattait le coude, le vendeur, lui, rigolait d’une manière très forcée et irritante.
- Tu va te la fermer, oui ? cria Thrani en lui tirant dessus.
Le coup fut réfléchi par un champ de force, et le vendeur répondit :
- Oh que non. Voyez-vous, j’en ai mare de ce monde de fascistes! Sous prétexte que je suis un migrant d’un autre monde, on me maltraite, et on me force à faire des travaux peu gratifiants. Et pour y mettre un terme, j’ai pris contact avec des gens très influents.
- Mais on s’en fout ! aboya Dagan
- Mais vous allez m’écouter jusqu’à la fin, mes amis. Ces gens m’on offert de vendre la gamme d’implants BT-08X34. Ces implants possèdent une puce capable de faire impl…
- On s’en fiche ! Viens ici espèce de lâche, qu’on se batte d’homme à homme !
- Non. Je vais juste faire exploser cette cité, et moi avec, dans le but de détruire ce monde que je déteste ! Par contre j’ai des robots pour vous…
A ce moment, une dizaine de robots arrivèrent et se mirent à leur tirer dessus. Ils réussirent à tuer Hemaed, qui n’avait pas eu le réflexe de se mettre à couvert.
Pendant ce temps, Thrani écrivait un message à quelqu’un, pour le prévenir qu’après sa fuite, il ne reviendrait jamais. En même temps, Dagan se mit à crier des inepties sur ses ennemis, tout en leur balançant des grenades, ce qui causa d’ailleurs une brèche de l’une des réserves de gaz de l’installation.
Et tandis que continuait le combat, Thrani envoya son message, avant de tenter une charge héroïque. Il réussit à détruire quelque robots, mais il ne fit pas long feu avant d’être blessé à la jambe et de sombrer lamentablement dans les tréfonds. Il ne restait plus que Vilip et Dagan, et encore, ils n’avaient qu’une minute avant que le vendeur taré ne fasse péter tout le monde. Vilip se glissa discrètement derrière l’ordinateur principal. Mais, comble du malheur, celui-ci se trouvait en dessous de la bombone de gaz neurotoxiques percé. Il fit exploser l’ordinateur, ce qui le tua sur le coup. Mais maintenant, le vendeur se mit à crier :
- Qu’avez vous fait ? Mon plan était parfait !
- T’es trop cliché, espèce de sale terroriste, gueula Dagan avant de vider toutes ses munitions pour briser le champ de force.
Ce fut alors qu’il chargea l’homme avec son couteau, mais comble du malheur, il marcha vers la porte. Avant de la claquer, il dit :
- Bonne chance avec les robots !
Ce fut alors qu’une grosse quinzaine de robots arrivèrent. Dagan ne se laissa pas déborder, et les extermina sans vergogne. Vague après vague, il finit par se faire tuer, débordé par des robots en surnombre.

Ainsi se termine la saison une des Moines Plutoniens, j’espère qu’elle vous aura plu, et n’hésitez pas à mettre des commentaires pour dire ce que vous avez pensé de cette série.

David et Evan

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(...)2

En fait les bruits … c’étaient pas papa et maman, c’étaient des … que papa grillait et maman se faisait à manger pour son … de midi. Enfin les parents partis au travail, je m’habille et me dépêche d’aller faire les courses avec Mathilde ma … soeur, car demain c’est mon … avec les copains. Nous avons acheté un …, des chips aux … et des bonbons. Quand nous sommes rentrés, Mathilde m’a aidé a … la maison. A 15 heures 27, on a tout … et tout … pour demain, alors on appelle maman, on lui demande si elle est d’accord qu’on aille à la … . Elle est d’accord mais à condition que nous soyons à la … à 20 heures 15 maximum. Quand nous arrivons à la …, maman m’appelle.
- Allô mon fils.
- Oui maman, qu’est-ce qu’il y a et pourquoi tu … ?
- Didi est mort, un … l’a mangé
- Ohhhhh nan, pas Didi. Je t’avais dit de faire plus … à lui.
- Désolée de t’apprendre cela maintenant alors que tu es …
- Pas de souci. A tout à l’heure.
- N’oublie pas de … à l’heure.
- Oui, pas de souci.
A 20 heures 15 nous sommes arrivés à la maison. Personnes n’est là. J’entends un bruit dans la cuisine et là...
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SUDDEN CHANGE

Episode 4:
My first MISTAKE

28 décembre 2001:


7h02 c’est l’heure de la douche. En enlevant ma serviette, Mirko me regarde, je n’aime pas, il s’approche de moi en me disant:

-Yeah! le nouveau. Dis donc, t’es bien monté, dit-il d’un ton charmeur

Je ne réponds rien et trace ma route, le regard baissé pour me doucher. Il revient en me touchant l’épaule, je n’apprécie pas. Je finis par arriver dans ma cellule et Mirko revient vers moi en me touchant le fessier; cette fois-ci, c’est trop, je me retourne et le repousse jusque dans la cage d’escaliers, il tombe du 3 ème étage, cela fait un bruit creux et résonne dans le bloc… Il est mort. Les gardiens arrivent sur les lieux de mon crime, je panique mais, à cause de mes nouveaux amis les Allemands, les gardiens ne me regardent même pas: j’ai… j’ai commis un meurtre.

29 décembre 2001:


Deux Allemands m’attendent là devant ma cellule pendant notre contrôle hebdomadaire. Ils commencent par engager la conversation:

    Je leur réponds par un geste de la main. Ils me regardent en attendant quelque chose pendant plusieurs minutes, je comprends très vite qu’ils veulent une réponse. Pendant un instant le temps s’arrête dans ma tête, j’ai une seconde pour donner ma réponse. Je me dis qu’avec des personnes qui font la loi dans la prison, j’aurais plus de moyens pour réaliser mon projet… Bien évidemment mon choix est difficile, j’accepte la proposition, leur réaction est chaleureuse à mon égard. Ils me prennent le bras pour m’emmener voir leurs armes fabriquées de leurs propres mains: des couteaux et des brosses à dents fusionnées aux lames de rasoir. Discrètement l’un d’eux me donne un couteau et me dit:

    - Cela est pour toi mon frère!.
    - J’apprécie ton geste, camarade!

    Je poursuis la conversation avec un “Qui êtes-vous dans cette prison?“. Ils me répondent en même temps, avec un regard dominant:

    - Nous sommes les frères Schmidt. demain 10 heures précises devant le bloc A, nous serons tous là…

    Avant que j’aille me coucher, il me reste quelques lames de rasoir, j’en prends une pour me fabriquer une autre arme. En posant ma tête sur mon oreiller, j’entends des prisonniers qui chantent et les Allemands qui insultent les autres « races ».

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    L'affaire Kate (4)

    Les cacahuètes étaient éparpillées, ce qui laisse deviner que la personne qui les mangeait a dû partir subitement. La porte arrière à moitié ouverte ne laisse plus aucun doute, la personne s’est enfuie.
    Pourquoi me fuirait-elle ? Cette affaire est décidément la plus complexe que je n’aie jamais eue.
    Suite à son départ soudain, je décide de franchir la porte; un taxi passe devant moi comme si ses passagers me narguaient. J’ai deux choix, rester avec Bill à moitié bourré, ou bien suivre le taxi dans lequel se trouvait Kate.
    Je saute dans ma voiture, je vais en direction de Goldenstreet. Le taxi s’arrête après vingt minutes devant un club pas très catholique. Je parque ma vielle bagnole. Un géant m’empêche d’entrer, j’utilise mes droits d’enquêteur, le poing dans la face. Le géant me démolit, j’ai désormais très mal et je ne pourrai décidément pas rentrer…
    Je fais le tour, bingo, une fenêtre isolée. Je me munis d’un caillou et rentre par effraction en cassant la vitre. Je me trouve dans les vestiaires, je commence à fouiller quand une étrange bague trône devant un casier mal fermé. L’alliance de Kate, maintenant c’est sûr, elle mène une tout autre vie… et alors ? Je ne vais tout de même pas condamner ma femme? Je repars comme un voleur laissant derrière moi la triste et misérable vie de Kate.

    Mylan et Flavio

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    Le Journal de Nicolas (5)

    Lundi, 29 septembre 2014




    Cher journal,

    J’ai un seul ami mais au moins je commence à comprendre un peu l’anglais; l’école n’est pas facile pour moi. Parfois je veux demander quelque chose à l’enseignante mais comme je ne sais pas formuler les phrases, je ne dis rien.

    La semaine passée, le français de ma classe est venu vers moi et s’est présenté, il s’appelle Matthieu et il m’a dit que, si j’avais des problèmes, je pouvais lui demander de l’aide, j’étais très content. Pour la première fois quelqu’un s’est inquiété pour moi. A la fin de la journée, on est rentrés ensemble et il habite à deux minutes de chez moi. Avant qu’il passe la porte de l’entrée de sa maison il m’a demandé si je voulais aller à son anniversaire ce week-end et moi j’ai répondu que je devais demander à ma mère, mais que sûrement elle allait me laisser.

    Quand je suis arrivé chez moi je lui ai demandé. Contre toute attente, elle m’a dit non parce que je devais garder ma sœur. On a commencé à se disputer. Comme j’avais vraiment envie…

    Nicolas

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    Les petits textes d'hiver (6)

    En 1998…


    Avant de commencer le récit de mon humble vie, j’aimerais me présenter, je m’appelle Mathias, j’ai 21 ans, je suis français et je travaille à l’Université de Montpellier.

    Aujourd’hui, nous sommes le 16 juin et ce matin, avant de prendre le métro jusqu’à l’Université, j’écoute comme d’habitude sur mon walkman mon tube préféré de Julien Clerc, « Laissons entrer le soleil » en jouant avec mon trousseau de clé. À l’Université, c’est un grand jour, ils ont installé l’imprimante la plus récente. Je me réjouis, car après le cours, je vais sortir en ville avec mon amie Stéphanie, on se connaît depuis la prégymnasiale. Mais, revenons aux études, pendant les cours d’informatique, alors que j’essaye de placer le mot « anticonstitutionnel » pour me donner un air intelligent, je fais une découverte assez incongrue, j’ai trouvé dans mon sac ma peluche qui est tombée à mon insu de mon joli canapé vert. C’est assez immature de ma part de dormir encore avec elle…

    Cette après-midi, je vais faire une chose un peu moins immature, c’est de programmer mon voyage à Madagascar avec mon meilleur ami, Giovanni, en août. Et je regarderai l’émission sur le nucléaire, peut-être à côté de ma cheminée s’il fait trop froid. À ce qu’il paraît, à Madagascar, il y a beaucoup de marchands de tableaux pas très compétents.

    Je n’ai pas très hâte d’être demain, car je vais commencer mes sept textes de dissertation de français que je dois rendre dans environ un mois. Je suis certain que je vais encore me ruer sur la première phrase comme un rhinocéros pour finir à temps. Je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi, vu que j’ai encore du temps pour le faire.
    Je pense qu’il me faudrait m’acheter un frein pour me ralentir.


    Chers lecteurs, merci à vous tous pour nous avoir suivis ! Avant de terminer, nous vous proposons d’essayer de trouver l’anachronisme qu’il y a dans ce texte !

    Maela et Xavier

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    L'affaire Kate (3)

    Bon, aujourd’hui je suis déterminé à m’y rendre! Arrivé sur les lieux personne dans le parking. Dès que j’ouvre la porte j’aperçois Bill couché par terre avec une bouteille à la main! Il a encore et encore trop bu. J’espère qu’il sera capable de répondre à mes questions.
    - Réveille-toi ! Sac à bière !
    - Le bar est fermé !
    - Ça tombe bien, j’ai déjà envie de partir mais avant tu vas répondre à mes questions !

    Quelques minutes plus tard il se lève enfin. Je lui demande:

    - Où est Kate? 
    - A toi de le savoir, c’est ta femme pas la mienne…
    - Tu sais où elle est ?
    - Hm…

    Il n’as pas répondu; en regardant le comptoir je vois des cacahuètes, Bill en est allergique…

    Mylan et Flavio

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    La vie

    La vie est une énorme horloge qu’on ne veut jamais voir s’arrêter.
    C’est comme si notre vie dépendait du temps qui nous reste à vivre.

    Notre vie se résume alors en 24 heures :

    A une heure, je nais ;
    A deux heures, je prononce quelques mots ;
    A trois heures, je fais mes premiers pas ;
    A quatre heures, je commence l’école ;
    A cinq heures, j’apprends de nouvelles choses ;
    A six heures, je perds ma première dent ;
    A sept heures, je me fais punir ;
    A huit heures, je deviens majeur ;
    A neuf heures, je rentre à l’université ;
    A dix heures, je termine mes études ;
    A onze heures, je trouve un travail ;
    A douze heures, je quitte la maison ;
    A treize heures, je deviens indépendant ;
    A quatorze heures, je tombe amoureux ;
    A quinze heures, je me dispute ;
    A seize heures, je me marie ;
    A dix-sept heures, j’ai des enfants ;
    A dix-huit heures, je les éduque ;
    A dix-neuf heures, je vois mes enfants grandir ;
    A vingt heures, je deviens grand-père ;
    A vingt et une heures, je vieillis ;
    A vingt-deux heures, je prends ma retraite ;
    A vingt-trois heures, je tombe malade ;
    A minuit, je vais au paradis…

    Imaginez-vous, si vous saviez que vous vivriez durant vingt-quatre heures, que feriez-vous durant chaque heure tout en sachant qu’à minuit précise vous cesseriez de vivre ?



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    Anisha, Aroa, Joana et Nora




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    Derrière les murs (8)

    Je me trouve dans le bureau où se trouvent tous les documents concernant la maison. La vieille dame qui m’accueille (si on peut appeler ça un accueil…) me fait attendre pendant qu’elle va chercher le dossier. Ça doit faire déjà 20 minutes que j’attends et je commence à perdre patience. Soudain elle revient, chargée comme une mule et me demande de lui donner les papiers qui certifient que je suis l’acheteur et ma carte d’identité.
    Zut ! Je l’ai oubliée chez moi ! Je la supplie de passer au-dessus de cette formalité mais elle refuse ; elle ne lâchera pas un mot sur cette maison tant que je ne lui aurai pas donné ma carte d’identité. Je peste mais me résous à aller quand même la chercher ; de toute façon je n’ai pas le choix.
    Je roule à une vitesse assez conséquente avec ma vieille Toyota. Puis, car ce jour-là est irrévocablement destiné à m’embêter, ma caisse s’arrête. Je descends et regarde dans le moteur : un tuyau a pété et je n’en ai pas de rechange sur moi. Après avoir traité ma voiture de gentil toutou (ce qu’on appelle de la censure), je continue à pied ; ma maison n’est heureusement plus qu’à 15 minutes de marche. Quoi qu’il en soit, je ne suis pas en mesure de retourner dans le bureau de cette vieille maniaque, sans voiture et sans courage.
    Quand, tout à coup, là, au bord de la route, j’aperçois la vieille Jeep usée derrière laquelle je m’étais réfugié la première fois que j’ai pénétré dans le hangar. Il ne fait aucun doute là dessus ; c’est elle. Je n’avais pas mémorisé le numéro de plaque mais elle est de la même couleur terne, avec les mêmes taches de rouille sur les pare-boue et avec ce même aspect inquiétant. En m’agenouillant derrière, dans le hangar, j’avais laissé un indice qui peut maintenant me certifier que c’est bien la même voiture ; en m’agenouillant, j’avais appuyé ma main sur la carrosserie couverte de poussière, y laissant forcément mon empreinte. Je scrute la carcasse de la voiture.
    La voilà ! C’est donc bien la voiture de Cruella. Avec eux dans les parages, je ne suis pas tranquille. Vivement qu’on en finisse ! Mon instinct de survie me crie dessus pour que je parte le plus loin possible, et même plus loin encore, mais je désire en savoir plus sur leurs agissements. Malheureusement, ce tacot est au milieu de nulle part et je ne vois absolument pas où ils pourraient être. Je me gratte la tête pour rassembler mes idées (je vous l’accorde, ça ne sert à rien) quand, brusquement, j’entends des bruits de pas derrière moi. La première chose qui me vient à l’idée, c’est de me planquer derrière la voiture mais je saute derrière un bosquet, ne me demandez pas pourquoi. C’est un mec qui fait du jogging, fausse alerte. Je sors alors des fourrés, mon pied se prend dans quelque chose. Je m’encouble et tombe.
    Purée ! Ça m’énerve ! Je me relève et regarde sur quoi je me suis accroché. Une poignée en métal. Comment se fait-il qu’il y ait une poignée en métal ici ? Je dégage un peu la terre à côté et je découvre alors une trappe. Elle est bloquée par un gros cadenas. Je le saisis et il s’ouvre tout seul. Sûrement une technique pour décourager les gens d’ouvrir cette bouche d’égout. J’empoigne l’anse et je tire de toutes mes forces. Rien. J’insiste encore et la trappe s’ouvre. Voilà où les détenteurs de la voiture sont allés. C’est un puits avec des échelons rouillés. Je descends dans l’ombre. Cette fois je n’ai pas ma lampe avec moi. Tant pis, je me dirigerai grâce à mes mains.
    Je touche le fond. J’ai dû descendre environ trois mètres mais la lumière est quand même semi-présente. Il y a deux directions : gauche et droite. Je choisis gauche car je suis gaucher (Eh oui les amis !). J’avance à tâtons et je tombe sur une porte. Je l’essaye mais elle est fermée à clé alors je fais demi-tour. Je trouve alors une autre porte et je l’ouvre. Rien, absolument rien, à part si on considère un vieux journal comme quelque chose d’important.
    Cette piste n’a mené nulle part. Je sors de ce trou perdu, au sens propre et figuré, et reprends la route. C’est déjà 17:43 et je me hâte jusque chez moi.
    J’en peux plus. Ça fait deux jours que j’ai l’impression que tout est contre moi.
    Je tente le tout pour le tout. Je sors mon natel et j’appelle la police. Je leur dis de venir tout de suite et attends dans le salon.
    Ils arrivent et je les mène à l’endroit où je les avais aperçus la première fois puis nous montons jusqu’au hangar. On les prend par surprise totale si bien qu’ils n’ont même pas le temps de dire quoi que ce soit. Ils les emmènent et me disent que c’était des malfaiteurs qui trafiquaient toutes sortes de marchandises déjà depuis plusieurs années. Les policiers me remercient, m’annoncent que je vais recevoir une petite récompense et partent.

    Moi, je me retrouve tout seul sans plus aucun bruit venant me déranger… à ma plus grande satisfaction !

    Fin

    Loïs et Xavier

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    Le journal d'Hugo (22)

    Tout d’abord, je vous présente mes excuses, de ne pas avoir écrit plus tôt, mais je n’avais rien à dire de très intéressant, aucun problème jusqu’à présent.
    Aujourd’hui, c’est Noël. La fête que je préfère après mon anniversaire bien sûr. On le fête avec toute la famille de papa, c’est génial, je vais recevoir plein de cadeaux. Moi, je n’en n’offre qu’à papa, Arthur et Simon. En fait, c’est parce que ça fait beaucoup d’argent pour le petit budget que je possède, ce n’est pas que je suis radin mais...
    Je n’ai jamais fêté Noël chez mon père sauf les trois premières années de ma vie, mais je ne m’en souviens pas. Je n’ai pas offert de cadeaux à Rudolph et Tressia, car nous ne sommes plus trop en contact. Les invités arrivent à onze heures et demie, on prend l’apéro, tout va bien grâce aux chips et au Rimuss. Je suis très content de revoir mes grands-parents, cela faisait très longtemps que je ne les avais pas vus. On passe à table, c’est l’heure de la dinde farcie avec les marrons chauds qui l’accompagnent, c’est ça qui est génial à Noël, on mange trop bien. À quatre heures, les bûches arrivent sur la table, une au chocolat et une à la fraise et, si on a encore faim, des boules de glace sont servies avec des beignets et de la crème chantilly (c’est l’idée à mon père). À cinq heures et demie, je reçois enfin mes cadeaux, j’ai reçu pas mal d’argent, sous forme de bons pour des vêtements, des jeux vidéos et en liquide. Il est dix heures passées, les invités sont toujours là et tout d’un coup, la sonnette retentit :
    Ding-Dong. À mon Dieu, c’est le pire cadeau de Noël de ma vie...
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    Les noms de la 10vg/2 en Chinois

    Evan: 埃文

    Valentino:
    華倫天奴

    Damien.
    達米安

    Shyrine:
    謝琳

    Ludovic:
    朱利

    Noah:
    諾亞

    Emma:
    艾瑪

    Diogo:
    迪奧戈

    Alicia:
    艾麗西亞

    My Lan:
    局域網我

    Tim:
    蒂姆

    Flavio:
    弗拉維奧

    Mouldi:
    穆勒迪

    David:
    大衛

    Jean:
    約翰


    Pour la prochaine fois, c’est vous qui choisirez la langue dans les commentaires et je mettrai tous les noms qui ont commenté cette publication
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    Les Moines plutoniens (11)

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    Source de l’image

    « La violence, c’est mal. »

    Un pacifiste, lors d’une manifestation


    VIOLENCE

    Tandis que le robot leur tirait dessus, Dagan se mit à tirer de tous les côtés, détruisant quelques babioles, et touchant le robot à la jambe. Sans plus se décourager, le robot cria :
    - Je sais où tu te caches ! Viens ici que j’te bute !
    - Ferme-là et viens ici ! cria Dagan
    - Enflure ! termina la machine
    Le raton-laveur sortit de sa cachette pour tirer un grand coup de blaster sur son ennemi, lui désintégrant un bout de sa perruque. Le robot lui répondit en lui lançant une grenade plasma. L’animal esquiva rapidement l’explosion, avant de tirer une salve. Thrani et Hemaed étaient en train de fouiller le fond, et Vilip, le marchand, aidait Dagan à tuer le robot.
    Après une demi-heure de combats incessants, le robot cria que sa batterie était vide. Vilip en profita pour lui exploser le processeur.
    - Ouh, c’était épuisant ! dit Dagan.
    - Les gars, vous avez trouvé quelque chose ? demanda Vilip.
    - On cherche, on cherche ! répondit Hemaed.
    C’est à ce moment qu’une dizaine de robots pénétrèrent dans la pièce, tirant aléatoirement dans tous les sens, espérant toucher quelque chose. Tout ce qu’ils touchèrent, ce fut les étagères de la pièce, et le bout de la crinière de Dagan, qui jura à leur encontre, avant de tirer une salve.
    - J’ai trouvé un truc caché sous une statue ! cria Thrani, tout en envoyant une EMP sur les robots.
    - Merci bien, mais on est un peu dans une situation difficile ! répondirent les deux combattants.
    Tandis que des coups de feu virevoltaient dans la pièce, Thrani et Hemaed avaient découvert une bouche d’égout où se dissimulait ce qu’ils cherchaient.
    - Les gars, venez vite ! hurla Hemaed.
    - Mais vous voyez toujours pas qu’on essaye de faire sauter des robots ? rétorqua Dagan.
    Une dizaine de minutes plus tard, tous les robots furent mis hors-service d’un coup de blaster dans le processeur.
    - Bon, allons-y les gars ! dit Thrani en descendant les égouts.
    - Descendez vite, je sens que des robots vont revenir, dit Dagan sans savoir ce qui les attendrait en bas…

    David, Mouldi

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    Continuez l'histoire (2)

    Par la suite, Tom voulut appeler la police mais aucun signal. La ligne téléphonique avait été coupée, ils ont essayé de trouver une solution. Claude a trouvé une pince qui était posée en dessous du câble qui reliait la lumière et le téléphone. Le câble avait été coupé et ne pouvait pas être réparé.
    Pedro rentre l’air inquiet mais ça n’a pas l’air de le déranger plus que ça. Les deux filles reviennent des toilettes et s’aperçoivent qu’il y a une corde cachée en dessous des trois chaises. L’une d’elles fait un bruit bizarre alors Tom déchire le coussin et il trouve une seringue de cyanure à moitié vide.


    À vous d’imaginer l’histoire, dites-nous en commentaire que pourrait-t-il se passer après.
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    Enigme visuelle

    Je suis une actrice
    laquelle?


    ine ine ine ine
    neuve neuve

    Je suis un objet
    lequel?

    o o o
    o o o

    Je suis un aliment
    lequel?

    trouille trouille trouille
    trouille trouille trouille

    Qui sommes-nous?


    Gorge
    Uni
    Formida

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    Ça n'arrive qu'à nous (2)

    Ça n’arrive qu’à nous de ne jamais nous souvenir comment écrire un “Ç” majuscule à l’ordinateur?

    Ça n’arrive qu’à nous d’avoir une question importante et de l’oublier lorsque l’on nous interroge?

    Ça n’arrive qu’à nous, lorsque l’on s’endort, de sortir notre pied en dehors de la couette parce que l’on a trop chaud?

    Ça n’arrive qu’à nous de nous réjouir de quelque chose dans le futur sans nous souvenir de quoi il s’agit?

    Ça n’arrive qu’à nous de nous inventer une vie dans notre lit avant de nous endormir?

    Ça n’arrive qu’à nous, lorsqu’on fait une bonne et une mauvaise note, de l’annoncer à nos parents en insistant sur la meilleure?


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    Eva et Thomas

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    Les pensées d'une Napolitaine (3)

    Giulia réussira à convaincre ses parents d’aller en Suisse pendant les grandes vacances. Elle visitera la Suisse et ses merveilles. Ce voyage répondra à beaucoup de questions qu’elle se posait. De retour en Italie, elle pourra prendre des leçons de français au cours desquelles elle excellera.
    À 18 ans, elle prit la décision de faire des études de commerce, à Genève, dans une famille d’accueil. Elle eut du mal à s’intégrer dans une culture si différente qui n’était pas souvent chaleureuse avec elle. Après avoir fini ses études, à 23 ans, elle dut faire face à de nombreuses difficultés, mais finit par trouver un travail et un logement modeste dans la ville de Genève. Giulia aura tout fait pendant des années pour vivre en Suisse, elle réussira par sa grande persévérance et avec l’encouragement de sa famille, même avec la distance qui les séparaient. Elle travaille, maintenant, dans les assurances, toujours à Genève.

    « Il n’y a rien dont la patience ne vienne à bout secondée par la persévérance » Tite-Live


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    Continuez l'histoire

    Une salle à manger. Avec douze personnes à l’intérieur dont six filles et six garçons. Une table avec quinze chaises, des couteaux et des fourchettes. Une personne meurt, il s’agit d’un garçon nommé Damien. Avant qu’il se fasse assassiner toutes les lumières se sont éteintes. Antonella et Deborah se trouvaient aux toilettes à ce moment-là, Pedro était parti fumer une cigarette, tous les autres étaient présent. Quelqu’un a mis du cyanure dans le verre de Damien qui est mort sur le coup.

    À vous d’imaginer l’histoire, dites-nous en commentaire qui pourrait être l’assassin et les raisons de son meurtre.
    Voici la liste de tous les prénoms présents dans l’histoire.

    • Amélie
    • Deborah
    • Jacqueline
    • Camille
    • Antonella
    • Giselle
    • Damien
    • Jeff
    • Paolo
    • Tom
    • Claude
    • Pedro
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    Les Moines plutoniens (10)

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    Source de l’image

    « Si vous vous retrouvez dans un entrepôt à basse température, c’est que vous vous êtes fait avoir. »

    Inconnu


    INVESTIGATION

    L’équipage arriva dans un bar appelé « Bièèèèèèèreeeuh (première pinte gratuite), » d’où émanait une odeur d’alcool très forte. A l’intérieur du bar, des centaines de personnes buvaient des pintes de bière, tandis que les autres se soulaient à coup de shots de vodka-pomme.
    Dagan, le raton-laveur de l’équipage, s’approcha du seul homme qui semblait sobre dans cet établissement. Il l’interpella avant d’initier une conversation :
    - Bonjour monsieur, est-ce que je peux vous poser quelques questions ?
    - Bien sûr, à quel sujet ? répondit l’homme
    - Avez-vous remarqué quelques… disons changements physiques chez certaines personnes ces derniers temps ?
    - Pas tellement… attendez… maintenant que vous le dites…
    - Poursuivez ! ordonna Dagan.
    - Eh bien, depuis quelque temps, certaines personnes se sont mises à acquérir des implants beaucoup plus performants qui changent leur comportement…
    - Dites-m’en plus, cela m’intéresse…
    - Voyez-vous, depuis que ces gens se sont implantés cette nouvelle gamme cybernétique, ils se sont mit à agir comme… comme des sortes de pantins, voyez-vous ? dit l’homme en buvant une pinte de bière.
    - Intéressant. En savez-vous plus ?
    - Malheureusement, non.
    - Au revoir et merci, monsieur, pour vos réponses, termina Dagan.
    Tandis qu’ils terminaient leur conversation, deux hommes s’effondrèrent sur le sol, probablement sous le coup de l’alcool, produisant un bruit sourd et qui fit vibrer le plancher, ce qui causa la chute du raton-laveur.
    Quand Dagan revint vers l’équipage, il expliqua la situation, avant de déclarer qu’il fallait absolument aller dans une clinique cybernétique.
    Après une demi-heure de recherche, ils en trouvèrent enfin une. Ils entrèrent et se firent interpeller par le vendeur, qui parlait avec un fort accent oriental :
    - Bonjour, que puis-je faire pour vous servir, étrangers ?
    - Auriez-vous une nouvelle gamme d’implants cybernétiques à disposition ?
    - Oui, suivez-moi, dit-il.
    L’équipage le suivit dans des couloirs étroits, avant d’arriver dans une pièce froide et mal éclairée.
    - Bienvenue dans l’entrepôt ! Ce que vous cherchez est tout au fond à droite.
    - Là bas ? demanda le pilote en pointant du doigt le fond de la salle.
    - Oui. Bon maintenant, je vous laisse explorer les lieux, j’ai d’autres chats à fouetter, termina le vendeur.
    Un robot arriva, leur tirant dessus avec des armes haut de gamme.

    David, Mouldi

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    Peur mouillée...

    Elle est là, cette peur... Elle voyage en moi en traînant son récif de corail derrière elle. Je me suis noyée et je ne suis plus qu'une épave au fond de l'eau. Depuis ici, j'essaie d'y voir plus clair mais des algues m'en n'empêchent et m'enferment dans cette haine. Je ne demande qu'un peu de lumière pour me réchauffer, il fait si froid où je suis....
    Comment dois-je faire pour sortir de là? Dois-je tenter de nager jusqu'à la surface? Suis-je une ancre ayant seulement comme compagnie, ma chère amie, la peur?

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    Personnes innocentes

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    Le journal d'Hugo (21)

    Le vendredi 17 octobre 2014


    Cela fait une semaine que je n’ai pas écrit parce qu’il n’y a rien à dire. Ma vie se passe bien, j’ai des amis, une PS4 et des petits-déjeuners de rêve tous les jours. J’écrivais mes journaux à cause de mes problèmes et des événements difficiles que j’ai vécus, car cela m’aidait. Désormais, je mène une vie moins solitaire et nos disputes familiales se sont apaisées. Voilà pourquoi, je n’ai plus besoin d’écrire de journal. J’espère que vous ne m’en voulez pas, vous, mes lecteurs imaginaires. Ne soyez pas fâchés de mon bonheur!



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    Journal de Rebecca (6)

    2 juin 2013



    Je me réveille, je vois mon journal par terre. En me levant pour le ramasser, je remarque une grosse tache d’encre sur mon matelas. Oups! Je crois que je me suis endormie sur mon journal hier soir. Je suis en train de nettoyer mon lit quand Louise m’appelle pour déjeuner. En sortant de ma chambre, je me cogne le petit doigt de pied. Je rampe en direction de la salle de bains tel un blessé de guerre. Après cet incident, je descends me désaltérer à l’aide d’un breuvage à base de graines de cacao moulues en provenance du Mexique mêlées à un liquide d’origine animale pour obtenir un mélange sucré et rafraîchissant, communément appelé chocolat froid.
    Quelqu’un sonne à la porte, Louise va ouvrir. Eléna entre en trombe dans la cuisine. D’habitude c’est une petite brise d’été mais là elle a plutôt l’air d’un ouragan.
    Elle me communique:
    “J’ai demandé à Tayler si son exposé d’italien avec Enzo se passait bien.“
    Je lui propose de continuer cette magnifique conversation dans ma chambre. J’abandonne ma splendide boisson sucrée et rafraichissante pour une engueulade qui aura du mal à passer. On entre dans la pièce, Eléna la ferme (la porte). Elle se tourne vers moi et commence à me parler calmement.
    « Tayler m’a répondu, sans surprise, qu’il n’avait pas vu Enzo de la journée. Il n’a pas d’exposé d’italien en ce moment.
    - Oui, c’est vrai, je t’ai menti. Mais j’avais une bonne rai…
    - Tu n’as aucune raison valable de me mentir, dit-elle en me coupant.
    - Je sais qui t’a embrassée pendant la fête, lui répondis-je rapidement.
    - T’as dit quoi ? J’ai pas tout à fait compris.
    - J’ai dit que j’étais embarrassée pendant la fête. tentais-je de me rattraper.
    - Dis-moi qui c’est. »
    Eléna remarque, sans peine, ma tentative de sauvetage. Pour gagner du temps, j’utilise une technique de diversion personnelle, la charade.

    • Mon premier est la cinquième lettre de l’alphabet, mon deuxième est la quatorzième
    • Arrête avec tes stupides charades! cria-t-elle.
    - C’est Lo…
    - Laurent, Loïc, Louis, Logan! hurla-t-elle.
    - Mais on connaît aucun Logan. Elle me regarde d’un air soulé. Bon ok, je te le dis. C’est Lorenzo.

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    Rien à dire

    Avant d’aller plus loin, je tenais à dire que je n’avais pas envie d’écrire, la suite n’aura aucun sens.

    Écrire c’est bien, trop écrire c’est pas bien. Pourquoi écrire quand on peut faire autre chose? Je sais pas mais je m’en fiche un peu, parce que j’avais pas envie d’écrire aujourd’hui. Combien de fois le verbe « écrire » apparaitra dans ce texte? Apparaitra-t-il dans toutes les phrases? Preuve que non car il n’y est pas dans la phrase d’avant. Bon voilà j’avais rien de spécial à dire: j’ai fini.
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    SUDDEN CHANGE

    épisode 3:
    The gang war

    26 décembre 2001


    Je me lève d’un coup, ma tête percute des pieds… Oui des pieds, et mon regard se lève, puis j’aperçois mon compagnon de cellule Marko. Mon esprit est priS de panique. Les gardiens arrivent, une minute après l’incident les gardiens m’interrogent sur Marko et son état moral. Je leur réponds que depuis mon arrivée dans le pénitencier, je n’ai adressé la parole à personne. Ils me croient et me laissent repartir dans ma cellule.

    27 décembre 2001


    C’est l’heure de la sortie qui se passe tous les jours à 10 heures précises. Mon arrivée dans la cour est très remarquée, avec la mort de mon partenaire de cellule. J’apprends par la suite que Marko était le parrain de la mafia italienne à New York. 10 heures 12, trois hommes blancs s’approchent de moi, leur style est plutôt étrange, leur corps est tatoué de la tête aux pieds avec des slogans en allemand et diverses croix. C’est le gang des néo-nazis, ils s’approchent de moi en disant:

    • Eh! Le nouveau. dit l’un.
    • Petit! téplique le plus grand.

    Ils arrivent en me regardant, me posent quelques questions. Ils me demandent comment je me sens dans la prison, si la mort de Marko m’a touché; bizarrement leurs questions sur moi ne sont pas sincères. Après ces questions personnelles. ils me présentent une sorte de programme en me faisant comprendre qu’il y a différents clans. Les Mexicains du Sud, les Mexicaines du Nord, les Noirs et les Blancs. J’ai très vite compris que les Mexicaines du Sud sont les plus dangereux. Pour finir leur longue théorie, ils finissent par me proposer un contrat, j’entre dans leur gang et je me bats contre les clans rivaux. Les gardiens nous appellent pour revenir dans notre cellule, ils me laissent 2 jours pour donner une réponse, la grande guerre est dans une semaine.

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    Devine

    My Lan 14 ans passion: la natation synchronisée
    Tim 14 ans passion: la bonne pétanque entre amis
    Ludovic 14 ans passion: jouer à la pétanque avec Tim
    Noah 13 ans passion: j’aime me recouvrir d’huile chaude
    Damien 14 ans passion: jouer aux échec avec Eugène
    Valentino 14 ans passion: petite promenade accompagné de son chien «Charlie»
    Evan 14 ans passion: aller regarder le livre de la Jungle avec ses grands parents
    Qui est l’auteur de ce texte ?

    Tim et Mylan

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    Un long périple

    On lui avait dit que c’était un beau voyage à l’occasion duquel elle pourrait découvrir le monde, elle en rêvait depuis si longtemps alors elle a voulu essayer. Mais personne ne l’avait prévenue que ce serait aussi compliqué. Elle est descendue de son doux nuage et est tombée en chute libre jusque sur Terre. Elle aurait pu atterrir tout en douceur dans un cours d’eau mais elle s’est fracassée sur le sol. Elle a dû rassembler son courage pour reprendre la direction du fleuve. Elle a traversé des villes, des pays, des continents inconnus. Et enfin, elle a atteint l’océan. Là, elle a retrouvé ses amies qui avaient tenté le voyage avant elle et qui lui avaient tant manqué. Ensemble, elles se sont évaporées et sont retournées sur leur nuage. Ce voyage durait des jours ou peut-être même des années mais il en valait la peine. Maintenant, elle est heureuse d’avoir vécu cette aventure. Elle est devenue presque aussi sage que ses parents qui l’ont surveillée de loin tout au long de son périple. Ils n’ont pas pu faire ce voyage avec elle car ils sont bien trop vieux pour ce genre d’acrobaties. Voltiger dans le ciel, traverser des villes et des pays, passer dans des souterrains, désaltérer un humain, se perdre dans l’immensité de l’océan, escalader des prises invisibles pour retourner dans un nuage, que d’aventures bien trop dangereuses pour des gouttes d’eau âgées. Alors, ils ont préféré attendre…

    Chiara et Tina

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    Les petits textes d'hiver (5)

    Il était une fois, sur une montagne suisse,
    Une terre sans aucun maléfice,
    Un jeune chasseur qui, à cause de sa quotidienneté,
    S’enlisait dans l’habitude
    Jusqu’à se remplir d’inanité.
    Il était né dans l’Espagne du sud ;
    Le jeune chasseur ne vivait vraiment que quand
    Il jouait de ses castagnettes.
    Chaque jour, il brossait ses carpettes,
    Voyant son tableau représentant l’océan.
    Il était souvent tendu,
    Quand il invitait des amis pour manger de la fondue,
    Car il ne savait pas faire celle-ci.
    Sa passion était tout ce qui était fleuri,
    Il partait donc chaque jour chercher de l’ephedra.
    Pour la ramener, il l’enveloppait dans des draps.
    Seulement, ce jour-ci, il trouva un edelweiss,
    Il ne savait pas si ses effets étaient néfastes.
    Soudain, il entendit des bruits d’animaux.
    Apeuré, il décida de prendre ses balles dans sa cartouchière.
    Il tira sur une biche près de l’eau,
    Ce qui acheva cette dernière.
    C’est alors que l’edelweiss se redressa et murmura :
    «Pourquoi l’as tu tuée ? Elle ne faisait rien
    et tu as tiré sur elle ; ce n’est pas bien.»
    Abasourdi, il rétorqua :
    « Toi, ne ramène pas ta fraise ! Attends,
    Tu parles ? », continua-t-il blafard.
    « Même quand j’étais dans de la ventre de ma mère, quand
    Je baignais dans le liquide amniotique, même plus tard,
    Depuis que je suis né,
    Je n’ai jamais vu de choses plus insensées. »
    Soudain, il se réveilla,
    Et réalisa,
    Que tout ce-ci n’était qu’un rêve.

    Note des auteurs :

    Si nous avons le temps de faire un autre texte d’hiver
    d’ici la fin de l’année :
    Continuez de nous proposer des mots !


    Maela et Xavier

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    le journal d'Hugo (20)

    Le jeudi 9 octobre 2014


    Je me lève à sept heures, j’ai largement le temps de me préparer, car aujourd’hui, je commence les cours à huit heures vingt-cinq. Malgré que cela fasse trois jours que j’ai des déjeuners de rêves, je les apprécie tout autant. Je prends l’initiative de marcher jusqu’au collège, cela me prend cinq minutes. Je me rends compte que malgré le fait que hier j’ai été super bien accueilli, aujourd’hui, je suis tout seul dans la cour; au bout de trois minutes, je décide d’aller vers mes camarades. À la sonnerie, je vais à la place que m’a donnée ma maitresse de classe hier. Elle m’impressionne tout autant, par sa taille et sa largeur d’épaules, on dirait un rugbyman. Aujourd’hui j’engage directement la conversation avec Simon, je le trouve très gentil. Je rentre chez moi avec beaucoup d’autre personnes, on passe à la Coop, je prends un thé froid citron. Puis je rentre et je joue à la play avec mes copains…

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    La vie cachée d'un narcissique (2)

    27.04.2017

    Aujourd'hui, c'est mon anniversaire. J'ai invité Annie, Simon, Bapt, Gaël, Noémie et Matteo. Annie, Bapt et Matteo sont dans ma classe et Gaël, Simon et Noémie sont répartis dans d'autres classes. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai particulièrement hâte de voir Simon, je pense l'inviter à dormir avec Bapt et Gaël.

    Ce samedi-là, je me suis réveillé à la première heure. Ma mère m'accueille avec une forêt noire ornée de quatorze bougies.
    Il est midi et demi, on sonne à la porte. C'est Simon. Il me tend un paquet cadeau:
    - Salut Sim' ça va?
    - Oui, oh merci! À ce moment là, je veux lui faire un câlin, mais il me repousse. Je ne comprend pas son geste, pourtant je ne suis pas repoussant, au contraire, je suis ultra attirant parce que, entre nous, je suis beau, musclé, romantique,... Un blanc s'installe dans la discussion et je deviens tout rouge; on pourrait me confondre avec une belle et succulente tomate!
    - Je ne suis pas gay, dit-il avec un rire nerveux.
    Le blanc se réinstalle, il était infini à mes yeux. Heureusement, Annie et Bapt sonnent à la porte. Simon s'éclipse et va parler avec Bapt, comme si de rien n'était. Voyant que j'étais mal, Annie vient vers moi pour me parler:
    - Qu'est-ce qu'il se passe?
    - Oh rien ne t'inquiète pas...
    - Je sais que quelque chose ne va pas, je te connais très bien. 
    C'est vrai qu'Annie me connais très, voire trop bien. On se connaît depuis la maternelle et je pense qu'elle m'aime car personne ne peux résister à mon charme inouï et à ma beauté exceptionnelle.
    P.S: Je ne suis plus avec Noémie, je l'ai quittée au bout 2 semaines.

    Anonyme


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    Au coeur de la forêt

    L'être qui se trouvait au centre de la forêt attirait le regard tout en le repoussant. De longs cheveux couleur miel couvraient son crâne par touffes éparses. Son couvre-chef était un chapeau qui aurait eu sa place dans un musée. A son cou pendait une écharpe bariolée dont les fils s'entremêlaient tels les courants d'une rivière, pendant que le bas de son long manteau effleurait le sol. La couleur de ce dernier se trouvait au croisement du gris du granit et de celui de la souris. Sa physionomie sèche tranchait avec son aire misérable. Il était au plus proche de l'image que l'on se fait des hommes préhistoriques.

    A son coté se tenait un animal mi-chien mi-loup. Il semblait vouloir vous mordre à chaque instant malgré le fait que sa fourrure semblait implorer des milliers de caresses par la douceur de son éclat argenté.

    La forêt qui les environnait était constituée d'arbre hauts comme des gratte-ciels. Leurs troncs faisaient la taille d'une maison et leurs branches plongeaient la forêt dans une pénombre qui s'opposait à la fraîcheur de l'air, créant ainsi un air de conte de fée. Le sol était couvert de mousse mais celle-ci avait la particularité d'être constituée non de plantes mais bien de petites bulles semi-transparentes. Le jeune avait terminé de se relever et ils s'en allaient quand les compagnons plongèrent à l'abri d'un talus au bruit d'un craquement de branche discret. Ce bruit n'avait pu être reconnu parmi les bruits de la forêt que par des oreilles à la précision phénoménale.

    Leo


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    Résultat du quizz

    Réponses: B A C D A

    Tout d'abord, merci à toutes les personnes qui ont tenté leur chance sur ce quizz, ça m'a fait beaucoup plaisir. Et maintenant, voici le bilan tant attendu! Il fallait répondre au moins 4 réponses justes sur 5, et une seule personne l'a fait. Et c'était même un sans faute! Bravo à Darin! Il a gagné le titre du meilleur pas champion!
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    Haïkus

    Les haïkus sont des poèmes japonais dont on attribue l’invention à Bashō Matsuo (1644-1694).
    Ce sont des poèmes très courts qui servent à exprimer des pensées, des idées ou encore des émotions.
    Traditionnellement, ils sont écrits sous forme de 17 mores coupés en trois parties de 5-7-5 et répartis sur une ligne ou trois.

    Nous avons essayé d'écrire quelques haïkus, comportant 17 syllabes chacun et répartis sur trois lignes.

    La gauche et la droite
    Sont de lamentables idées 
    Pour se mélanger

    Route abandonnée
    Le temps qui passe en courant
    Pourquoi pas voler?

    Un bout de métal
    Dans un tas de ferraille -
    Passent les longues journées

    Cette force inconnue
    Emporte les gens vers la mort
    D'un souffle difficile 

    Sentir le pipi
    C'est une belle philosophie
    Pour les chiens polis

    La journée d'hier
    Peut être meilleure qu'aujourd'hui
    Mais pire que demain
     
    Un très vieil arbre
    Est plus sage que celui qui
    Veut ôter sa vie

    La vie n'est-elle pas
    Prisonnière du temps qui passe
    Sans se retourner

    Esther et Zéa

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    Population

    La population?
    Synonyme de civilisation?
    Aucune idée.
    Selon moi,
    C'est le mot qui regroupe tous les êtres vivants,
    L'oie, les chamois...
    Et nous, les humains,
    Sommes nous les plus puissants?
    Serait-on au-dessus de la population?
    Aucune idée.

    La population,
    S’étend-elle hors de la terre?
    Nous avons des suppositions.
    Mais ce qui est bizarre,
    Ce serait que la population 
    Cherche d'autres populations,
    Non? 

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    Le journal d'Hugo (19)

    Le mercredi 8 octobre 2014


    Aujourd’hui, c’est mon premier jour d’école à Sion. Je me lève à sept heures et quart puis je mange le petit déjeuner. Papa nous amène au collège en voiture. Ça va faire bizarre d’arriver au cours de l’année, même si j’ai déjà vécu ça auparavant. J’espère que je serai mieux accueilli qu’à Lausanne. Arrivé là-bas, la maîtresse, une dame baraquée, grande presque de deux mètres, me place au fond de la classe à côté d’un certain Simon. Il ressemble énormément à Rudolph et j’espère qu’on va bien s’amuser. À la récréation, je suis entouré d’une foule d’élèves qui me posent des tas de questions. Je leur raconte l’histoire de ma mère et de Misha, ils n’avaient pas l’air de me croire. Dans tous les cas, ce premier jour s’est super bien passé et je connais déjà plein de gens. Pour demain, je n’ai pas de devoirs donc je passe la soirée devant la télé, le train-train quotidien de la vie à l’école recommence...

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    La vie cachée d'un narcissique (1)

    14 février 2017

    « Ma Juliette, je suis ton magnifique Roméo,
    Celui qui est le plus beau,
    Tu es incroyablement jolie,
    Nous sommes donc faits pour être unis.
    J’espère que tu rêves de ma beauté
    Qui t’a sûrement ensorcelée... »

    Ce poème, je l’ai écrit pour une fille de ma classe, Annie, mais elle ne le sait pas parce que j’en drague plein d’autres.

    Je lui fais croire que je suis en couple avec une certaine Noémie, car avant ça tout le monde pensait que j’aimais bien Annie. Mais je disais que ce n’était pas vrai. Je l’aime tout court.
    Les filles ne veulent pas de moi car je suis trop beau!
    Bref moi je suis fort, intelligent et j’en passe.
    Les gens disent que je suis narcissique, mais ma maman m'a dit qu’en fait ils sont jaloux.
    Mes meilleurs amis, Bapt et Gaël me charrient par rapport à Annie, même eux ne le savent pas.
    En ce jour de St-Valentin, je n’arrive pas à dormir car je pense à elle et à quel point je m’aime…

    Anonyme

     

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    Folie cachée...

    Où est cette folie qui me faisait valser à ses côtés? Assise à attendre qu'elle vienne me chercher... Je la vois, je l'entends, je la sens. Elle sera là et je le sais. Fatiguée de ces moments noirs qui m'abattent. Enfuis-toi nuage, laisse la lumière venir à moi... Je veux retrouver cette fièvre de bonheur qui me donne l'envie de goûter à la vie. J'avance dans ce couloir sombre où ces monstres m'empêchent de m'échapper. Je marche, je m'épuise et... Au loin, un brouillard coloré. Un, deux, trois, un, deux, trois, elle est là!

    Evernote Camera Roll 20170406 161508

    Personnes innocentes

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    Questions pour un pas champion

    Je vais vous poser 5 questions. Celui qui répondra juste à au moins 4 questions recevra une surprise!
    Important: Il faut choisir la réponse la plus improbable pour gagner.

    1: À quoi ressemble un éléphant?
    A: à une girafe
    B: à un chat
    C: à une vache
    D: à un ours blanc

    2: Pourquoi les volcans ont-ils été créés?
    A: parce que Donald Trump l'a décidé
    B: pour aérer l'odeur nauséabonde au centre de la terre
    C: pour réduire la population mondiale
    D: ils n'ont aucune utilité

    3: Que feriez-vous si un gorille vous attaque?
    A: vous faites un match de boxe
    B: vous lui offrez une fleur
    C: vous faites un puissance 4
    D: vous vous enfuyez lâchement

    4: Quel est le point commun entre une voiture et une vache?
    A: les deux rejettent des gaz mauvais pour l'environnement
    B: les deux coûtent cher (nourriture ou essence)
    C: elles sont totalement différentes
    D: on peux se passer des deux

    5: Pourquoi ai-je créé ce quizz?
    A: parce que je m'ennuyais
    B: pour prouver que l'intelligence ne fait pas tout
    C: une idée qui m'est passée par la tête
    D: parce que je suis sûr que personne ne l'a fait avant moi sur le blog

    Répondez en commentaire et je donnerai les réponses la semaine prochaine! Bonne chance!

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    Journal de Rebecca (5)

    1 juin 2013


    Alléluia, la punition est enfin levée. Je vais te raconter la seule chose intéressante qui s’est passée pendant cette période de solitude. Ma première dispute avec Tayler. C’est à cause de Jean-Jacques. D’après Tayler, J-J me regarde trop souvent. Pour prouver son innocence, j’ai répondu que c’était mon meilleur pote. Je crois que la vraie explication, c’est que Tayler est jaloux, il faut que j’en parle à Eléna.
    La journée shopping qu’Eléna me doit depuis quarante-trois jours peut commencer. Durant cette journée, je dois absolument aller à l’Escape Shop pour m’acheter un nouveau skate.
    A 10 heures, je suis encore dans mon lit quand la sonnerie de mon téléphone retentit. C’est Eléna. Elle me dit qu’elle arrive dans 10 minutes. Crotte de flûte de bouc, je dois me doucher, m’habiller et déjeuner. J’espère que son stupide chat ferra une bêtise et qu’il la retardera.
    Pour une fois, Tigrou a rempli son job. Eléna m’a raconté qu’il avait déchiré son jeans et qu’elle avait dû se changer.
    Après ce petit retardement, nous voilà parties pour un safari dans la jungle féroce des soldes. Après nous être désaltérées au Starbuck, nous partons en direction de l’Escape Shop. À mi-chemin, Eléna se rend compte qu’elle a oublié sa veste au Starbuck. Elle y retourne pour la récupérer et faire un stop aux toilettes.
    De mon côté, je me rends au magasin. Chez moi, j’ai regardé dans le catalogue de la boutique et j’ai flashé sur un skate rouge à deux roues et un bleu à quatre roues. Maintenant, lequel choisir?
    « Est-ce que je peux vous aider? »
    Je me retourne et c’est avec surprise que je vois Enzo, le sourire aux lèvres.
    « Si tu veux l’avis d’un expert je suis là. Pour ma part, je préfère le bleu. Avoue-le, tu ne m’as pas reconnu.
    - De un, tu n’es pas expert en vente de skate, et de deux… ok, j’avoue que je ne t’ai pas reconnu. Par contre, tu peux être expert en un truc.
    - En quoi?
    - Expert en honnêteté.
    - Ça dépend quand.
    - As-tu embrassé Eléna lorsque les plombs ont sauté? »
    Enzo devient aussi rouge qu’une tomate bien mûre et part en trombe du magasin. Au même moment, Eléna qui devait me rejoindre à la boutique, entre. Elle me regarde avec une expression d’incompréhension. Je lui dis que c’était Enzo et qu’il est parti en courant suite à un appel de Tayler pour un exposé. Eléna ne se rappelle

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    Ça n’arrive qu’à nous

    Ça n’arrive qu’à nous de regarder dix fois l’heure dans la même minute?
    Ça n’arrive qu’à nous de nous réveiller lorsque notre rêve devient vraiment intéressant?
    Ça n’arrive qu’à nous de vérifier huit fois l’heure programmée de notre réveil?
    Ça n’arrive qu’à nous d’allumer toutes les lumières quand nous sommes seuls à la maison?
    Ça n’arrive qu’à nous d’ouvrir un manga à l’envers et de se
    spoiler la fin?
    Ça n’arrive qu’à nous de dire qu’on arrive bientôt alors que nous ne sommes même pas partis?

    Dites-nous si nous sommes les seuls à qui cela arrive, mais nous au moins, nous sommes deux!

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    Eva et Thomas

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    Le journal d'Hugo (18)

    Mardi 7 octobre 2014

    Aujourd’hui, vu que c’est le premier jour chez papa, je ne vais pas à l’école pour avoir le temps de m’habituer à Sion. Papa a pris congé pour s’occuper de nous.
    Avec mon frère, on décide de tout lui raconter à propos des natels. Il trouve que ce n’est pas juste de nous les confisquer. Je lui ai aussi raconté la mission sauvetage de l’IPad mini.
    Pour le petit-déjeuner, encore des viennoiseries. Durant la matinée, on fait une partie de FIFA, puis on va en ville. On passe à la Fnac; je pense qu’on y va pour racheter un téléphone portable (en tout cas, je l’espère). On se dirige au rayon pour prendre un Iphone 6 puis à celui des consoles de jeux où papa nous achète des jeux pour la PS4. On regarde les couvertures puis on en choisit deux chacun; moi, j’ai pris GTA V et Watch Dogs. Nous rentrons à la maison et papa dit: “Je pense qu’on devrait arrêter de jouer, trop d’écran pour aujourd’hui.” Le reste de la journée se passe à merveille...

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