Laïus, topo et cliché

Sep 2016

Les Moines plutoniens (3)


earth-orbital ring-wallpaper
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FIN DU SÉJOUR

J’ai remarqué qu’un robot a fait une erreur dans le réacteur tachyonique, c’est une pièce que l’on doit manier avec beaucoup de précautions, car au moindre choc, un détonateur se déclenche. Le robot a fait tomber une barre sur le réacteur, je n’ai plus que 38 heures pour quitter cette planète, avant qu’elle ne se fracture. Je décide d’aller m’installer sur l’anneau orbital car il y a des pièces de rechange. Mon vaisseau tiendra sans les deux pièces manquantes car l’anneau n’est pas très loin de cette planète, je peux y accéder sans planter mon vaisseau grâce au réacteur anti-gravité.
Arrivé sur l’anneau, je vais m’installer sur un énorme rocher et je vais chercher les parties manquantes de mon vaisseau. Par chance, je vois le réacteur à gravitons qui lui manquait. Mais sans jumpdrive cela me prendrait 4 années en vitesse lumière pour atteindre l’étoile la plus proche. Pour l’instant il se fait tard et je décide de retourner dans mon vaisseau car l’oxygène est limité dehors.
Après un réveil difficile, je décide de me mettre à la recherche de ce jumpdrive, et il ne me reste que 10 heures. Je pars dans un couloir relativement bien éclairé, qui se trouve être une zone médicale. Mais je vois un DZ-23, et je pars de l’autre côté. Par chance, c’est la salle d’ingénierie, il doit forcément y avoir un jumpdrive qui fonctionne. Après 7 longues heures de recherches, j’en trouve enfin un fonctionnel, et avec du carburant. Il ne me reste plus que 3 heures avant la fracture et l’explosion directe de ce réacteur tachyonique; je dois compter 1 heure pour le retour, 1h30 pour l’installation et 25 minutes pour charger le jumpdrive et les provisions. Je vois la fracture du réacteur, je monte dans mon vaisseau, je démarre, je fuis cet anneau et cette planète maudite!
Je m’arrête une centaine de kilomètres plus loin, je retourne mon vaisseau, là je vois que la planète explose. Comme ça sous mes yeux je... Heureusement que je ne suis pas resté plus longtemps. Maintenant je dois me trouver une autre planète ou loger avant d’aller vers la république de Sirius. Je suis crevé, je vais me coucher.
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Les meubles envahisseurs(4)

«Mais qu’est-ce qui se passe à la fin?»

J’étais effrayé. Par la vue de ce spectacle, je n’ai rien pu faire, et je ne savais pas quoi faire pour le retrouver. Même si je ne suis qu’une victime dans cette histoire, il en va de mon devoir de sauver le professeur Lucas. Sauf que je semblais peu à peu oublier que je n’en avais pas les moyens. Mais peu importe. Je vais aller le sauver!
Une heure plus tard, j’étais finalement rentré chez moi, et j’ai décidé de tout de suite partir à sa recherche. Il fallait que je prenne le matériel nécessaire pour le retrouver. Le problème, c’est que finalement, je ne savais toujours pas comment battre la lampe bleue.
Puis m’est revenue l’histoire du sandwich. Une fois mon sac prêt, je suis passé à la boulangerie pour m’acheter une dizaine de sandwichs. Mais je trouvais quand même bizarre. « À mon avis, ce n’est pas le sandwich lui-même. Le secret, c’est sûrement un ingrédient à l’intérieur. » Mais qu’avait-il mis dedans? Pour être sûr, j’en ai pris trois différents; un à la tomate, un au jambon et un autre au gruyère. Finalement, je suis sorti de la boulangerie, j’étais prêt. Alors je me suis mis en route, en me disant que je ne m’arrêterais pas avant d’avoir faim.
Mais 10 minutes plus tard, mes jambes n’en pouvaient plus, j’étais épuisé. Et en plus, une grande question me trottait dans la tête: « Ai-je vraiment la moindre chance de retrouver leur trace? Est-ce que mon existence servira enfin à quelque chose? »
Je fis alors une pause sur le trottoir pour boire un coup. J’étais encore en ville, mais une fois arrivé à la campagne, qui me dit que je ne tomberais pas sur des guerriers meubles éclaireurs? Je me suis remis en route, en quête d’indices.
Pendant une heure, j’ai marché, sans m’arrêter, malgré ma douleur aux jambes. Puis je vis un portail; dessus était gravé « Raccourci vers la campagne de la vie ».
J’ai ouvert le portail, et je vis directement le changement d’atmosphère. Il faisait plus frais, et il y avait des arbres partout à l’horizon. Mais il ne m’a pas fallu longtemps pour avoir peur, des bruits circulaient de derrière les buissons à chaque pas que je faisais, et j’avais vraiment l’impression que quelque chose me suivait. Et tout à coup:
- HALTE-LÀ!
- AAAAHHHH ! criai-je, effrayé, la chair de poule me montant aux bras.
- Arrête toi, voyageur! Je suis Jumbo, le chat super-héros, et je vais t’aider à retrouver mon maître!

à suivre…

Dimitry et Alexis H

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Rébus 3

🗿⚰Al

🍚
CHT💧

🎤
TAL🚶YA

🐱
QUI🐀

Alicia, Diogo et Emma

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Le Retour des Post-it

Après nos vacances d'été pendant lesquelles nos pensées se sont perdues entre la piscine et les plages de sable fin, nous sommes de retour sur Cocktail avec plein d'idées, de projets et d'innovations pour cette nouvelle année.

Et, aujourd'hui, nous vous présentons ceci. Nous nous sommes inspirées de ce que nous voyons par la fenêtre pour écrire ces quelques phrases qui donnent de la vie à nos Post-it.

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Journal d’un grognon(3)

Aujourd’hui, on n’a pas l’école. J’espère qu’il ne m’arrivera rien. Je sens que cette journée va bien se passer, mes parents sont absents, ils sont allés accompagner ma soeur à l’hôpital car cette andouille s’est cassé la cheville. Ces ploucs sont tellement bêtes qu’ils resteront avec elle toute la journée.
Comme à chaque fois qu’ils sont absents, je prends la télécommande et j’allume la télévision. Zut, il n’y a que des émissions nazes. Bon, je vais regarder des dessins animés. Horreur! Même les dessins animés sont nuls! Cette télévision n’est pas capable de montrer aux téléspectateurs une émission qui peut les divertir! Maintenant, je m’ennuie. Je vais attendre mes parents en regardant par la fenêtre. On dirait que l’oiseau de gauche est en train de chasser celui de droite. Oh! L’oiseau de droite est en train de riposter farouchement. Tiens! Le chat du voisin est sorti. Je croyais qu’il ne sortait jamais.
Ah… Enfin, mes parents sont rentrés. Quelle heure est-il? Hein?! 19h00! Ils sont partis à 12H30! Ils abusent un peu… Ils ont l’air plutôt triste… Peut-être que ma soeur est…? Et non, mes parents m’ont dit qu’elle va très bien, elle pourrait même pouvoir rentrer dans deux jours. Non! Pas déjà! J’ai vraiment pas de chance… Et en plus, ils vont lui offrir un tas de cadeaux!
Mes parents m’ont pourri la journée… Je leur demande s’ils vont aussi m’offrir un cadeau, mais non… Ils disent que je ne mérite pas de cadeau car je ne suis pas allé lui rendre visite et qu’il n’y a pas de raison qu’ils m’en offre un… J’en ai marre. Je ne me contrôle plus, je balance toutes les injures du monde, mais au bout de la quatrième, mon père me demande de filer dans ma chambre et me punit : plus d’argent de poche pendant quatre mois, plus d’électronique jusqu’à la fin de l’année et surtout plus d’exercices de math pendant six mois. Journée pourrie!
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Les meubles envahisseurs (3)

« La lampe bleue va revenir avec une armée pour nous détruire… »
Bizarrement, au moment où le professeur a dit cette phrase, je n’ai pas tout compris, mais au moins je sais que je n’ai pas rêvé. Il y a vraiment une explication à cette subite disparition de meubles. Alors j’ai demandé:
- Et qu’est-ce c’est que cette soit-disante “lampe bleue“ ? 
- Oui, c’est vrai, j’allais oublier. Je vais commencer par vous expliquer cette histoire. Tout a commencé lorsque j’étais encore un célèbre youtubeur, connu de tous. J’adorais ce métier, et jamais il ne m’était venu à l’idée d’en changer, mais malgré tout, j’en ai été forcé. Car, un j…
- Attendez, si je comprends bien, vous étiez le célèbre Skouizy ? criai-je, surpris.
- Oui. Mais laissez-moi finir, s’il vous plait.
- Oui, bien sûr. 
- Pendant un moment, je me suis senti très coupable de lui faire perdre son temps. Mais il faut avouer que je ne m’y attendais pas.
- Bon, continuons. Comme je disais, un jour, qui avait pourtant commencé comme les autres, j’avais décidé de faire une vidéo sur “Mansion Simulator », le jeu de création d’appartement. J’aimais bien ce jeu, et à ce jour, j’étais en train de faire la plus grande maison de ma collection. Mais tout arriva au moment où je voulus éclairer un peu ma maison. J’avais choisi de mettre un minimum de lustres, et beaucoup de lampes. Mais quand j’ai voulu appuyer sur une lampe pour la sélectionner, un bruit retentit juste à côté de moi, qui avait l’air de venir de ma lampe. Mais d’un coup, elle m’agrippa, et ouvrit la bouche pour essayer de me dévorer la tête. Si je ne suis pas mort ce jour-là, c’est parce que je n’étais pas seul. Quand j’ai crié à l’aide, Jumbo, mon chat fidèle, s’est jeté sur la lampe pour que je puisse me libérer. Alors je regardai autour de moi si, peut-être, je pouvais lui lancer quelque chose dessus. Et en regardant bien, j’ai trouvé mon sandwich à moitié mangé, alors je le lui ai balancé à la figure.
Mais, à ma surprise, elle partit par la fenêtre en émettant un cri qui semblait être un mal très profond. Jusqu’à maintenant, je ne comprenais pas, mais je pense savoir. Même si je dus quitter mon boulot par peur qu’elle revienne.
- Mais, il y a quand-même une façon de l’arrêter ? Pour pas qu’elle ne vous tue?
- Oui. Grâce au sandwich, j’ai compris comment la vaincre: Il faut lui lancer du…
CRAC!!! CRIC!!! D’un coup, les lumières se sont éteintes, et les vitres se brisèrent. J’avais très peur.
- Venez, vite!!
Puis, d’un pas rapide, je le suivis, mais derrière la fenêtre était visible une silhouette, ressemblant à une lampe. Puis, à ma plus grande surprise, je vis des grands bras s’allonger et attraper le professeur.
- AAAAAH!!! cria-t-il. Mais il était trop tard. Quand j’ai regardé par la fenêtre, il n’était plus là. Mais qu’est-ce qui se passe à la fin?!…

à suivre…
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L'histoires des patates douces(à ma façon)

Bonjour! Aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire des patates douces à ma façon.
Tout d’abord, le nom de patate douce a été donné par un fermier greco-belge, qui adorait cultiver des
patates. C’était sa seule passion. Mais un jour, alors qu’il observait la bonne croissance de ses patates, il
remarqua un petit défaut sur l’une d’entres elles: elle patate avait une petite tache orange sur sa peau. Mais le fermier était attaché à la beauté de ses légumes, si précieux à son goût, alors il décida de la racler. Mais dessous, toute sa chair était orange. Il prit donc la décision de l’exterminer, car elle allait contaminer ses cultures.
Il prit alors un fusil d’assaut à particules séparables, qu’il utilisait pour détruire les patates défectueuses. Cependant, quand il se retourna pour tirer, elle n’était plus là, et il remarqua des traces oranges sur le sol. Il les suivit, l’air de rien, et découvrit au bout une chose épouvantable: cette patate avait grossi, et elle avait des ailes roses majestueuses sur le dos. Le fermier, inquiet, voulut s’enfuir, mais la créature l’arrêta net et lui dit:
« Je viens de la tribu des patates douces, et je t’engage à nous planter et nous élever afin que nous puissions envahir le marché… »

Dimitry

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Caviar

Damien.S

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Rébus 2

25 pt25 pt

🕶DE☀️

🏹
AU🍮

🔥🐶

👃🏽
EN


Réponses du rébus numéro 1

👣N💧= Panneaux

🍏2🌍 = Pomme de terre

A
👩🏽👩🏽❌💧= Appareil photo

🌙ETTE = Lunette

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Magazine S

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Moi c'est Bernadette (14)

L’envie d’écrire est revenue,
La bonne humeur déborde en moi,
Mon mal-être a été vaincu,
Je vais conquérir la joie.

N’oubliez…

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Bernadette
Moi c’est Bernadette 2015-2016, c’est ici.

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Les meubles envahisseurs (2)

« Me suis-je fait voler, moi, l’homme le plus seul sur cette planète? »
Non, c’est absurde. je ne peux pas y croire. Il n’ y aucune trace au sol, et je ne vois pas comment ces meubles ont pu sortir de cette salle.
Après une longue réflexion, j’ai pensé que je devais sûrement avoir des troubles au cerveau, et que tout ça n’était sûrement pas réel. Trois jours plus tard, des choses me tourmentaient encore. Dans chaque minute semblait s’écouler une heure. Et, bizarrement, il m’est venu l’idée d’en parler à un psychologue.
Je me suis levé très difficilement, mais plein d’enthousiasme. Pendant une heure, j’ai marché dans une rue sombre, gorgée de grandes maisons en pierre, jusqu’au bureau du psychologue. Sur la porte était écrit:
Docteur Lucas, Psychologue diplômé. Je ne sais pas pourquoi, mais ce nom me rassurait. Je me disais que je devais tout lui raconter.
Je sonnai à la porte, et elle s’ouvrit aussitôt. j’entrai, je vis d’un coup une chaise, occupée par un homme, se cachant dans l’ombre.
- Asseyez-vous, me dit-il.
J’étais un peu effrayé, mais je me suis quand même assis. D’un coup, il se tourna vers moi:
- Alors, qu’est-ce-qui vous amène?
Sur son visage s’étirait un long sourire, et je me suis tout de suite senti rassuré. Pendant les 20 minutes qui suivirent, je lui racontai tout depuis le début, mais une fois que j’eus fini de parler, son sourire rassurant disparut de son visage pour laisser place à une peur profonde, ce qui m’a beaucoup intrigué. Alors, je lui ai dit:
- Alors, avez-vous une idée de ce qui s’est passé?
Mais il ne répondit pas. Cinq minutes plus tard, il releva la tête:
-Effectivement, je le sais. 
Surpris, je répondis:
- Hein ? C’est vrai?
- Oui. La lampe bleue va revenir avec une armée pour nous détruire…

A suivre…

Dimitry et Alexis H

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L'être humain

L’être humain est un idiot.
Il est même très sot.
Nous allons nous autodétruire
et j’ai envie de fuir.
Nous tuons tous les animaux,
même ceux quoi sont loin sous les flots.
J’ai perdu foi en l’humanité.
Je vais aller me terrer
dans un petit abri
au fin fond de la Sibérie.
Là où il fait très froid
et où il n’y a aucune loi.
A part celle de la nature.
Qui est bien la loi la plus pure.
La seule qui vaille sur cette terre
qui n’est pas toujours si claire.

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Leo

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Communication

Plusieurs acteurs entrent en jeu.
  • L’humain, en surfant sur ces carrés noirs, crée le mouvement,
  • La houle se répercute sur une mer.
  • Cette ondulation a la particularité de remodeler l’image.
  • Cette mer est animée de créatures (plantes ou animaux?) capables de modifier le reflet du panorama.
  • Elles en modifient le naturel.
  • Il reste la première personne qui cherche à interpréter cette image qui se reflète sur cet écran.


Capture d’écran 2016-09-08 à 15.55.36

Dimitri

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Football star (2)

Le lendemain, Miguel voit une lettre sur la table; ce qui est écrit dessus lui fait monter les larmes aux yeux; son père a été enlevé par un groupe de rebelles, les plus dangereux du pays. Ils lui demandent la somme astronomique de 300'000$, ce qui est énorme pour Miguel, ils ne vivent qu'avec quelques centaines de dollars. Au dos de la feuille, un autre message est écrit : «Nous savons qu'un recruteur t'a abordé hier, nous savons qu'il te propose de rejoindre un grand club, nous savons que les joueurs gagnent assez d'argent pour nous payer. Tu as deux mois, si tu ne le fais pas, tu ne reverras jamais ton cher père.»
Alors Miguel cherche la carte que José lui a donné, mais il ne la trouve pas, il l'avait pourtant posée sur la table, il en est sûr. Il cherche dans toute la maison mais sans succès. De toute évidence, les kidnappers l'ont pris, ce qui rend la tâche de Miguel quasiment impossible, car il ne connaît pas le numéro de téléphone du recruteur. Il décide d’aller à pied à Lisbonne, Miguel sait que la ville est à plus d'une semaine de route mais il ne se décourage pas, il réunit ses quelques affaires et se met en route. Il le faut, pour son père.
Mais à peine a-t-il quitté sa maison que le premier problème se pose, par où aller ? Il demande sa route à plusieurs passants, mais personne ne sait le renseigner. Alors il va à la cabane du savoir, une petite baraque où vit un vieux monsieur qui connaît tout, absolument tout, il vit au milieu du village. Il lui pose sa question au vieux monsieur qui, après une minute de réflexion, lui indique la route qui part vers le nord, il doit la suivre sans jamais dévier. Miguel quitte le village sans se retourner, motivé à sauver son père. Il marche pendant des heures en allant toujours tout droit, quand une voiture passe il lève son pouce, espérant que le chauffeur s'arrête pour l'aider. Une voiture s'arrête, mais le chauffeur n'inspire pas confiance à Miguel qui préfère continuer à pied. À la tombée de la nuit il est fatigué, il doit dormir, il le sait, mais reporte ses heures de sommeil à plus tard, il doit continuer, il doit se dépêcher de rejoindre Lisbonne et obtenir les 300'000$ qui sauveront son père.
Mais au Portugal, la nuit n'est pas tranquille entre les trafics illégaux, les kidnappers et les animaux, il y a de quoi se faire du souci; alors qu'il traverse une petite ville, un homme l’aborde, l'homme est un trafiquant de drogue; en l’observant, Miguel reconnaît la forme d'un pistolet caché sous la chemise. Miguel prend ses jambes à son cou et parcourt les rues de la ville en courant le plus vite possible, il est rapide, contrairement à l'homme qui a beaucoup de mal à le rattraper, mais il ne connaît pas la ville et il se retrouve coincé, il est trop tard pour faire demi-tour car l'homme ne tardera pas à le rejoindre. Au même moment un jeune surgit de nulle part et attrape Miguel qui s'évanouit sous l'effet de la peur. Sauvé!
Quand il se réveille, il se trouve dans une luxueuse chambre, il n'y croit pas, il se croit mort mais une dame ouvre la porte de la chambre et le conduit dans une gigantesque pièce, il y a de très grands tableau représentant des hommes et des femmes dans leurs tâches quotidiennes, Miguel reconnaît Napoléon sur un des tableaux, un tapis doré recouvre le sol de marbre et deux canapés sont disposés l'un en face de l'autre; au milieu deux télévisions dos-à-dos. Après une minute d'observation, il n'y a personne d'autre dans la pièce. Il aperçoit enfin une porte qu'il décide d'ouvrir mais elle est fermée à clé, une voix retentit alors.
- Bienvenue jeune étranger, je connais ta quête et je peux, je veux t'aider. Mais pour ça, il faut d'abord que toi tu m'aides. Comme tu peux le voir, il y a des cartes éparpillées dans toute la pièce. Miguel ne voit aucune carte quand soudain une trappe s'ouvre au-dessus de lui et des milliers de cartes s'éparpillent sur le sol.

Bastien J

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Perdu en Sibérie

Combien de fois vous êtes-vous enfui d'une prison soviétique de haute sécurité en pleine Sibérie à 500 km de la prochaine ville avec comme seule arme un morceau de verre récupéré sur un vieux miroir et ses jambes protégées par un simple bout de tissu ? Jamais ? Bizarre! C’est tellement courant.
Après 50 km de dure marche dans le blizzard, j'eus la plus grande chance de toute ma courte existence, j’en avais une sur mille de tomber là-dessus : une caravane de nomades des steppes. Mais avec ma grande connaissance du russe je ne pouvais dire que : «Nasdrovia!» Mon vocabulaire s'arrêtait là. Mais on a rien sans rien. J'utilisai alors mes dernières forces et atteignis le dernier cheval du cortège. L'homme tout de noir vêtu me prit sur son cheval, j'imagine m'être évanoui, car je ne ressentis plus rien et ne me rappelai de plus rien jusqu’à ce que…

Cassidy

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Des lettres sans mots

Nous avons détourné les lettres de leur rôle initial, c’est-à-dire d’écrire des mots. Nous avons, en effet, utilisé toutes les lettres d’un mot pour le représenter. Les lettres peuvent être des minuscules ou des majuscules. Voici un petit conseil: ne faites pas attention aux couleurs, mais seulement aux traits noirs!
Essayez de deviner le mot que les dessins représentent et donnez-nous vos réponses dans les commentaires.

Esther et Marilou

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Rébus

👣N💧

🍏2🌍

A👩🏽👩🏽❌💧

🌙
ETTE

Alicia, Diogo et Emma

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Les Moines plutoniens (2)

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DÉCOUVERTE DES ENVIRONS

Je marchais tranquillement dans les rues effondrées de cette mégalopole en ruine, remarquant de nombreux « squelettiformes » près des bouches d’égouts. De hautes tours délabrées dominent l’horizon, et un anneau orbital effondré domine le ciel. Alors que je continue ma route, deux tours similaires relativement épargnées par le cataclysme titillent mon attention. Après 5 heures de marche, je pille un fast-food, la nourriture n’est pas périmée, juste extrêmement sèche ; j’arrive devant deux tours jumelles, j’entre par un trou dans le mur, et je trouve toutes sortes de biens qui pourraient me permettre de survivre quelques jours et des objets mécaniques pour réparer mon vaisseau. La nuit venue, je m’installe dans une des tours; le lendemain, je décide de commencer mon périple vers le site du crash, à une demi-journée de marche.
J’arrive enfin au vaisseau, que je répare assez facilement, mais il manque le
jumpdrive et le réacteur à gravitons. Ça doit se trouver dans l’anneau orbital, où se sont perdus les composants au moment du crash. Pour aller le rechercher, je devrais me construire un autre vaisseau. Il est tard et les parasites commencent à sortir, alors pour l’instant, je vais me coucher.

David et Tim

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Pourquoi ?

Pourquoi? Je ne sais pas. Vous savez, vous? C’est une question à réfléchir. On dit tout le temps qu’il y a une réponse à tout. C’est vrai ça, pourquoi?
Je ne sais pas. Je trouve qu’on n’y pense pas assez souvent, qu’on ne se pose jamais vraiment la question. C’est vague ça, le mot  
pourquoi. Y a-t-il une véritable définition à ce mot? Ce mot est vide, il inspire rarement.
Pourquoi? Je ne sais pas. Pourquoi pas! j’ai envie de dire. C’est une réponse passe-partout, mais je pense avoir trouvé la véritable réponse à cette question. J’en suis même sûre. Vous voulez savoir? Si vous me demandez pourquoi, je vous répondrais tout simplement :
parce que…


Shiryne

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Le journal d'Hugo (007 j'adore James Bond)

Ce matin, je me réveille de bonne humeur car ce midi je vais manger à la cantine avec Rudolph. Je pense que ça va être mon premier copain dans cette école. J’arrive dans la cours tout content et je l’attends… sans fin. Quand la sonnerie retentit, Rudolph n’est toujours pas là. J’entre en classe et je demande à Monsieur Allaman, mon prof de classe :
« Où est Rudolph? »
Il me répond:
« Rudolph est malade, il ne viendra pas aujourd’hui. »
C’est déçu que je vais m’asseoir à ma table, tout seul.
À midi je suis à la cantine, tout seul, mon plateau à la main, je ne sais pas où m’asseoir. Je vois les autres garçons de ma classe tous à la même table en train de discuter. Je réfléchis et me dis que si je me mets à leur table je risque de me faire rejeter. Je tente quand même le coup. J’avais raison, je me suis fait recaler. Tout triste, je vais m’installer dans un coin sur une petite table vide.
Alors que je mange dans le calme, une fille plutôt jolie se dirige vers moi. Finalement elle s’installe en face et elle m’adresse la parole en me demandant mon prénom. Je lui renvoie la question, et nous continuons à nous poser des questions banales, puis de plus en plus intimes. Finalement, je suis content de m’être fait recalé. Je regarde du coin de l’oeil la table des garçons, ils sont tous jaloux. Je suis trop content.
Nous nous dirigeons vers les classes, je sais qu’elle est dans la classe parallèle. Je sais aussi qu’elle a une année de plus que moi. Ça tombe bien je préfère les plus âgées.
Avant de retourner en classe, elle me pose une dernière question:
« Hugo c’est bien toi qui es mon… »

(à suivre)
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Les sentiments de Laura (3)


La joie de la victoire

Je suis suisse et italienne mais je me dis plus italienne. Il y a une semaine, la coupe d’Europe a commencé. Et ce soir, il y a l’équipe nationale d’Italie qui joue contre la Belgique. Je suis une fan ! Avec le drapeau de l’Italie posé sur mes genoux, la main sur le coeur je chante gaiment l’hymne italien. Je regarde le match qui vient de commencer avec mon frère et mon père. « Il y a pas grand chose, dis-je, qui se passe.» Donc je décide d’aller me coucher et je verrai bien demain les résultats sur mon portable. Plus tard, je suis dans mon lit, en train de m’endormir mais, soudain, j’entends ma famille crier de joie. Je sors de mon lit et je m’exclame : « L’Italie a marqué ! » Je saute de joie tellement que je suis contente. Je reste quelques minutes avant de retourner au lit. Je m’endors paisiblement étant contente de cette victoire. Le lendemain matin, à l’école, j’arrive à reconnaître les Italiens, ils ont un grand sourire dessiné sur leur visage et s’exclament : « L’Italie a gagné!» A midi, la sonnerie retentit et je rentre chez moi. Dégustant, plus tard des bons spaghettis au pesto, imaginant les nombreuses victoires des Italiens pendant cette coupe d’Europe.

Les sentiments de Laura, saison 2015-2016, c’est ici.
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Les choses inutiles que tu trouves dans une poche de veste

Les petits bouts du ticket de bus que tu as déchiré en mille morceaux.
Les vieux papiers de bonbons, de chewing-gums ou de goûter.
Les pièces de 5 centimes dont tu pourrais faire une collection.
Les flyers inutiles que l'on t'a donnés quand tu étais pressé.
Des coquillages et du sable quand tu rentres de la mer.
La clé du cadenas de ton casier que tu avais perdue, mais avant de la retrouver tu as cassé ton cadenas.
Les numéros des profs qui ont peur de te perdre lors d'une sortie ; et ceux de tes nouveaux amis, pendant les heures de cours, ou quand ton téléphone n'a plus de batterie.
Le vieux mouchoir que tu n'as toujours pas jeté en te disant que tu le réutiliserais forcément un jour.
Les stylos que tu as oubliés de mettre dans ta trousse (qui est déjà rangée dans ton sac) et que tu ne voulais pas reprendre.
Les nœuds sur les paquets-cadeaux que tu trouves trop beaux et, finalement, ils ne te servent à rien.

Inès, Juliette et Zéa

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Les meubles envahisseurs (1)

Aujourd’hui, il pleut. Je ne suis pas de très bonne humeur, mais je dois travailler, mon travail est la chose à quoi je tiens le plus dans ma vie de solitude. J’habite dans un grenier de 3 mètres carrés éclairé par une seule petite lampe Ikea, sans pouvoir en sortir, et la lumière du jour entre à peine par une petite faille dans le toit.
Bref, voilà un résumé de ma vie avant ce jour, qui changea tout de mes habitudes. Je veux vous le raconter.
Mercredi 23 juillet 2007, jour de sortie d’ordinateurs plus puissants pour mon travail, je décidai de sortir en acheter un. Comme habituellement, je sortis par la petite faille au plafond et je sautai sur le balcon des voisins, sans me faire remarquer. Après 30 minutes, je réussis finalement à acheter mon ordi. Je grimpai le mur, l’appareil à la main, jusqu’à mon logement, à la différence près que je pensai le retrouver comme je l’avais laissé, mais malheureusement ce n’était pas le cas.
Je rentrai tranquillement par la fissure et je vis une scène atroce: par terre, tous mes dossiers étaient étalés et éparpillés parmi la poussière. Mais le plus étonnant fut que tous mes meubles (mon tiroir, mon lit ainsi que ma lampe) avaient totalement disparus, il ne restait même pas une trace.
Puis une question me vint à l’esprit: «Me suis-je fait voler, moi, l’homme le plus seul sur cette planète?»

A suivre… la semaine prochaine!

Dimitry et Alexis H

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Football star (1)

Miguel est un jeune joueur de football de 14 ans, il vit avec son père, mais pas avec sa mère qui est décédée après sa naissance. Il vit au Portugal, à Porto plus précisément, et il joue comme gardien de but dans le club de son quartier, le Paraõ Football Club; l'entraineur n'est autre que son père; en plus des entrainements quotidiens avec l'équipe, Miguel s'entraine avec son père, toute la journée, car il a été renvoyé de l’école à 10 reprises, ce qui lui a valu une exclusion définitive. Il est beaucoup plus heureux sur un terrain de foot qu’assis sur une chaise toute la journée.
Le mot de terrain est un bien grand mot pour décrire le terrain vague qui leur sert de stade, les ligne ont été faites à la peinture pour les murs, et les buts ne sont que trois bouts de bois attachés ensemble avec des lacets. Le ballon, c’est un ballon de baudruche dans un sac serré avec de la ficelle, les joueurs n'ont pas de chaussures à crampons, ils jouent à pieds nus et les gardiens n'ont pas de gants.
Lors d'un match contre le Benfica, le club de la capitale, un recruteur est là, c’est José Lopez, un grand recruteur junior très connu au Portugal; à la fin du match, il va voir Miguel. Ils parlent du match, de la vie de Miguel, mais surtout du club que le recruteur propose à Miguel de rejoindre, le Benfica. Il donne sa carte à Miguel qui, malgré la défaite écrasante de son équipe, rentre chez lui avec un grand sourire. Son père lui demande pourquoi il sourit, Miguel lui explique ce que le recruteur lui a dit. Son père l'écoute sans rien dire, va s'assoir à la fin du récit sur la paille qui lui sert de lit et réfléchit pendant de longues minutes. Puis il dit :
- Mon fils, quand j'avais ton âge, ce même recruteur est venu me voir, il m'a dit la même chose mais le transfert ne s’est jamais fait. J’ai quitté mon petit travail de commerçant pour aller jouer là-bas, c'est pour ça que nous sommes pauvres, je n'ai jamais retrouvé de travail. Miguel écoute son père avec beaucoup d'attention mais il est persuadé que lui va réussir à gagner assez d'argent pour acheter une vrai maison pour son père et lui. Ils vont se coucher en espérant que la nuit leur portera conseil.

Bastien J.

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