Laïus, topo et cliché

Mar 2017

Les mondes parallèles...sélellarap sednom seL

Les vacances enfin... Je devrais être heureux de ne plus aller dans cette prison, ne plus me faire embêter par les racailles du collège, jouer avec Karl... C’est justement ça, jouer avec Karl, où est Karl? Mon grand ami a disparu depuis trois jours et puisque ses parents sont partis en vacance avec les miens depuis quatre, je ne peux savoir où il est. Et ses parents non plus d’ailleurs...
Après m’être ennuyé toute la journée, je me dirige vers sa maison et là, alors que je ne regardais pas devant moi, je tombe dans une bouche d’égout. Immédiatement je me relève, et je me retrouve à côté de la bouche, comme si je n’étais pas tombé dedans...

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Les mondes parallèles...sélellarap sednom seL

Je ne sais que faire de cette situation. Comment se fait-il que cette personne me ressemble tellement? Et pourquoi Paolo est-il ici en train de discuter avec? J'ai l'impression d’être dans un de ces jeux pour console où notre personnage non seulement se balade dans un univers particulier mais en plus peut se téléporter dans d'autres mondes via des tunnels, comme des bouches d’égouts par exemple. Mais maintenant que j'y songe, je suis moi aussi tombé dans une bouche d’égout.

Pasted Graphic
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Qui suis-je?

Suis-je vraiment différente? Sommes-nous vraiment tous différents? Je ne le pense pas... Les gens se trompent souvent sur ma personne. Moi-même, je ne sais pas encore qui je suis. Alors comment les gens osent-ils parler de moi? Je ne me suis pas encore trouvée... Dois-je partir loin? Afin de cueillir toutes ces petites parties de moi... Pâquerettes? Coquelicots? Du muguet ou des violettes? Je veux courir dans un champ coloré...

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Personnes innocentes

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Le poisson de la pleine lune (1)

Il était un grand lac, bien rempli de poissons.
Parmi ces créatures, une était différente.
Elle restait toute la journée sous le ponton,
Comme si elle évitait toute source de lumière.

Mais un jour des chercheurs la virent, très étonnés
Même si elle se cachait bien, le pont avait une fente.
Ils attrapèrent le poisson pour bien l'étudier.
Plus tard ils découvrirent qu'il n'était fait que d'air.

Ce poisson mal formé avait une descendance.
Les scientifiques inquiets tentèrent de les choper.
Mais en y retournant, sous leurs regrets immenses,
Tous les poissons du lac avaient été mangés...

Dimitry

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Je ne sais pas ...

Je ne sais pas pourquoi la terre est penchée
Mais je sais que ça sert à quelque chose
La réponse n’est pas dans mes pensées
De toute façon il n’y a pas grand-chose

Je ne sais pas pourquoi il pleut
Mais je sais que ça mouille
Je suis peut-être grincheux
Je suis peut-être un peu casse-couille

Je ne sais pas pourquoi l’orthographe est si importante
Mais je sais que dans les dictées 
Une petite faute c’est déjà important
Alors que dans ta vie ça ne va rien changer

Je ne sais pas pourquoi on ne tombe pas de la terre
Mais je sais que ceux qui sont en-dessus ne tombent pas
Mais pour ceux qui sont en-dessous de la terre
Je ne vois pas pourquoi il ne tombe pas

Je ne sais pas combien de chose je sais 
Mais je sais que je ne sais pas 
Alors je sais 
Quand je ne sais pas
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Sigma (prologue)

Dire qu’il y a deux jours j’étais encore là-haut, dans l’espace, en orbite autour de Mars pour une mission de reconnaissance. J’étais parti pour deux longues années, sans aucun contact avec la Terre, j’y ai seulement côtoyé mon équipe: Sigma. Nous étions cinq : Caleb le technicien, Cody le pilote, Sarah la responsable informatique et moi, Kevin, le scientifique. Mais aussi et surtout Olga, la photographe et la femme de mes rêves.
La mission s’est déroulée comme prévu: nous sommes partis le mercredi 2 février 2248 à 18 heures. Je m’en souviens comme si c’était hier. Nous sommes arrivés sur Mars le 5 juin de la même année. Nous avons fait six tours de la planète et, pendant plusieurs mois, avons réalisé une analyse du terrain, de l’atmosphère et de la force gravitationnelle. Nous sommes partis de Mars 8 février 2250. À 20’000 kilomètres, nous avons essayé de prendre contact avec la base de la NASA, nous pensions pouvoir parler avec Raoul, le chef, mais nous avons entendu un message préenregistré, accompagné d’un fort grésillement… Nous avons remarqué que quelque chose clochait dès que nous avons vu la Terre, elle n’avait plus cet aspect bleu, elle était grise.

À suivre

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Séjour mortel (3)

Quand soudain Antoine se retourna, il vit un monsieur tout noir avec une grande hache juste derrière lui. Il tenta de partir en courant mais dans la précipitation il marcha sur un fil et ce fil détendit une sorte de grande scie qui descendait rapidement d’un arbre. Antoine décapité net ne se releva pas cette fois. Les dix autres l’entendirent crier avant de ne plus avoir de nouvelle. Antoine était mort, ils n’étaient déjà plus que dix.
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Langage '' SMS ''

« Slt »
Voila comment jengage une conv quand jparle avc mes amis, fin, la plupart du temps. Jsp si tt le monde va comprendre cque jécris ms cest pas si compliqué. Jraccourci juste un max la plupart des mots même si ils sont pas long dbase. Par contre js que jsuis pas la seule à faire ca. Ca peut piker les yeux la premiere fois que vous voyez ca, ms ne vous inquiétez pas, on s’habitue. Javoue que jle ft bcp par rapport aux autres, mais le plus important, cest que cest compréhensible.

« Salut »
Voilà comment j’engage une conversation quand je parle avec mes amis, enfin, la plupart du temps. Je ne sais pas si tout le monde va comprendre ce que j’écris mais ce n’est pas si compliqué. Je raccourcis juste un maximum la plupart des mots même s’ils ne sont pas longs à la base. Par contre, je ne suis pas la seule à faire cela. Ça peut piquer les yeux la première fois que vous voyez ça, mais ne vous inquiétez pas, on s’y habitue. J’avoue que je le fais beaucoup par rapport aux autres, mais le plus important, c’est que c’est compréhensible.
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Derrière les murs (7)

Après être sorti du placard, je monte l’escalier à pas de loup. Maintenant, j’ai de nouveau de la lumière grâce à la lampe de poche que j’ai prise dans ma planque; de toute façon, l’endroit est éclairé; j’éteins la lampe-torche et la range dans ma poche. En haut de l’escalier, il y a un couloir dénudé de tout mobilier, ça sent la peinture fraîche. Je longe le couloir, au bout une porte battante munie d’une sorte de hublot, je guigne: une salle avec le même type de caisses que j’ai vues en bas. Les gorilles reviennent. Sans réfléchir, je pousse la porte et me glisse derrière une grande bâche recouvrant une vieille bagnole usée.
De là, j’aperçois la femme et son pauvre souillon, je vais les appeler Cruella et Brutus, ça leur ira plus que bien. Cruella a l’air stressée malgré son grand effort pour le cacher. Elle traite les « gorilles » de tous les noms d’oiseaux possibles et imaginables – je ne vous les reporterai pas ici sans quoi mon histoire devrait être censurée aux moins de seize ans ! – et griffe Brutus comme pour défouler son impatience. Son impatience de quoi, au juste ? Que contiennent ces caisses et pourquoi s’être installé derrière les murs de ma cave ? Moi je n’habite pas derrière le mur de leur salon ! … du moins, pas que je sache… Écoutons ce qui se trame dans ce hangar :
Brutus parle aux gorilles d’une voix forte mais qui reste raisonnable. Il ne vaut mieux pas se confronter à ce genre de body-builders, surtout quand on n’est pas le patron… :
« Mettez-moi ces caisses dans le fourgon, et que ça saute !
- 😡☁︎%☻*💩😬💀👊🏻⚔🔨💣⚠️⚠️⚠️⚡️👹#️⃣📢💥🎃(remplacement des auteurs)! » gueule Cruella.
Celle-là, je sens qu’elle va pas faire long avant de se faire taper. Et là, je suis encore gentil ! J’entrevois les caisses, mais ça ne m’avance à rien; de l’extérieur, elles sont tout à fait ordinaires. Je ne suis même pas sûr que les gorilles savent ce qu’il y a à l’intérieur. D’ailleurs, où sommes-nous ? Sûrement pas très loin de chez-moi, mais en même temps je ne me souviens pas avoir aperçu de signe de vie à des kilomètres de chez moi… à part… le cabanon de jardin, juste à coté de ma maison ! Je l’ai visité rapidement mais je ne m’en suis pas préoccupé jusqu’à présent… Si j’ai bien compris, je me trouve entre le mur de ma cave et le mur de mon cabanon… ou le plancher, pendant qu’on y est ! Je les déteste, mais alors gravement beaucoup. D’ailleurs, je n’ai pas de mots pour exprimer ce que je ressens vraiment. Ils ont juste squatté un bout considérable de mon domaine. Profitons de leur présence ici pour aller jeter un coup d’oeil aux archives de la maison. Je me faufile par la porte battante, accélère un peu l’allure dans le couloir, puis cours depuis les escaliers de cette planque jusqu’à mes escaliers, ceux de ma cave. J’arrive dans mon salon, là où est entassé le tas de paperasse concernant ma maison. Je lis :
« ...la propriété comprend l’intégralité de la maison plus le terrain alentour. »
Ils sont donc tout ce qu’il y a de plus illégaux ! Je vais aller me renseigner sur le passé de cette maison afin de tirer cette affaire au clair.

à suivre...
Loïs et Xavier

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Mon futur...

On me dit souvent de bien étudier pour avoir un bel avenir. Mais pourquoi avoir un bon métier, une magnifique maison, une belle voiture, une vie parfaite...? Cette vie ne m'intéresse pas, c'est l'imperfection qui rend une chose unique.
Je voudrais voler jusqu'en Australie pour peut-être en savoir plus sur moi. Je voudrais courir jusqu'à Rio pour faire danser mon âme. Je voudrais nager jusqu'à Hawaï pour surfer sur mes pensées.
Faire tout ce qu'il faut afin d'avoir des histoires à raconter à mes enfants et ainsi, continuer à vivre à travers celles que ceux-ci raconteront à mes petits-enfants...


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Personnes innocentes

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Séjour mortel (2)

Ce fut un trajet extrêmement mouvementé et Dianna, qui est malade en voiture, vomit à plusieurs reprises. Après trois bonnes heures, Antonin, Dianna et Delilah arrivèrent dans un vieux chalet abandonné au beau milieu de la forêt. Ils rentrèrent par une fenêtre cassée au sous-sol et s’installèrent dans plusieurs chambres à l’étage. La première nuit se passa bien même s’il faisait très froid et que les animaux sauvages faisaient dehors beaucoup de bruit. Au réveil Antonin se plaignit:
    Pendant le déjeuner des bruits de fusils retentirent de plus en plus proches du chalet, Antoine décida de sortir de la maison pour regarder, il ne vit personne autour du chalet. Quand soudain…
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    SUDDEN CHANGE

    épisode 2:
    THE DEATH ROOM

    26 décembre 2001

    Je sors du bus, la peur m’envahit, mon coeur battant de plus en plus vite. Mes premiers pas sont très difficiles, mes menottes me font mal. J’arrive vers l’entrée de la prison, la porte est énorme. Les deux gardes qui m’escortent tapent à la porte, les gardiens de la prison l’ouvrent. Ils sont habillés différemment, leurs habits sont noirs, ils ont des pantalons à motifs militaires. Ils m’embarquent à l’intérieur. J’entends des cris… Ils m’emmènent dans une petite salle. A l’intérieur, il y’a des casiers, des centaines de casiers. Un des gardes me dit de me déshabiller et de lui les donner, je le fais, il me donne les habits de la prison, ils sont bleu foncé. Il m’emmène dans ma cellule, elle se situe dans l’immeuble B. Mes premiers pas dans ma cellule sont hésitants, le premier regard entre mon co-détenu et moi est extrêmement désagréable et froid, j’ai l’impression de l’avoir déjà vu « sûrement dans une autre vie ». C’est l’heure du temps de libre, je sors de ma cellule et je regards autour de moi… Il y a des gros, petits, grands, maigres. L’ambiance est tendue, mais je préfère rester dans ma cellule. Je m’endors difficilement… Au milieu de la nuit, un bruit me réveille, à moitié endormi je me lève, je me cogne la tête contre… Oh! mon Dieu…

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    Les noms de la 10VG/2 en japonais

    Evan: エヴァン

    Flavio:
    フラビオ

    Ludovic:
    ルドビク

    Damien:
    ダミエン

    Emma:
    エマ

    Valentino:
    バレンチノ

    Diogo:
    ディオゴ

    Alicia:
    アリシア

    Noah:
    ノア

    Tim:
    ティム

    David:
    デイビッド

    Shiryne:
    セックス

    Thi my lan:
    ティ私の

    Mouldi: (aucune réponse)

    Jean:
    ジョン

    Evan

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    Le journal d'Amélie (7)

    26 décembre 2015

    J’ouvre la porte. Aurélie est sur le pas de porte impossible. Moi qui la croyais morte. Elle s’avance vers moi et me fait un câlin.

    Amélie: Mais où étais-tu?
    Aurélie: Je suis restée bloquée à l’aéroport.
    Amélie: Mais tu ne nous as pas appelés?
    Aurélie: Je n’avais plus de batterie.
    Lucie: Aurélie… C’est toi?
    Aurélie: Oui.
    Amélie: Entre et raconte nous tes vacances.
    Lucie: Mais alors qui est donc cette personne décédée.
    Aurélie: Mais de quoi parles-tu?
    Amélie: On t’attendait le soir de Noël, quand un policier est venu pour nous annoncer ta mort.
    Aurélie: Sur ce point je ne peux pas vous aider.
    Amélie: C’est vrai, mais qui est donc cette personne?


    Amélie 7 (photo)

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    Les Moines plutoniens (9)

    Sci Fi Arctic
    Source de l’image

    « La xénophobie n’apportera rien, regardez ce qui est arrivé à l’empire d’Orion, il a très vite chuté dans l’anarchie. »

    Lyne Brivis, « Leçons du passé », éditions Thaure, Torus VI, 16721 ap. J-C


    OBHOL

    Quand ils atterrirent, ils furent accueillis par nombre de gens armés, prêts à tirer au moindre geste non-conforme. Sur le moment, on pouvait avoir l’impression qu’ils attendaient la moindre occasion de plomber les étrangers. Tandis que l’équipage s’avança sur la piste, un homme très grand, tellement poilu qu’il ressemblait à un ours, s’approcha d’eux et les interpella :
    - Bien le bonjour, étrangers ! Excusez ces hommes, ils ont une peur aveugle des hommes de l’espace.
    - Bonjour monsieur. Si nous sommes ici, c’est pour acheter… à peu près de tout, dit un membre de l’équipage, visiblement un ancien marchand.
    - Je vois… Suivez-moi, je vous montre le chemin du supermarché.
    - Très bien, termina alors l’ancien marchand.
    Après quelque minutes à voyager en snowspeeder, ils arrivèrent dans une grande ville, visiblement de plus de dix millions d’habitants poilus. De là où ils étaient, ils ne pouvaient pas voir grand chose, excepté un gigantesque nuage de smog, au travers duquel ils discernaient les feux provenant de raffineries. Quand l’équipe descendit du véhicule, elle se trouvait devant un supermarché. La brume les empêchait de voir à plus de cinquante mètres. Au-dessus des rues pavées sur lesquelles ils se situaient, un gigantesque réseau de monorail remplaçait le besoin de posséder une voiture.
    Quand ils entrèrent dans le magasin, une chose les surprit : la filtration de l’air était excellente. L’air que l’on respirait en ce lieu ne sentait pas le pétrole, ni n’était irrespirable.
    Ils achetèrent nombre de choses ici, notamment un stock gigantesque de bières, des masques à gaz, de la viande locale, des légumes locaux, un stock de matériel de bricolage et des statues à l’effigie d’un ancien dictateur.
    Par contre, durant tout le temps qu’ils passèrent à acheter des objets, une chose les troubla. Ils remarquèrent que la plupart des gens ici possédaient des technologies trop avancées pour un monde T-8. D’habitude, l’IA du vaisseau aurait précisé que ceux-ci commerçaient de la technologie avec d’autres peuples. Et comble de l’étrange, ces technologies cybernétiques n’étaient pas reconnues par un Omni-Tech, qui pouvait reconnaître n’importe quel objet existant dans la galaxie. Ils devaient sur le champ mener une enquête. Mais par où commencer ?
    - Un bar bien sûr ! dit alors Hemaed, le pilote.


    David, Mouldi

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    Les pensées d'une Napolitaine (2)

    Trois ans plus tard…

    À ce moment là, j’avais 16 ans, j’étais au lycée comme tous les jeunes de mon âge. Le travail était dur pour certains de mes amis. Personnellement, je ne trouvais pas cela trop compliqué. La seule branche que j’appréciais était la géographie. Mais, malheureusement, le prof nous parlait seulement de la géographie italienne. Je préférais en savoir plus sur d’autres pays.
    À la fin d’une journée d’étude, je décidai de rentrer à la maison. Sur le chemin du retour, parmi les rues étroites que je prenais tous les jours, je m’arrêtai dans une petite librairie sombre. La salle était remplie de vieux livres un peu usés. Je tombai par hasard sur un livre concernant la Suisse, je constatai que c’était le moins usé de tous. Je décidai de l’acheter, en plus, il n’était pas cher. J’avais hâte de le lire. Plus tard, sortant de table, je commençai à le feuilleter… Je trouvai un chapitre sur Berne, la capitale, les photos étaient magnifiques. Les rues étaient propres et les maisons en parfait état, contrairement à Naples. Je me demandai si les gens se rendaient compte du privilège qu’ils avaient, j’étais d’humeur curieuse. Je devais y aller pour avoir la preuve. Mais, le problème, c’était que je devais récolter de l’argent, ma famille n’était pas aussi riche qu’une famille suisse. Le soir, je décidai d’en parler avec mes parents, ils étaient plutôt hésitants. Pourtant, les grandes vacances d’été étaient proches…

    Giulia

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    Le journal de Nicolas (4)

    Lundi, 25 août 2014

    Ce matin, c’était la rentrée. J’étais très stressé et je n’avais vraiment pas envie d’aller à l’école. Ma mère m’a accompagné en voiture.
    Quand je suis rentré en classe, tous les regards se sont posés sur moi, je me sentais mal à l’aise. L’enseignante m’a présenté à la classe et tous mes camarades m’ont salué.
    Durant la journée, je n’ai rien compris, tout le monde parlait anglais. Personne n’est venu me parler, j’étais tout seul. Dans ma classe, il n’y a qu’un français mais il ne m’a pas parlé. Quand j’essayais de parler anglais les garçons se moquaient de moi.
    Quand je suis arrivé chez moi, ma mère m’a demandé comment s’était passée ma première journée. Je lui ai répondu que j’étais triste car je me sentais seul et que je ne voulais pas y retourner...

    Nicolas

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    Paresse

    Pourquoi sommes-nous condamnés
    A ne voir que le temps passer
    Limités par notre passivité
    Paresseux accrochés

    A notre longue branche
    Qui vers le sol penche.
    Son nom est confort
    Et presque comme la mort
    A l'extrême nous ralentit
    Nous plonge dans la léthargie
    Nous finirons endormis
    Au fond de notre lit

    Evernote Snapshot 20170316 151158 (1)

    Leo

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    Mes pensées, mon monde

    Pourquoi déprimer? Alors qu'on nous offre la vie... Voir le bon côté des choses ne fait pas de mal, alors pourquoi ne pas partir à la découverte de beaux instants. Si tu n'en trouves pas, suis-moi! Je t'emmènerai voyager dans un monde de folie, où la haine danse harmonieusement avec la joie et où les nuits de silence deviennent des jours de délivrance. Tu goûteras à l'adrénaline qui te mettra la boule au ventre. L'âme de ce monde te suivra seulement si tu en as l'envie... Allez, suis-moi! 

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    Personnes innocentes

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    Le dangereux périple d'une goutte d'eau (1)

    Plouf, plouf, plouf, plouf, plouf…

    Me voici enfin sur terre, le sol est chaud et dur. Je glisse. Je tombe sur une autre goutte qui me lance un regard noir, alors je m’excuse. Aujourd’hui, notre communauté n’est plus ce qu’elle était; avant, on s’entraidait, mais depuis que la planète va mal, c’est chacun pour soi! C’est bien pour cela que je dois me rendre à la manifestation qui lutte contre la pollution des océans, le plan est génial: on va toutes avancer en même temps pour créer une vague immense que les humains appellent « tsunami », ça les poussera enfin à agir… Je dois vite établir une trajectoire avant que le soleil ne pointe son nez! Pour pouvoir me rendre dans l’océan, il faut que j’atteigne la rivière, après ça je me dirigerai vers les égouts, la partie la plus dangereuse de mon voyage. Je dois rentrer dans une bouche d’égout minuscule qui arrive dans l’océan, pourvu que j’y parvienne, ma tante Océane est morte en essayant…
    Sans m’en rendre compte, je viens de réussir la première étape de mon périple, je suis dans la rivière! J’ai l’impression de glisser sur un toboggan, c’est tellement drôle. J’entends une voix au loin qui me parait familière, je bouscule quelques gouttes pour me rendre au fond. Ah oui, c’est Eludib, nous étions dans la même classe il y a 320 ans! Je suis pressé alors juste avant d’enclencher mon accélérateur, je lui donne mon adresse igoutte.
    Le cours d’eau est plus long que je ne le pensais, je descends une multitude de cascades et je vois beaucoup de paysages différents. Après 60 heures de voyage, je commence à apercevoir l’entrée de l’égout…
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    Les cinq sens

    Sans rien voir,
    On a de la peine à croire.
    Sans rien entendre,
    On aurait du mal à comprendre.
    Sans rien sentir,
    Aucune odeur pour nous faire vomir.
    Sans pouvoir goûter,
    Absolument rien à déguster.
    Sans toucher,
    On ne pourrait rien attraper.

    Sans, que ferions nous?

    Mylan et Shiryne

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    Séjour mortel (1)

    Un groupe de vieux amis a décidé de partir dans une forêt à la montagne dans un chalet abandonné pour les vacances. Il y avait 6 filles :

    Christa:
    23 ans, cheveux blonds, yeux bruns, capable de garder son sang-froid à toute épreuve.

    Anissa:
    20 ans, cheveux bruns, yeux verts, facilement distraite.

    Amélia:
    22 ans, cheveux noirs, yeux bleus, débrouillarde.

    Delilah:
    21 ans, cheveux châtains, yeux bleus, fait preuve de grande gentillesse.

    Annah:
    22 ans, cheveux gris, yeux verts, ne baisse jamais les bras.

    Dianna:
    24 ans, cheveux noirs, yeux bruns, peureuse.

    Et 5 garçons:

    Thomas:
    24 ans, cheveux violets, yeux verts, égoïste.

    Antoine:
    21 ans, cheveux noirs, yeux bleus, réservé.

    Jacob:
    22 ans, cheveux châtains, yeux bruns, très drôle.

    Antonin:
    20 ans, cheveux noirs, yeux verts, s’énerve facilement.

    Erik:
    22 ans, cheveux blonds, yeux bleus, schizophrène.

    Leurs vacances vont virer au cauchemar…
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    Derrière les murs (6)

    Il me faut une minute de repos. Ça fait plus d’une heure que je réfléchis à toute vitesse et, franchement, je pense que ça nuit à mon jugement. Je suis en train de douter de quelque chose dont j’étais parfaitement sûr. Là, ça ne va plus. Plus du tout. Prenons une minute pour réfléchir à tout ce qui vient d’arriver, depuis mon arrivée ici au manoir. Le manoir, tiens ! Il est à moi, preuve irréfutable que ces individus sont malhonnêtes. Oui, mais non, ça ne prouve rien en fait. C’est peut-être le vendeur, le plus louche dans l’histoire. Je suis en train de réfléchir autant qu’à un contrôle de géographie, alors que je viens de déclarer que je devais me calmer.

    Qu’est-ce que je fais ? Je pourrais peut-être juste tenter de deviner ce qui se trouve dans ces caisses sans me faire voir… Bon, vu les événements récents, ce n’est probablement pas une bonne idée… Que faire ? Et si je leur demandais: « Bonsoir, vous êtes des méchants ou des gentils, c’est pour savoir si je peux vous dénoncer à la police ? » Remarque, si ils me tirent dessus, je serai fixé… Et si j’imitais un agent de police, ils hésiteraient peut-être. Bon, je vais pas moisir ici plus longtemps. Je me lève et me dirige vers la petite porte. L’ont-ils fermée à clé ? Elle s’ouvre. J’ai de la chance... ou pas. Un couloir. Je le prends, toujours dans l’obscurité. Des escaliers. Je monte, marche par marche et, soudain, comme un vieux cauchemar qui se réveille au plus profond de vous-même, les pas reviennent, réguliers et menaçants. Je ne ferai pas demi-tour cette fois. Mon pas se fait plus pressé à mesure que les bruits se rapprochent et, tout d’un coup un petit placard me tend la main, comme pour me dire: « Allez mon gars, continue! » Je me faufile à l’intérieur. Les voilà, mais ce n’est pas les mêmes. C’est deux gars, bâtis comme des armoires à glaces. Peut-être est-ce les « déménageurs » dont parlait la femme. Ils s’arrêtent juste devant ma planque et l’un des deux colosses fouille à tâtons. Je sens le souffle que sa grosse main poilue génère, j’en ai la chair de poule. Il pourrait sûrement me broyer la tête dans une de ses « pelleteuses ». Il retire sa main avec un objet que je mets un moment à reconnaître. Une lampe de poche ! Le gars l’allume, heureusement pas dans ma direction, et les deux mecs repartent. Les pas s’éloignent, je me détends un peu. Peut-être y a-t-il une autre lampe ici. La mienne est restée dans le passage que j’ai découvert. J’en aperçois une autre. Pour une fois, ce sont ces types louches qui m’ont rendu service. Je sors de ma cachette et jette un coup d’oeil au-dehors.

    à suivre...
    Loïs et Xavier

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    Post-it (20)

    Bientôt il arrivera
    Puis il repartira
    Ce cher printemps
    Que l’on a vu il y a longtemps
    Il amènera le Soleil
    Dès notre réveil
    Ensuite viendra l’été
    Et ses beaux palmiers
    Les jours se rallongent
    Et les habits changent
    L’automne viendra en septembre
    Et partira en décembre
    Le froid régnera
    L’hiver fera sa loi
    Mais pour l’instant
    On profite du printemps!

    photo post-it 20

    Post-it

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    Mes musiques

    21 savage, Lil Uzi Vert, rich the kid, Future, Rae Stremmurd, Denzel Curry, Drake, young.ma, Lil Yachty, PARTYNEXTDOOR, Travis Scott, Kendrick Lamar, A$AP Rocky, Big Sean, Meek Mill, YG, Young Thug, J.Cole, Tyga, Kanye West, Flatbush Zombies, Migos, Post Malone.

    Voici la liste des artistes que j’écoute souvent. La plupart d’entre eux, comme vous l’aurez constaté, sont des rappeurs américains. Ce que j’aime beaucoup dans les musiques de ces artistes, c’est la manière dont ils s’expriment. L’une des choses qui m’incitent le plus à écouter leurs musiques, ce sont les rythmes et les sons qui sont la plupart du temps au début, avant que les rappeurs commencent à chanter. Voici quelques chansons que j’écoute, si vous aimez le rap, je vous les conseille :

    - 21 savage - x (feat Future)
    - Rae stremmurd - Swang
    - Lil Uzi Vert - seven million (feat Future)
    - Migos - Slippery (feat Gucci Mane)
    - Travis scott - pick up the phone (feat Quavo)
    - young thug - Best Friend

    Darin

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    Le journal d'Hugo (17)

    Le lundi 6 octobre

    La soirée d’hier a été horrible; vers 19 heures, la police est entrée brusquement en criant:
    “Monsieur Misha Van Chorthaus, vous êtes en état d’arrestation, sortez immédiatement de cette cabane!”
    Même la police dit que c’est une cabane. Quelques minutes plus tard, elle explique la situation à maman, qui doit partir pour une certaine “garde à vue”. Misha est accusé d’être un “dealer” et maman d’être sa complice. On devra aller chez papa; mais pour le moment, nous sommes chez Tressia. Rudolph est également venu me dire au revoir et passer un dernier moment avec moi.

    On va enfin revoir papa! Les petits déjeuners de rêves, la télé à écran plat, que du bonheur! Par contre, pour Tressia et Rudolph, c’est une autre histoire… Bref, je vais les inviter chez papa le week-end prochain, sinon je passerai une semaine sans les voir, et je ne veux pas perdre contact avec eux. Même si je ne m’entends pas avec maman, j’espère qu’elle sortira vite de prison, et surtout que ce Misha ne lui aura pas fait trop de mal.

    Ce matin, je me réveille, le coeur lourd. Je vais à l’école, histoire de dire au revoir à mes copains, j’ai eu d’énormes difficultés à m’intégrer, à me faire apprécier par mes camarades. Mais finalement j’ai réussi, je les apprécie et je pense que c’est réciproque. À 10 heures, papa vient nous chercher, il me dit que je pourrai inviter Tressia et Rudolph ce week-end. C’est un nouveau départ pour Arthur et moi, qui dit nouveau départ, dit nouvelle vie...

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    Journal de Rebecca (4)

    20 avril 2013

    Corvée de ménage et privés de sorties.
    Tout était parfait, sauf ce maudit chat! En sortant de la salle de bains, il a foncé dans les escaliers, a raté le contour et s’est pris le sac poubelle qui contenait les confettis. Mais ceci n’est que le début de la catastrophe, le meilleur reste à venir. Le sac s’est accroché à la clochette du collier de Tigrou qui s’est baladé dans toute la maison en vidant, par la même occasion, son contenu.
    Au même moment, la mère d’Eléna ouvre la porte. Elle hurle et lâche les bagages. Valérie attrape les jumeaux par les oreilles et leur demande des explications. Tayler raconte qu’ils ont trouvé ce sac rempli de confettis en allant chercher à la cave une bouteille de jus de pomme et des biscuits pour les quatre-heures. Ce matin, ils l’ont remonté et ils ont attendu les parents pour savoir s’ils pouvaient le jeter. Juste avant qu’ils arrivent, Tigrou a commencé à jouer avec le sac. Valérie acquiesce et leur demande de nettoyer. Le mensonge tient, sauf qu’on a oublié les témoins.
    Quelqu’un sonne à la porte, Eléna ouvre:
    “Salut, j’ai oublié ma veste hier.
    - Ah oui Alex, ta veste, répond-elle d’une voix gênée. Je l’ai mise de côté pour toi.“
    Eléna la lui rend. En partant, Alex ajoute:
    “Ah, au fait, ta fête était mortelle.“
    Eléna se retourne telle les jurés de “The Voice“ et découvre le visage en colère de sa mère. Avant de punir les jumeaux, elle me sermonne et me renvoie chez moi comme Zeus renvoyant Hadès aux Enfers.
    Quand je suis sortie de la maison, Edward, le papa des jumeaux, m’a saluée. Juste après, le cri de gnou s’élève et Papa-Ours s’inquiète.
    De ce que j’ai entendu, je peux l’affirmer: si Eléna était général à l’armée suisse, sa maman serait le commandant de l’armée américaine. Mais je sais que lorsque Papa-Ours interviendra, la colère du commandant s’adoucira tout de suite. J’espère que la punition ne sera pas trop longue car Eléna me doit toujours une journée shopping.

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    Alors...?

    Prendre une décision… Tout le monde ne sait pas le faire, et j’en fais partie. On me demande souvent mon avis, mais je ne sais jamais quoi dire. Je suis comme un étranger dans une ville inconnue. De quoi ai-je peur? Même si j’essaie de trancher entre deux choses, je n’y arrive pas. Vanille ou chocolat? Je ne sais pas. Les bleus ou les roses? Et pourquoi pas les verts. Tous ces choix à faire tourbillonnent dans ma tête. Pourquoi donc en faire? Choisissons tout ce qu’il nous plait ! Vanille et Chocolat!

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    Personnes innocentes

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    Les Moines plutoniens (8)

    hoth1
    Source de l’image

    « La chancla ! »
    Adage d’explorateur

    Note : petit changement au niveau de la structure du texte; nous changeons de système de narration, nous passons de la structure je-présent-sans passé simple à une structure il-imparfait-avec passé simple; cela permet plus de choses du point de vue narratif.

    L’IRLANDE DE L’ESPACE

    Après quelques heures dans le coma, le groupe se réveilla, Thrani le premier. Le vaisseau semblait être revenu au dernier lieu de saut, c’est-à-dire dans le système Sol. Sans attendre plus longtemps, ils sautèrent à l’autre bout de la galaxie, dans le système Obholh. C’est un petit système de 4 planètes, dont une avec une lune habitable. Ce fut alors qu’un membre de l’équipage, nommé Hobhor, demanda à l’IA du vaisseau :
    - Décris-moi les mondes habitables!
    - Obholh IV Z, surnommée « L’Irlande c’est génial » par ses découvreurs, est une lune arctique pas plus grande que Sol I. Elle possède une atmosphère similaire à la Terre. Ses habitants sont des humains descendant des peuples celtiques qui ont acquis une forte pilosité pour s’adapter à cet environnement. Ces derniers vivent dans une société xénophobe et autoritaire, ayant une économie basée sur l’exportation de matières plastiques et d’alcool. Leur niveau technologique est T-8, caractérisé par le début des voyages spatiaux et le début de la conscience artificielle.
    - Merci, répondit Hobhor.
    C’est alors qu’ils commencèrent leur lent atterrissage sur ce monde de glace et de bière.

    David, Mouldi

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    L'affaire Kate (2)

    Chez Bill, un pauvre gars qui vend des bières aussi dégueulasses que son bar. Avant j’y allais souvent pour acheter des cigarettes mais depuis que Bill doit de l’argent à la moitié de ses clients l’endroit est devenu un vrai dépotoir. Kate, elle avait espoir en son bar. Elle y allait régulièrement, surtout depuis qu’on a arrêté de se parler, plus elle y allait plus elle devenait distante, et elle changeait d’humeur petit à petit. J’ai toujours été nul pour comprendre ce qu’elle ressentait mais une chose était sûre, c’est que si quelqu'un sait quelque chose, c’est dans ce minable bar que je trouverai réponse à mes questions.

    Mylan et Flavio

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    Le Chocolat

    Quoi de mieux pour se réconforter
    Après une dure journée?
    Toujours là quand on a un petit creux,
    Ou lors de moments douloureux.
    Il nous console et nous donne le sourire,
    Parfois même il nous fait rire.
    Un petit morceau devant la télé,
    Bien installé dans son canapé.
    En tablette, en chocolat chaud,
    En branche ou en gâteau,
    Il est vraiment délicieux
    Et nous rend heureux.


    photo chocolat (1)

    Chiara et Tina

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    Les petits textes d'hiver (4)

    Il était une fois, à Martigues, un petit garçon nommé Samuel. Il vivait au bord des plages bordées de parasols, dans une petite maison de pêcheur avec ses parents et sa petite soeur. Chaque jour, le soleil brillait, il fallait toujours s’étaler de la crème solaire sur le visage.
    Ce jour-là, c’était jour du marché, son jour préféré, il allait toujours piquer quelque chose à manger comme de la pissaladière provençale, qu’il aimait par-dessus tout.
    L’après-midi, il alla à l’école, il était un peu grognon car c’était la visite dentaire, il s’était comme métamorphosé. Un dentiste lui fit ouvrir la bouche pour lui appliquer du détartrant. Samuel grincheux, le laissa faire. Il vit sur le packaging du produit utilisé des petites anoures et des ratons-laveurs. Incongru! Bizarre!
    Plus tard, la sonnerie retentit, il se dirigea vers la sortie, il courut à tout allure vers la plage recouverte de sable fin, il enleva ses sandales, trempa ses pieds dans l’eau, enfin la liberté!
    Il aperçut au retour, sur le chemin, des acanthes violettes. Il décida d’en ramener pour sa mère, sûrement en train de faire l’amidonnage de ses vêtements, et notamment son pull préféré avec un éléphant et sa grande trompe, il aimait beaucoup se rouler dans les champs d’herbes fraiches.
    Rentr
    é la maison, il vit son père sauter de joie. Depuis quelques années, il travaillait sur un gros projet, des objets pour capter la lumière du soleil et la transformer en électricité, qu’il appellerait « panneaux solaires ». Depuis une heure, son père explosait d’énergie. Samuel le trouvait un peu agaçant mais il fit preuve d’habileté, d’habilitation comme il disait, et le laissa crier de joie.
    Ensuite, Samuel voulut s’asseoir sur le canapé pour manger son sandwich, mais ne vit pas les petites affaires alignées de son père et les écrasa. Comme personne ne se trouvait dans la pièce à ce moment-là, il partit à pas de loup dans sa chambre. Il s’exclama à voix basse : « Ni vu ni connu! » Il utilisait beaucoup cette réplique car, vous vous en doutez, c’était un petit chenapan…

    Note des auteurs :
    N’oubliez pas, dans les commentaires, de nous proposer à nouveau des mots pour que nous puissions faire une suite.


    Maela et Xavier

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    Le temps

    Pourquoi doit-il nous arracher nos moments de bonheur
    Avec nos grands-pères et nos grands-mères?
    Sans eux nous avons un goût amer au fond de notre coeur.

    Pourquoi devons-nous grandir pour ensuite mourir ?
    Il tue tant de gens sans y réfléchir.
    Le temps est donc un être dépourvu de gentillesse
    Qui nous jette comme des pièces...

    Ces secondes, ces minutes, ces heures passées
    À rire, à s’amuser avec notre bien-aimée,
    Perdues à jamais dans les méandres du temps...

    Mais je pense que le temps pardonne les erreurs,
    Qui ont causé tant de douleurs
    Aux personnes que nous aimions
    De tout notre coeur…

    Mais je pense que le temps est une personne seule car à la fin de tout monde il ne restera que lui…


    Nicolas

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