Le Grand Entretien
mercredi, le 12 octobre : Claude Nicollier
Mots de la fin
mercredi, le 12 octobre : Madame Cibert Prod'hom |Murielle Henchoz
Vendredi soir 22h00, cour du Mottier. Sandra et Murielle discutent sous les étoiles.
S : Et voilà, on a presque fini, le sentier des planètes est rangé. Il ne faudra pas que j’oublie de déposer les cartes du système solaire en forme de fruits dans le casier de Doumé mardi. Elle continue d’étudier les planètes avec ses élèves.
M : J’ai tellement appris de choses sur l’astronomie cette semaine, c’est vraiment passionnant !
S : Béatrice Leresche, Frédéric Graf, Maxime Spano, Gilles Carnal, Claude Nicollier, quelle qualité ! Il faudra trouver une date pour le retour du stardome l’an prochain, et ne pas oublier d’organiser une séance pour les enseignants.
M : N’oublions pas les remerciements, faisons la liste.
S : Effectivement ! Il y a Raul. On l’a bien eu ! Il s’est fait embarquer dans l’organisation presque sans s’en rendre compte.
M : Il est vrai qu’il n’a pas seulement fait le lien entre le Conseil de direction et nous, il nous a bien secondées.
Je note aussi Romain ! Une magnifique affiche, un tutoriel spatial, des dessins UV pour l’aula. De l’art cosmique.
S : Inscris mes collègues d’OS et d’OCOM 11S qui ont été immédiatement partants pour accueillir, avec leurs élèves, des petits de 4P à 6P. Quel plaisir de collaborer avec eux.
M : Jean et tous ses élèves de 10VP qui ont assuré un travail de qualité avec la rédaction des textes et la mise en ligne du blog de la semaine sous les étoiles. Ils ont eu les yeux presque partout. Beaucoup de retours positifs, les lecteurs sont nombreux.
S : Jodie et Guillaume ont été parfaits pour interviewer Claude Nicollier. Je me réjouis de voir la séquence sur le net. Ça risque de faire le buzz jusqu’à ISS !
M : On n’avait pas imaginé qu’un festival off allait se mettre en place. Toutes ces initiatives individuelles, c’est magnifique. Melissa Va Toujours Manger Jeudi Sur Un Navire, je connais même l’ordre des planètes.
S et M : N’oublions pas Mario qui a notamment préparé l’aula pour les conférences du vendredi et Robin qui va devoir s’occuper du sol du labo Marie Curie après le passage de cent petits pieds de plus que les autres semaines. Et Benoît, Véronique et Séverine qui ont organisé les remplacements et les trajets de bus.
M : Et Doris qui m’a aidée à préparer le cyber-rallye, les décorations de la médiathèque et tout et tout.
M et S : Qui donc avons-nous oublié ? N’oublions pas de le remercier !
S et M : Et merci à Monsieur Wolters qui nous a soutenus pour ce genre de projet !
S : Alors pour l’an prochain, tu as une idée de thème ?
M : Bien sûr ! Et toi ?
S : Aussi !
Un flash d’iridium illumine le ciel ! Il est temps d’aller se coucher.
S : Et voilà, on a presque fini, le sentier des planètes est rangé. Il ne faudra pas que j’oublie de déposer les cartes du système solaire en forme de fruits dans le casier de Doumé mardi. Elle continue d’étudier les planètes avec ses élèves.
M : J’ai tellement appris de choses sur l’astronomie cette semaine, c’est vraiment passionnant !
S : Béatrice Leresche, Frédéric Graf, Maxime Spano, Gilles Carnal, Claude Nicollier, quelle qualité ! Il faudra trouver une date pour le retour du stardome l’an prochain, et ne pas oublier d’organiser une séance pour les enseignants.
M : N’oublions pas les remerciements, faisons la liste.
S : Effectivement ! Il y a Raul. On l’a bien eu ! Il s’est fait embarquer dans l’organisation presque sans s’en rendre compte.
M : Il est vrai qu’il n’a pas seulement fait le lien entre le Conseil de direction et nous, il nous a bien secondées.
Je note aussi Romain ! Une magnifique affiche, un tutoriel spatial, des dessins UV pour l’aula. De l’art cosmique.
S : Inscris mes collègues d’OS et d’OCOM 11S qui ont été immédiatement partants pour accueillir, avec leurs élèves, des petits de 4P à 6P. Quel plaisir de collaborer avec eux.
M : Jean et tous ses élèves de 10VP qui ont assuré un travail de qualité avec la rédaction des textes et la mise en ligne du blog de la semaine sous les étoiles. Ils ont eu les yeux presque partout. Beaucoup de retours positifs, les lecteurs sont nombreux.
S : Jodie et Guillaume ont été parfaits pour interviewer Claude Nicollier. Je me réjouis de voir la séquence sur le net. Ça risque de faire le buzz jusqu’à ISS !
M : On n’avait pas imaginé qu’un festival off allait se mettre en place. Toutes ces initiatives individuelles, c’est magnifique. Melissa Va Toujours Manger Jeudi Sur Un Navire, je connais même l’ordre des planètes.
S et M : N’oublions pas Mario qui a notamment préparé l’aula pour les conférences du vendredi et Robin qui va devoir s’occuper du sol du labo Marie Curie après le passage de cent petits pieds de plus que les autres semaines. Et Benoît, Véronique et Séverine qui ont organisé les remplacements et les trajets de bus.
M : Et Doris qui m’a aidée à préparer le cyber-rallye, les décorations de la médiathèque et tout et tout.
M et S : Qui donc avons-nous oublié ? N’oublions pas de le remercier !
S et M : Et merci à Monsieur Wolters qui nous a soutenus pour ce genre de projet !
S : Alors pour l’an prochain, tu as une idée de thème ?
M : Bien sûr ! Et toi ?
S : Aussi !
Un flash d’iridium illumine le ciel ! Il est temps d’aller se coucher.
Le démontage du Stardome
lundi, le 10 octobre : C'est la fin |Frédéric Graf
Ce jeudi 6 octobre, je suis allée avec Esther, à 15 heures 45, dans l'Aula du Mottier pour suivre le démontage du Stardome qui est resté quatre jours dans notre établissement.
Au moment de notre arrivée, les deux secrétaires s’apprêtaient à entrer dans le dôme, car elles n'avaient pas pu y aller avant. Nous avons alors attendu en dessinant. À 16 heures 15, les secrétaires sont ressorties le sourire aux lèvres, la visite avait l'air de bien leur avoir plu. Le démontage pouvait alors commencer.
Tout d'abord, nous avons aidé à ranger tous les coussins. Ensuite, pour dégonfler le dôme, il a fallu couper l'arrivée d'air et le Stardome s'est alors dégonflé très vite.
Puis, Mme Cibert Prod’hom, Murielle Henchoz et Frédéric Graf ont plié le Stardome, l’ont roulé et rangé comme un énorme sac de couchage, pendant que nous étions assises par terre à les regarder faire. C'était compliqué, mais ils ont réussi!
Et voilà!
Ensuite, Frédéric n'a pas eu besoin de beaucoup d'aide pour ranger l’informatique, car lui seul sait où va chaque chose. Pendant ce temps, Madame Cibert Prod’hom nous a montré un morceau de Lune et d’autres objets qui avaient été dans l’espace, et que Frédéric Graf avait apportés. Il nous a confié que dans sa voiture, il conservait un morceau de Mercure.
Il a fallu rouler encore le tapis autour d’un tube pour le mettre dans la remorque. Les côtés de son tapis s'effilochent, il restait pleins de fils partout par terre. Si les élèves adorent sa visite, les concierges moins…
Merci Monsieur Graf et à bientôt !
Au moment de notre arrivée, les deux secrétaires s’apprêtaient à entrer dans le dôme, car elles n'avaient pas pu y aller avant. Nous avons alors attendu en dessinant. À 16 heures 15, les secrétaires sont ressorties le sourire aux lèvres, la visite avait l'air de bien leur avoir plu. Le démontage pouvait alors commencer.
Tout d'abord, nous avons aidé à ranger tous les coussins. Ensuite, pour dégonfler le dôme, il a fallu couper l'arrivée d'air et le Stardome s'est alors dégonflé très vite.
Puis, Mme Cibert Prod’hom, Murielle Henchoz et Frédéric Graf ont plié le Stardome, l’ont roulé et rangé comme un énorme sac de couchage, pendant que nous étions assises par terre à les regarder faire. C'était compliqué, mais ils ont réussi!
Et voilà!
Ensuite, Frédéric n'a pas eu besoin de beaucoup d'aide pour ranger l’informatique, car lui seul sait où va chaque chose. Pendant ce temps, Madame Cibert Prod’hom nous a montré un morceau de Lune et d’autres objets qui avaient été dans l’espace, et que Frédéric Graf avait apportés. Il nous a confié que dans sa voiture, il conservait un morceau de Mercure.
Il a fallu rouler encore le tapis autour d’un tube pour le mettre dans la remorque. Les côtés de son tapis s'effilochent, il restait pleins de fils partout par terre. Si les élèves adorent sa visite, les concierges moins…
Merci Monsieur Graf et à bientôt !
Zéa
Le Sentier des planètes
lundi, le 10 octobre : Le Sentier des Planètes
Le lundi 3 octobre, je suis allée avec Juliana et Elodie à la rencontre des classes de première année du Grand-Mont qui partaient découvrir une activité sur le système solaire. Cette activité se déroulait entre l’intérieur du Mottier A, la cour du collège du Mottier et la piscine.
Ces enfants de 5 ans environ ont exploré le sentier des planètes fabriqué par de grands élèves de l’option math-physique. Ils ont vu la représentation du système solaire en taille miniature mais respectant l’échelle. Ce sentier éducatif permettait de voyager dans le système solaire, de la planète la plus proche du soleil à la plus éloignée.
Les élèves ont commencé par le Soleil, puis leur enseignante les a questionnés sur ce qu’est une planète. Ils ont évoqué leurs connaissances les plus caractéristiques: Saturne et ses anneaux, Neptune est l’impossibilité de la voir depuis la Terre. Ils ont été très sérieux quand ils ont dit qu’il leur faudrait une fusée pour voir Neptune. A leur âge, ils se représentent une planète comme une grosse boule colorée dans l’espace.
Les élèves de 1P se sont déplacés ensuite du Soleil pour se diriger vers les premières planètes: Mercure, Vénus, la Terre et son satellite la Lune. Puis Mars dans le préau du Mottier A, Jupiter, Saturne, Uranus, dans la cour du Mottier B, et Neptune devant la piscine. A chaque planète, ils ont eu des explications simples qui leur ont fait comprendre la spécificité de la planète en question.
Ces enfants de 5 ans environ ont exploré le sentier des planètes fabriqué par de grands élèves de l’option math-physique. Ils ont vu la représentation du système solaire en taille miniature mais respectant l’échelle. Ce sentier éducatif permettait de voyager dans le système solaire, de la planète la plus proche du soleil à la plus éloignée.
Les élèves ont commencé par le Soleil, puis leur enseignante les a questionnés sur ce qu’est une planète. Ils ont évoqué leurs connaissances les plus caractéristiques: Saturne et ses anneaux, Neptune est l’impossibilité de la voir depuis la Terre. Ils ont été très sérieux quand ils ont dit qu’il leur faudrait une fusée pour voir Neptune. A leur âge, ils se représentent une planète comme une grosse boule colorée dans l’espace.
Les élèves de 1P se sont déplacés ensuite du Soleil pour se diriger vers les premières planètes: Mercure, Vénus, la Terre et son satellite la Lune. Puis Mars dans le préau du Mottier A, Jupiter, Saturne, Uranus, dans la cour du Mottier B, et Neptune devant la piscine. A chaque planète, ils ont eu des explications simples qui leur ont fait comprendre la spécificité de la planète en question.
Estelle
Le test de la NASA
lundi, le 10 octobre : Chez Madame Monachon |Grands et petits
Le lundi 5 octobre 2016, je suis allé de 9h00 à 9h45 avec Eva et Pierre dans la classe de Madame Monachon pour assister à l'activité « Le test de la NASA », au Mottier B.
Tous les élèves nous ont accueillis avec des lunettes en forme d’étoile et de différentes couleurs. Madame Monachon a même écrit un petit message pour les élèves qui venaient faire l’activité.
Nous avons posé quelques questions à Lara, Samuel et Vladimir. Ils nous ont dit qu’ils avaient tous quelque chose à faire, que le but de l’activité était de proposer à d’autres élèves de classer des objets susceptibles d’être utiles ou pas sur la Lune, pour un astronaute qui doit rejoindre à pieds une station lunaire après que sa navette a dû alunir en urgence.
Une fois les différents objets classés, un enfant dévoilait le vrai classement. Un autre enfant calculait l’écart entre le classement des élèves et le vrai classement. A la fin, chaque enfant a reçu un diplôme.
Le bon ordre!
Nous leur avons aussi demandé s’ils préféraient leur activité à une autre, ils nous ont répondu qu’ils n’avaient pas de préférence. Timea a ajouté qu’elle avait aimé faire la cuisine. Elle nous a aussi confié qu’elle avait beaucoup aimé présenter l’activité à d’autres personnes.
Madame Monachon nous a raconté qu’elle avait eu l’idée de l’activité en surfant sur internet. Par la suite, ses élèves travailleront sur l’espace, elle leur expliquera les éclipses solaire et lunaire, en utilisant des objets pour qu’ils puissent mieux comprendre.
Tous les élèves nous ont accueillis avec des lunettes en forme d’étoile et de différentes couleurs. Madame Monachon a même écrit un petit message pour les élèves qui venaient faire l’activité.
Nous avons posé quelques questions à Lara, Samuel et Vladimir. Ils nous ont dit qu’ils avaient tous quelque chose à faire, que le but de l’activité était de proposer à d’autres élèves de classer des objets susceptibles d’être utiles ou pas sur la Lune, pour un astronaute qui doit rejoindre à pieds une station lunaire après que sa navette a dû alunir en urgence.
Une fois les différents objets classés, un enfant dévoilait le vrai classement. Un autre enfant calculait l’écart entre le classement des élèves et le vrai classement. A la fin, chaque enfant a reçu un diplôme.
Le bon ordre!
Nous leur avons aussi demandé s’ils préféraient leur activité à une autre, ils nous ont répondu qu’ils n’avaient pas de préférence. Timea a ajouté qu’elle avait aimé faire la cuisine. Elle nous a aussi confié qu’elle avait beaucoup aimé présenter l’activité à d’autres personnes.
Madame Monachon nous a raconté qu’elle avait eu l’idée de l’activité en surfant sur internet. Par la suite, ses élèves travailleront sur l’espace, elle leur expliquera les éclipses solaire et lunaire, en utilisant des objets pour qu’ils puissent mieux comprendre.
Théo
Claude Nicollier à l'aula avec les élèves de 8P
lundi, le 10 octobre : Claude Nicollier
Vendredi 7 octobre, de 13h à 14h, Claude Nicollier a fait une conférence sur ses voyages dans l’espace aux classes de 8P2 et de 8P3. Les élèves ont eu l’occasion de poser des questions.
Il a notamment expliqué qu’il y avait beaucoup de satellites dans l’espace. Certains satellites permettent à notre GPS de nous situer ou de localiser une position demandée.
Boule d’eau en apesanteur
Il a raconté aussi que, dans l’espace, si on verse du liquide à l’extérieur de son récipient, cela fait une boule et que l’on peut l’aspirer pour la boire. Lui-même a déjà fait l’expérience et a dit que c’était très amusant.
Claude nous a également appris qu’avant la lune était une boule de roche liquide. Comme la boule d’eau, elle est donc sphérique. Quant à ses cratères, ils sont dus aux météorites qui se sont écrasées à sa surface.
Pâtes lyophilisée que l’on mange dans l’espace
Quand notre astronaute suisse était dans l’espace, lui et ses collègues mangeaient de la nourriture lyophilisée, c’est à dire de la nourriture séchée dans laquelle on rajoute de l’eau pour la manger. Sans ce procédé, la nourriture moisirait à cause de l’humidité. Un mois avant la mission, Claude Nicollier et ses co-équipiers devaient choisir leurs plats lyophilisés en prévision de leur alimentation. Voici des exemples de menus : soupe aux champignons, épinards à la crème, fraises, amandes, thé au citron,…
Claude Nicollier montre aux élèves le noyau d’une comète observé par Rosetta
M. Nicollier a aussi parlé de Rosetta, la sonde qui permet aux scientifiques d’observer et d’étudier un noyau de comète de 5km de diamètre. Rosetta a réussi à se placer en orbite autour du noyau. Elle y a envoyé un robot pour l’analyser.
Claude Nicollier a conclu sa présentation avec une photo de la terre vue de l’espace : On a le sentiment, là-haut, de tout voir et d’avoir une grande liberté de mouvement… c’est super cool ! Mais il faut aussi et surtout s’occuper de la Terre car la plupart d'entre nous y restera.
Monsieur, Nicollier, que vous reste-t-il de vos voyages dans l’espace ? Avez-vous souffert de la solitude?
Beaucoup de bons souvenirs, le bonheur de toucher le télescope spatial Hubble pour la première fois par exemple. Mais aussi quelques désagréments, on se sent mal en effet pendant une à deux heures une fois arrivé dans l’espace. Quant à la solitude, pas de temps pour cela, nous avions bien assez de travail et nous étions une équipe soudée qui collaborait bien. Nous disposions également de 20 minutes par semaine pour communiquer avec notre famille.
Il a notamment expliqué qu’il y avait beaucoup de satellites dans l’espace. Certains satellites permettent à notre GPS de nous situer ou de localiser une position demandée.
Boule d’eau en apesanteur
Il a raconté aussi que, dans l’espace, si on verse du liquide à l’extérieur de son récipient, cela fait une boule et que l’on peut l’aspirer pour la boire. Lui-même a déjà fait l’expérience et a dit que c’était très amusant.
Claude nous a également appris qu’avant la lune était une boule de roche liquide. Comme la boule d’eau, elle est donc sphérique. Quant à ses cratères, ils sont dus aux météorites qui se sont écrasées à sa surface.
Pâtes lyophilisée que l’on mange dans l’espace
Quand notre astronaute suisse était dans l’espace, lui et ses collègues mangeaient de la nourriture lyophilisée, c’est à dire de la nourriture séchée dans laquelle on rajoute de l’eau pour la manger. Sans ce procédé, la nourriture moisirait à cause de l’humidité. Un mois avant la mission, Claude Nicollier et ses co-équipiers devaient choisir leurs plats lyophilisés en prévision de leur alimentation. Voici des exemples de menus : soupe aux champignons, épinards à la crème, fraises, amandes, thé au citron,…
Claude Nicollier montre aux élèves le noyau d’une comète observé par Rosetta
M. Nicollier a aussi parlé de Rosetta, la sonde qui permet aux scientifiques d’observer et d’étudier un noyau de comète de 5km de diamètre. Rosetta a réussi à se placer en orbite autour du noyau. Elle y a envoyé un robot pour l’analyser.
Claude Nicollier a conclu sa présentation avec une photo de la terre vue de l’espace : On a le sentiment, là-haut, de tout voir et d’avoir une grande liberté de mouvement… c’est super cool ! Mais il faut aussi et surtout s’occuper de la Terre car la plupart d'entre nous y restera.
Monsieur, Nicollier, que vous reste-t-il de vos voyages dans l’espace ? Avez-vous souffert de la solitude?
Beaucoup de bons souvenirs, le bonheur de toucher le télescope spatial Hubble pour la première fois par exemple. Mais aussi quelques désagréments, on se sent mal en effet pendant une à deux heures une fois arrivé dans l’espace. Quant à la solitude, pas de temps pour cela, nous avions bien assez de travail et nous étions une équipe soudée qui collaborait bien. Nous disposions également de 20 minutes par semaine pour communiquer avec notre famille.
Juliette
Gravity II
lundi, le 10 octobre : Raul Vega
Le vendredi 7 octobre à 10h25, je suis allée avec Joana assister à l'activité Gravity II, au Mottier B. L'activité a été dirigée par Monsieur Vega. Des élèves étaient responsables des réglages techniques, le contrôle du son et l’enregistrement des images.
Les élèves de la classe 10VG1 ont eu la chance de participer à l'activité. Heureux mais en même temps un peu stressés.
Ils ont préparé des scénarios et sont venus avec leurs déguisements: perruques, fausses lunettes et même costumes verts. Avant de jouer leur saynète. Madame Grivet et Monsieur Vega leur ont donné quelques instructions.
Premier scénario: interview d’un génie qui a fabriqué une machine à voyager dans le temps. Une scène très drôle; il a fallu quelques essais avant que le scénario soit dans la boîte.
Deuxième scénario: interview d’un scientifique qui a inventé le plus grand télescope du monde. Vite filmé et bonne interprétation.
Troisième scénario: chanson qui parle d’amour. Interprétée par Rafaela, Mélissa et Rachelle. Beau.
Quatrième scénario: chanson d'amour encore. Interprétée par Mylan et Morgane. Les filles se sont bien débrouillées.
Et pour finir voici quelques questions :
- Aroa : Comment ça s’est passé ?
- Rafaela : C'était très stressant parce que tous les regards étaient fixés sur moi.
- Aroa : Comment t'es-tu sentie pendant l'enregistrement de ta chanson ?
- Mylan : Très stressée.
- Aroa : Si tu devais refaire cette activité un autre jour, la referais-tu ?
- Rafaela : Oui, mais sans spectateurs.
- Aroa : Comment as-tu trouvé cette activité ?
- Mylan : C'était génial. J'ai beaucoup aimé.
- Rafaela : Très cool.
Les élèves de la classe 10VG1 ont eu la chance de participer à l'activité. Heureux mais en même temps un peu stressés.
Ils ont préparé des scénarios et sont venus avec leurs déguisements: perruques, fausses lunettes et même costumes verts. Avant de jouer leur saynète. Madame Grivet et Monsieur Vega leur ont donné quelques instructions.
Premier scénario: interview d’un génie qui a fabriqué une machine à voyager dans le temps. Une scène très drôle; il a fallu quelques essais avant que le scénario soit dans la boîte.
Deuxième scénario: interview d’un scientifique qui a inventé le plus grand télescope du monde. Vite filmé et bonne interprétation.
Troisième scénario: chanson qui parle d’amour. Interprétée par Rafaela, Mélissa et Rachelle. Beau.
Quatrième scénario: chanson d'amour encore. Interprétée par Mylan et Morgane. Les filles se sont bien débrouillées.
Et pour finir voici quelques questions :
- Aroa : Comment ça s’est passé ?
- Rafaela : C'était très stressant parce que tous les regards étaient fixés sur moi.
- Aroa : Comment t'es-tu sentie pendant l'enregistrement de ta chanson ?
- Mylan : Très stressée.
- Aroa : Si tu devais refaire cette activité un autre jour, la referais-tu ?
- Rafaela : Oui, mais sans spectateurs.
- Aroa : Comment as-tu trouvé cette activité ?
- Mylan : C'était génial. J'ai beaucoup aimé.
- Rafaela : Très cool.
Aroa
Eclipsons-nous!
lundi, le 10 octobre : Grands et petits |Éclipsons-nous
Le mercredi 5 octobre, je suis allée avec Chiara dans la 5P2 de Madame Marie-Paule Nobel à l'occasion de «La Semaine sous les étoiles». Nous avons assisté à la présentation de ses élèves qui ont expliqué le phénomène des éclipses à une classe de 7ème année.
Nous sommes arrivées et la classe spectatrice attendait devant la porte. Nous sommes entrés, il n'y avait pas de lumière et un écran était installé. Les élèves de 5P2 étaient repartis en groupe de 4 ou 5 élèves autour de plusieurs tables. Ils avaient tous la même tâche mais ils ont fait des groupes afin que le public comprenne mieux et soit plus attentif. Ils avaient tous une couronne avec des antennes qui les faisaient ressembler à des extraterrestres. On était complètement dans le thème.
Beatriz, Lily-May et Raffaele avec leur couronne d'extraterrestre
Les élèves de 7ème se sont répartis autour des tables. Les élèves de 5ème avaient chacun une feuille, avec quelques mots pour se souvenir de leur texte et une question à poser – à propos du système solaire – à leurs invités. Sur chaque table il y avait une lampe qui représentait le Soleil, une Terre et une Lune en sagex confectionnées par les élèves. Ils utilisaient ce matériel pour expliquer le phénomène des éclipses. La Terre et la Lune sont plantées sur des bâtons en bois pour que les élèves puissent tenir les objets. Ils ont expliqué qu'une éclipse solaire se produit lorsque la Lune se trouve entre la Terre et le Soleil et alignée à ceux-ci. Une éclipse lunaire se produit lorsque la Lune disparaît dans l’ombre de la Terre.
Les spectateurs étaient intéressés, ils écoutaient et ont posé des questions à la fin de la présentation. Ensuite, tous les élèves se sont installés devant l'écran et nous avons regardé un extrait d’un C'est pas sorcier sur les éclipses.
Jérémy, un élève de 5P2 a appris beaucoup de choses en travaillant sur ce thème. Il avait un peu le trac car ce sont des élèves plus âgés qu'eux qui sont venus voir la présentation. Lila a aimé préparer cette activité car cela évitait aux élèves de devoir travailler normalement. Sarah était un peu stressée de présenter aux plus grands. Anna, une élève de 7ème a beaucoup apprécié l'activité et a appris beaucoup de choses à ce sujet. Elle a trouvé les explications claires et intéressantes. La classe 5P2 a eu 7 présentations durant la semaine.
Eclipse de... A vous de jouer!
Nous sommes arrivées et la classe spectatrice attendait devant la porte. Nous sommes entrés, il n'y avait pas de lumière et un écran était installé. Les élèves de 5P2 étaient repartis en groupe de 4 ou 5 élèves autour de plusieurs tables. Ils avaient tous la même tâche mais ils ont fait des groupes afin que le public comprenne mieux et soit plus attentif. Ils avaient tous une couronne avec des antennes qui les faisaient ressembler à des extraterrestres. On était complètement dans le thème.
Beatriz, Lily-May et Raffaele avec leur couronne d'extraterrestre
Les élèves de 7ème se sont répartis autour des tables. Les élèves de 5ème avaient chacun une feuille, avec quelques mots pour se souvenir de leur texte et une question à poser – à propos du système solaire – à leurs invités. Sur chaque table il y avait une lampe qui représentait le Soleil, une Terre et une Lune en sagex confectionnées par les élèves. Ils utilisaient ce matériel pour expliquer le phénomène des éclipses. La Terre et la Lune sont plantées sur des bâtons en bois pour que les élèves puissent tenir les objets. Ils ont expliqué qu'une éclipse solaire se produit lorsque la Lune se trouve entre la Terre et le Soleil et alignée à ceux-ci. Une éclipse lunaire se produit lorsque la Lune disparaît dans l’ombre de la Terre.
Les spectateurs étaient intéressés, ils écoutaient et ont posé des questions à la fin de la présentation. Ensuite, tous les élèves se sont installés devant l'écran et nous avons regardé un extrait d’un C'est pas sorcier sur les éclipses.
Jérémy, un élève de 5P2 a appris beaucoup de choses en travaillant sur ce thème. Il avait un peu le trac car ce sont des élèves plus âgés qu'eux qui sont venus voir la présentation. Lila a aimé préparer cette activité car cela évitait aux élèves de devoir travailler normalement. Sarah était un peu stressée de présenter aux plus grands. Anna, une élève de 7ème a beaucoup apprécié l'activité et a appris beaucoup de choses à ce sujet. Elle a trouvé les explications claires et intéressantes. La classe 5P2 a eu 7 présentations durant la semaine.
Eclipse de... A vous de jouer!
Tina
Rencontre avec Madame Monachon et ses élèves de la 5P4 du Mottier B
lundi, le 10 octobre : Chez Madame Monachon
Le lundi 26 septembre, Paul, Eva et moi sommes allés interviewer la classe 5P4 de Mme Monachon.
Décoration faite par les élèves
Mme Monachon pense que cette semaine sous les étoiles est une super idée, elle a donc modifié sa thématique de classe pour avoir un rapport entre cette semaine, ses cours habituels et sa décoration de classe.
Elle est très active, elle a voulu réaliser un projet pour d’autres. Elle nous a expliqué que, pour animer cette semaine, il faut remuer la pâte. La classe allait présenter une activité nommée Le classement de la Nasa. L’objectif est de classer les objets qui sont les plus utiles sur la lune. Elle nous a dit que les élèves avaient d’abord fait le travail seuls puis en groupes, ça lui a permis de connaître leur capacité à travailler en groupe.
Elle ne pense pas que l’activité qu’ils ont imaginée est mieux qu’une autre; toute la semaine va baigner dans cette même thématique, l’espace. Qui va rendre toutes les activités intéressantes. La majeure partie de la classe est très contente d’avoir une semaine comme celle-ci à l’école.
Nous avons parlé avec Théo, Timea, David, Vladimir, Alexia, Bryan, Lycia, Roxane, Jasper, Samuel, Tina et Luca. Ils nous ont raconté qu’ils avaient acheté un bout d’étoile, en vrai, qu’ils faisaient des exposés et des posters sur une planète du système solaire par groupe de 3, qu’ils avaient réalisé des dessins en rapport avec l’espace.
Voici un exemple de dessin fait par Alexia
Ils ont préparé un exercice sur le classement des objets les plus importants sur la lune (le classement effectif de la NASA), un jeu destiné à d’autres classes. Ils ont trouvé cet exercice intéressant. Ils se réjouissent de cette semaine
Leur activité préférée? Certains aimeraient assister à la conférence de Claude Nicollier mais il faut avoir 10 ans et plus, ils ont tous entre 8 et 9 ans. D’autres préfèreraient observer les étoiles projetées sur la tente mais ils ne pourront pas y aller. Malgré ça, les élèves de la 5P4 se réjouissent quand même de cette semaine sous les étoiles.
Les enfants sont joyeux de faire ce projet
Décoration faite par les élèves
Mme Monachon pense que cette semaine sous les étoiles est une super idée, elle a donc modifié sa thématique de classe pour avoir un rapport entre cette semaine, ses cours habituels et sa décoration de classe.
Elle est très active, elle a voulu réaliser un projet pour d’autres. Elle nous a expliqué que, pour animer cette semaine, il faut remuer la pâte. La classe allait présenter une activité nommée Le classement de la Nasa. L’objectif est de classer les objets qui sont les plus utiles sur la lune. Elle nous a dit que les élèves avaient d’abord fait le travail seuls puis en groupes, ça lui a permis de connaître leur capacité à travailler en groupe.
Elle ne pense pas que l’activité qu’ils ont imaginée est mieux qu’une autre; toute la semaine va baigner dans cette même thématique, l’espace. Qui va rendre toutes les activités intéressantes. La majeure partie de la classe est très contente d’avoir une semaine comme celle-ci à l’école.
Nous avons parlé avec Théo, Timea, David, Vladimir, Alexia, Bryan, Lycia, Roxane, Jasper, Samuel, Tina et Luca. Ils nous ont raconté qu’ils avaient acheté un bout d’étoile, en vrai, qu’ils faisaient des exposés et des posters sur une planète du système solaire par groupe de 3, qu’ils avaient réalisé des dessins en rapport avec l’espace.
Voici un exemple de dessin fait par Alexia
Ils ont préparé un exercice sur le classement des objets les plus importants sur la lune (le classement effectif de la NASA), un jeu destiné à d’autres classes. Ils ont trouvé cet exercice intéressant. Ils se réjouissent de cette semaine
Leur activité préférée? Certains aimeraient assister à la conférence de Claude Nicollier mais il faut avoir 10 ans et plus, ils ont tous entre 8 et 9 ans. D’autres préfèreraient observer les étoiles projetées sur la tente mais ils ne pourront pas y aller. Malgré ça, les élèves de la 5P4 se réjouissent quand même de cette semaine sous les étoiles.
Les enfants sont joyeux de faire ce projet
Pierre
Mon espace à moi
vendredi, le 07 octobre : Mon espace à moi |Grands et petits
Le mardi 4, Dimitri, Cassidy et moi sommes allés à la rencontre de l'activité organisée par Monsieur Sahli, « Mon espace à moi ».
Ce sont les élèves de la classe de 4ème de Madame Genoux qui y participaient. Cinq élèves de 11ème s'occupaient de 5 postes, ils étaient chargés de mettre à l’aise les petits, de les aider à la réalisation de leur projet. Pour souder, les grands ont placé des cales.
L'objectif de l'activité était de faire travailler l'imagination des petits, qui devaient d'abord faire un croquis, puis ils devaient plier des tiges de fer et découper des plaques de métal. Si les petits n’étaient pas autorisés à souder, ils ont pu toutefois percer le socle en bois.
Au début de l'activité, ils ne savaient pas tous ce qu'ils voulaient faire. Beaucoup ont réalisé finalement une fusée, mais d'autres ont découpé des étoiles, des étoiles filantes, des météorites. Et même un alien. J’ai posé une question à Zayron.
- Comment as-tu trouvé l'activité ?
- Bien. J’ai fait une météorite. J’ai bien aimé percer le bois.
- Et toi, Daniel?
- Super bien ! J’ai bien aimé percer le socle en bois, j’ai fait la planète Mars.
Les petits ont ainsi étudié le système solaire.
Ils ont aussi colorié des fusées, les ont plastifiées avant de placer un tourillon, puis une paille dans laquelle ils pouvaient souffler. Cela faisait voler la fusée.
Monsieur Sahli nous a avoué avant de nous quitter qu’il avait une préférence pour la lune, parce qu’il est souvent dans la lune.
Ce sont les élèves de la classe de 4ème de Madame Genoux qui y participaient. Cinq élèves de 11ème s'occupaient de 5 postes, ils étaient chargés de mettre à l’aise les petits, de les aider à la réalisation de leur projet. Pour souder, les grands ont placé des cales.
L'objectif de l'activité était de faire travailler l'imagination des petits, qui devaient d'abord faire un croquis, puis ils devaient plier des tiges de fer et découper des plaques de métal. Si les petits n’étaient pas autorisés à souder, ils ont pu toutefois percer le socle en bois.
Au début de l'activité, ils ne savaient pas tous ce qu'ils voulaient faire. Beaucoup ont réalisé finalement une fusée, mais d'autres ont découpé des étoiles, des étoiles filantes, des météorites. Et même un alien. J’ai posé une question à Zayron.
- Comment as-tu trouvé l'activité ?
- Bien. J’ai fait une météorite. J’ai bien aimé percer le bois.
- Et toi, Daniel?
- Super bien ! J’ai bien aimé percer le socle en bois, j’ai fait la planète Mars.
Les petits ont ainsi étudié le système solaire.
Ils ont aussi colorié des fusées, les ont plastifiées avant de placer un tourillon, puis une paille dans laquelle ils pouvaient souffler. Cela faisait voler la fusée.
Monsieur Sahli nous a avoué avant de nous quitter qu’il avait une préférence pour la lune, parce qu’il est souvent dans la lune.
Nicolas
Croquons les étoiles
vendredi, le 07 octobre : Croquons les étoiles |Grands et petits
Nous avons atterri, après la récréation, dans la classe d'éducation nutritionnelle au 3ème étage du bâtiment A. Sur place, les petits élèves de 5P4 de Madame Monachon ont pu se mettre au travail, à la fabrication de milanais. Voici la marche à suivre pour en réaliser chez vous.
Faire ramollir 125 grammes de beurre et bien remuer jusqu’à formation de petites pointes, puis ajouter 1 œuf, 125 grammes de sucre et une pincée de sel. Ajouter ½ zeste de citron, 250 grammes de farine blanche et bien mélanger (de préférence avec les mains pour n'avoir aucune perte de pâte). Lorsque vous avez obtenu une belle boule, laisser reposer au frais et à couvert. C’est le moment parfait pour nettoyer la table et étaler de la farine. Abaisser ensuite la pâte avec un rouleau à pâtisserie jusqu’à ce qu'elle atteigne 5 à 7 mm d'épaisseur. Découper des pièces à l'emporte-pièce et les placer sur une plaque à gâteau précédemment recouverte d'un papier sulfurisé, puis badigeonner d'oeuf et mettre au four 10 à 15 minutes à 180º.
Après ça nous avons demandé à quelques élèves les formes de biscuits qu'ils préféraient. Les garçons avaient un faible pour les fusées, les filles pour les étoiles.
Leonardo
Faire ramollir 125 grammes de beurre et bien remuer jusqu’à formation de petites pointes, puis ajouter 1 œuf, 125 grammes de sucre et une pincée de sel. Ajouter ½ zeste de citron, 250 grammes de farine blanche et bien mélanger (de préférence avec les mains pour n'avoir aucune perte de pâte). Lorsque vous avez obtenu une belle boule, laisser reposer au frais et à couvert. C’est le moment parfait pour nettoyer la table et étaler de la farine. Abaisser ensuite la pâte avec un rouleau à pâtisserie jusqu’à ce qu'elle atteigne 5 à 7 mm d'épaisseur. Découper des pièces à l'emporte-pièce et les placer sur une plaque à gâteau précédemment recouverte d'un papier sulfurisé, puis badigeonner d'oeuf et mettre au four 10 à 15 minutes à 180º.
Après ça nous avons demandé à quelques élèves les formes de biscuits qu'ils préféraient. Les garçons avaient un faible pour les fusées, les filles pour les étoiles.
Leonardo
Cassidy
Les rois de l’espace se font tirer le portrait
vendredi, le 07 octobre : Les rois de l’espace se font tirer le portrait |Grands et petits
Mardi 4 octobre, avec Dimitry et Bastien J, nous sommes allés dans la salle C208 où des élèves de 11ème présentaient à ceux de 5P4 l’activité « Les roi de l’espace se font tirer le portrait ».
Les élèves de la 5P4
Le principe est simple, il s’agit de se faire photographier la tête puis de coller la photo obtenue sur un cadre à décorer soi-même. Pour commencer, il faut mettre sa tête dans l’un des différents cadres préparés: il y en a un avec un dessin de cosmonaute, un autre avec une fusée et un troisième avec un dessin de soucoupe volante. Les grands de 11ème se chargent de prendre les photos des petits avec les iPads, qui sont directement imprimées, puis distribuées à l’élève photographié.
Les petits décorent alors leur feuille de papier noir, avec des autocollants, des dessins faits au stylo doré ou bien avec des étoiles découpées sur du papier coloré et brillant. L’ambiance chez les 5P4 est joyeuse, assez tranquille pour que les élèves se concentrent et réussissent à faire un magnifique cadre, bien que les discussions soient au rendez-vous.
Monsieur Asfin, le professeur d’économie et droit, a accepté de répondre à nos questions.
- Est-ce vous qui avez eu l’idée de cette activité?
- Non, c’est Madame Cibert Prod’hom et Murielle Henchoz qui m’ont proposé cette activité.
- Est-ce que cette activité apporte quelque chose aux élèves?
- Oui, plus peut-être aux grands qu’aux petits. Mais disons que les premiers ont une relation pédagogique avec les seconds, tandis que les seconds apprennent qu’il y a autre chose dans l’univers: il n’y a pas que la terre, le soleil et la lune. Et puis les petits se font des images sur l’univers et c’est bien pour développer leur imagination.
Les élèves de la 5P4
Le principe est simple, il s’agit de se faire photographier la tête puis de coller la photo obtenue sur un cadre à décorer soi-même. Pour commencer, il faut mettre sa tête dans l’un des différents cadres préparés: il y en a un avec un dessin de cosmonaute, un autre avec une fusée et un troisième avec un dessin de soucoupe volante. Les grands de 11ème se chargent de prendre les photos des petits avec les iPads, qui sont directement imprimées, puis distribuées à l’élève photographié.
Les petits décorent alors leur feuille de papier noir, avec des autocollants, des dessins faits au stylo doré ou bien avec des étoiles découpées sur du papier coloré et brillant. L’ambiance chez les 5P4 est joyeuse, assez tranquille pour que les élèves se concentrent et réussissent à faire un magnifique cadre, bien que les discussions soient au rendez-vous.
Monsieur Asfin, le professeur d’économie et droit, a accepté de répondre à nos questions.
- Est-ce vous qui avez eu l’idée de cette activité?
- Non, c’est Madame Cibert Prod’hom et Murielle Henchoz qui m’ont proposé cette activité.
- Est-ce que cette activité apporte quelque chose aux élèves?
- Oui, plus peut-être aux grands qu’aux petits. Mais disons que les premiers ont une relation pédagogique avec les seconds, tandis que les seconds apprennent qu’il y a autre chose dans l’univers: il n’y a pas que la terre, le soleil et la lune. Et puis les petits se font des images sur l’univers et c’est bien pour développer leur imagination.
Alexis H
Une leçon qui tombe à l'eau
vendredi, le 07 octobre : Mission Apollo 2016 |Grands et petits
Jeudi matin 6 octobre, de 9h00 à 10h00, je suis allé, accompagné de Cassidy et de mon photographe Nicolas, assister à l’activité Mission Apollo 2016 organisée par Madame Cibert Prod’hom et les élèves de 11 MEP à l’intention des classes de 6e.
Nous entrons dans une ambiance mouvementée, tous les élèves de 11e sont présents. Nous observons la classe, tout est prêt, bien ordonné. Un groupe a préparé une activité avec des bougies, il flotte dans la salle une légère odeur de brûlé. Petit à petit, nous prenons connaissance des activités.
Les élèves sont particulièrement fiers de leur tables
Il est bientôt 9h15; les 6e ont un peu de retard. Les 11e discutent entre eux ou lisent un des nombreux magazines scientifiques de la classe. Un élève nous présente trois objets sur une table, dans un coin de la classe. Le premier est une météorite provenant de Mercure, le deuxième nous est décrit comme étant le premier objet ayant touché la surface de la lune et le troisième est une montre partiellement en or dont les matériaux proviendraient d’un vaisseau spatial.
Il est bientôt 9 heures 30, Madame Cibert Prod’hom nous annonce avoir appelé une collègue pour se renseigner au sujet des petits de 6ème qui ne sont toujours pas là. Ils ne sont pas dans leur classe: s‘ils sont en gymnastique, ils arriveront dans trois ou quatre minutes. Nous débattons ensuite sur les objets nécessaires pour un parcours sur la lune. A 9 heures 45, l’enseignante nous laisse aller en récréation. La 6P1 a disparu de la circulation!
Nous avons pu interroger les élèves de 11ème au sujet de cette leçon en quelque sorte tombée à l’eau. Mais la rencontre avec les petits de la 6P2 aura lieu une heure plus tard. Au fond les grands n’auront pas été déçus d’avoir eu une heure de libre.
Nous entrons dans une ambiance mouvementée, tous les élèves de 11e sont présents. Nous observons la classe, tout est prêt, bien ordonné. Un groupe a préparé une activité avec des bougies, il flotte dans la salle une légère odeur de brûlé. Petit à petit, nous prenons connaissance des activités.
Les élèves sont particulièrement fiers de leur tables
Il est bientôt 9h15; les 6e ont un peu de retard. Les 11e discutent entre eux ou lisent un des nombreux magazines scientifiques de la classe. Un élève nous présente trois objets sur une table, dans un coin de la classe. Le premier est une météorite provenant de Mercure, le deuxième nous est décrit comme étant le premier objet ayant touché la surface de la lune et le troisième est une montre partiellement en or dont les matériaux proviendraient d’un vaisseau spatial.
Il est bientôt 9 heures 30, Madame Cibert Prod’hom nous annonce avoir appelé une collègue pour se renseigner au sujet des petits de 6ème qui ne sont toujours pas là. Ils ne sont pas dans leur classe: s‘ils sont en gymnastique, ils arriveront dans trois ou quatre minutes. Nous débattons ensuite sur les objets nécessaires pour un parcours sur la lune. A 9 heures 45, l’enseignante nous laisse aller en récréation. La 6P1 a disparu de la circulation!
Nous avons pu interroger les élèves de 11ème au sujet de cette leçon en quelque sorte tombée à l’eau. Mais la rencontre avec les petits de la 6P2 aura lieu une heure plus tard. Au fond les grands n’auront pas été déçus d’avoir eu une heure de libre.
Dimitri
Béatrice Leresche, conte-moi le ciel!
Jeudi 6 octobre, avec Alexis H et Nicolas, nous sommes allés à la médiathèque. Les élèves de la 1-2P écoutaient des contes.
Déjà, en entrant, nous avons remarqué les décorations réalisées pour cette semaine: sur les murs et au plafond étaient tendus des rubans de papier bleu, avec des étoiles jaunes qui pendaient.
Les enfants étaient littéralement plongés dans les histoires, tandis que la conteuse racontait avec passion. Voici un résumé d’un conte qui a beaucoup plu.
Dans le ciel, il y avait autrefois le soleil, la lune, les étoiles, les nuages et les planètes. Mais le soleil avait beaucoup trop d’enfants, c’étaient les étoiles.
Alors, un jour, le soleil proposa à la lune d’organiser une fête si bien que les étoiles entendirent la musique sur la terre. Certaines d’entre elles s’endormirent malgré le bruit, mais d’autres restèrent éveillées. Voulant écouter de plus près, elles se penchèrent et tombèrent dans l’océan. C’est depuis ce jour qu’existent les étoiles de mer.
Ce qui était intéressant dans ces contes, c’est que les enfants pouvaient poser des questions ou même interagir avec l’histoire. Et ça avait l’air de leur plaire!
À la fin, nous avons demandé à Béatrice la conteuse ce qu’elle aimait dans son métier et d’où lui venaient tous les contes qu’elle racontait.
- Je trouve que ça permet aux plus petits de s’égarer un peu du monde, et de se créer des images de tout ce qui les entoure, loin dans le ciel. Mais tous ces contes, je ne les ai pas inventés, je ne les récite pourtant pas tels quels, je mets un peu de ma touche personnelle.
Déjà, en entrant, nous avons remarqué les décorations réalisées pour cette semaine: sur les murs et au plafond étaient tendus des rubans de papier bleu, avec des étoiles jaunes qui pendaient.
Les enfants étaient littéralement plongés dans les histoires, tandis que la conteuse racontait avec passion. Voici un résumé d’un conte qui a beaucoup plu.
Dans le ciel, il y avait autrefois le soleil, la lune, les étoiles, les nuages et les planètes. Mais le soleil avait beaucoup trop d’enfants, c’étaient les étoiles.
Alors, un jour, le soleil proposa à la lune d’organiser une fête si bien que les étoiles entendirent la musique sur la terre. Certaines d’entre elles s’endormirent malgré le bruit, mais d’autres restèrent éveillées. Voulant écouter de plus près, elles se penchèrent et tombèrent dans l’océan. C’est depuis ce jour qu’existent les étoiles de mer.
Ce qui était intéressant dans ces contes, c’est que les enfants pouvaient poser des questions ou même interagir avec l’histoire. Et ça avait l’air de leur plaire!
À la fin, nous avons demandé à Béatrice la conteuse ce qu’elle aimait dans son métier et d’où lui venaient tous les contes qu’elle racontait.
- Je trouve que ça permet aux plus petits de s’égarer un peu du monde, et de se créer des images de tout ce qui les entoure, loin dans le ciel. Mais tous ces contes, je ne les ai pas inventés, je ne les récite pourtant pas tels quels, je mets un peu de ma touche personnelle.
Dimitry
Béatrice Leresche, conte-moi les étoiles!
Mardi 4 novembre, Alexis C, Léo et moi-même sommes allés écouter la conteuse professionnelle, Béatrice Leresche, qui est venue raconter des histoires aux classes 1-2 P1 et 1-2 P8 à la Médiathèque du Mont-sur-Lausanne.
Les enfants étaient tout excités, mais lorsque la conteuse eut frappé sur son tambour, tous les élèves cessèrent de parler. Les enfants étaient très attentifs et intrigués malgré les quelques excités discrètement remis à l’ordre par leur prof.
Lorsqu’il y avait un moment de suspens, les élèves criaient; dès qu’il y avait un moment drôle, les élèves riaient. La conteuse raconta ses histoires durant une heure. Les élèves se déconcentrèrent vers la fin, ils s’étiraient, bougeaient dans tous les sens. Les plus calmes commencèrent à s’endormir. La conteuse leurs posa quelques questions pour qu’ils restent concentrés.
Couchés par terre pour mieux écouter
Pour vous faire partager ce moment de plaisir, nous vous avons résumé 3 histoires.
1ère histoire
Une oiseau dans la forêt amazonienne se pose sur une branche. Il regarde la lune, elle est si belle qu’il en tombe amoureux. L’oiseau s’envole pour essayer de la toucher, mais elle est trop loin, alors il essaie de l’atteindre avec son chant, mais il n’y arrive pas. Alors il pleure et ses larmes créent l’Amazone.
2ème histoire
Une petite étoile est très curieuse. Elle se penche de son orbite pour regarder la planète Terre, elle se penche un peu trop et tombe… Dans la mer. C’est comme ça que la première étoile de mer à été créée.
3ème histoire
Une étoile se moque d’un serpent: « Espèce de ver de terre! » Alors il pleure. La terre lui demande ce qu’il a. Il lui explique que l’étoile de la Grande Ourse se moque de lui. Alors la terre lui donne une langue fourchue et du venin. Quand l’étoile revient et se moque du serpent, il pique l’étoile avec sa langue. C’est pour ça que la Grande Ourse reste toujours au même endroit.
Je crois bien que les éleves de 1-2P1 et 1-2P8 ont bien apprécié ce moment.
Les enfants étaient tout excités, mais lorsque la conteuse eut frappé sur son tambour, tous les élèves cessèrent de parler. Les enfants étaient très attentifs et intrigués malgré les quelques excités discrètement remis à l’ordre par leur prof.
Lorsqu’il y avait un moment de suspens, les élèves criaient; dès qu’il y avait un moment drôle, les élèves riaient. La conteuse raconta ses histoires durant une heure. Les élèves se déconcentrèrent vers la fin, ils s’étiraient, bougeaient dans tous les sens. Les plus calmes commencèrent à s’endormir. La conteuse leurs posa quelques questions pour qu’ils restent concentrés.
Couchés par terre pour mieux écouter
Pour vous faire partager ce moment de plaisir, nous vous avons résumé 3 histoires.
1ère histoire
Une oiseau dans la forêt amazonienne se pose sur une branche. Il regarde la lune, elle est si belle qu’il en tombe amoureux. L’oiseau s’envole pour essayer de la toucher, mais elle est trop loin, alors il essaie de l’atteindre avec son chant, mais il n’y arrive pas. Alors il pleure et ses larmes créent l’Amazone.
2ème histoire
Une petite étoile est très curieuse. Elle se penche de son orbite pour regarder la planète Terre, elle se penche un peu trop et tombe… Dans la mer. C’est comme ça que la première étoile de mer à été créée.
3ème histoire
Une étoile se moque d’un serpent: « Espèce de ver de terre! » Alors il pleure. La terre lui demande ce qu’il a. Il lui explique que l’étoile de la Grande Ourse se moque de lui. Alors la terre lui donne une langue fourchue et du venin. Quand l’étoile revient et se moque du serpent, il pique l’étoile avec sa langue. C’est pour ça que la Grande Ourse reste toujours au même endroit.
Je crois bien que les éleves de 1-2P1 et 1-2P8 ont bien apprécié ce moment.
Matthieu
Peinture spatiale
vendredi, le 07 octobre : Peinture spatiale |Grands et petits
Mardi 4 octobre, Esther et moi sommes allées au Mottier A dans la classe de dessin de Monsieur Rousset. Pour observer la classe de 4P de Madame Rochat durant une activité organisée par des élèves de 11ème, de l’OCOM dessin.
Les petits ont une heure pour peindre un ciel étoilé à la peinture fluorescente. Ces dessins seront affichés, le vendredi 7 octobre à l’Aula, à l’occasion de la conférence de Claude Nicollier.
Différents modèles sont exposés, les élèves de 4P doivent en choisir un. Les tables sont regroupées en fonction du style de peinture. Un grand coache deux à trois petits. Les grands prennent du plaisir à aider. Un élève de 11ème nous confie même qu'il souhaiterait être enseignant dans le futur, mais il ne sait pas encore dans quelles années scolaires il aimerait enseigner.
Esrom assisté par Jeremy
Les élèves de l'OCOM commencent par expliquer comment peindre une colline. Les petits doivent ensuite faire un dégradé à l'éponge, avec du bleu foncé, du bleu clair et du noir. Puis peindre un animal de leur choix avec l'aide d'un chablon. Lucia a fait un cheval, elle peindra ensuite les étoiles à la peinture phosphorescente.
Le chef-d'oeuvre de la petite Lucia
De son côté, le petit Telmo a peint avec ses couleurs préférées un fond à l'encre colorex. Il peut ensuite choisir, peindre une colline, un animal, un soleil, coller une photo de groupe ou coller une photo tirée d'internet. Telmo souhaite faire une colline et un coucher de soleil au milieu du dessin.
Le ciel et le soleil peints par Telmo
Le dessin de Malena
A la fin de la période, les chefs-d’oeuvre sont mis à sécher dans la petite salle à coté de la classe de dessin. Les élèves de Martine Rochat quittent les grands tout contents de cette activité!
Les grands et les petits réunis
Les petits ont une heure pour peindre un ciel étoilé à la peinture fluorescente. Ces dessins seront affichés, le vendredi 7 octobre à l’Aula, à l’occasion de la conférence de Claude Nicollier.
Différents modèles sont exposés, les élèves de 4P doivent en choisir un. Les tables sont regroupées en fonction du style de peinture. Un grand coache deux à trois petits. Les grands prennent du plaisir à aider. Un élève de 11ème nous confie même qu'il souhaiterait être enseignant dans le futur, mais il ne sait pas encore dans quelles années scolaires il aimerait enseigner.
Esrom assisté par Jeremy
Les élèves de l'OCOM commencent par expliquer comment peindre une colline. Les petits doivent ensuite faire un dégradé à l'éponge, avec du bleu foncé, du bleu clair et du noir. Puis peindre un animal de leur choix avec l'aide d'un chablon. Lucia a fait un cheval, elle peindra ensuite les étoiles à la peinture phosphorescente.
Le chef-d'oeuvre de la petite Lucia
De son côté, le petit Telmo a peint avec ses couleurs préférées un fond à l'encre colorex. Il peut ensuite choisir, peindre une colline, un animal, un soleil, coller une photo de groupe ou coller une photo tirée d'internet. Telmo souhaite faire une colline et un coucher de soleil au milieu du dessin.
Le ciel et le soleil peints par Telmo
Le dessin de Malena
A la fin de la période, les chefs-d’oeuvre sont mis à sécher dans la petite salle à coté de la classe de dessin. Les élèves de Martine Rochat quittent les grands tout contents de cette activité!
Les grands et les petits réunis
Kelly
Mission Apollo 2016 (1)
vendredi, le 07 octobre : Mission Apollo 2016 |Grands et petits
Nous nous sommes rendues le mardi matin 4 octobre dans la salle de sciences AR11 du Mottier A, pour observer des activités réalisées par les 11P de l’option math physique, pour des élèves plus jeunes. Elles étaient menées par Madame Cibert Prod’hom. Ces activités avaient pour but, notamment, que les petits se rendent compte des différences entre la Terre et la Lune.
Ils ont choisi ce thème car ils l’ont déjà étudié l’année passée, mais ils ont créé d’autres expériences sur d’autres sujets. Il ont préparé, durant quatre périodes, 7 activités différentes: une expérience autour de la gravité, une autre autour du son, une autre encore avec des bougies... Ils ont même proposé à leurs invités de faire une boule pour le bain.
Ils ont réparti les petits en plusieurs groupes de trois, un grand suivait chacun d’eux. A chaque nouvelle classe, les grands échangeaient leur rôle.
Les grands et les petits en plein travail
Pour faire la boule de bain, il y avait des ingrédients à disposition. Ils devaient les mélanger et former ensuite une boule. Les 11P les ont mises dans une boîte pour les faire sécher. Ils les redonneront aux petits lorsque elles seront prêtes.
Pour l'activité autour de la gravité, deux demi-globes terrestres découpés dans du sagex reposaient sur une table. Sous l'un d’eux, il y avait un petit aimant. Celui-ci représentait la terre et l'autre, celui qui n'en avait pas, représentait la lune. Les petits devaient déplacer une boussole au-dessus des deux demi-globes et observer la différence.
Pour les bougies, il fallait en allumer une, l’isoler en mettant un pot dessus. Elle s’éteignait. Les grands ont expliqué aux petits que le manque d'oxygène était la cause de l’extinction.
L'activité de la bougie a beaucoup plu.
Nous avons interrogé Mina et Solène, elles nous ont dit que ce qui était le plus difficile pour elles, c’était de s’adapter au vocabulaire des plus petits.
Ensuite, nous avons pu parler à la maîtresse des 6P, Manon Rochat. Elle pense que ces activités sont un bonus pour ses élèves, car ils ont aussi étudié le système solaire. En classe, les enfants ont fait des panneaux sur les planètes, qu’ils pourront compléter avec les informations qu'ils ont recueillies. Il était enrichissant de voir des plus grands donner un cours.
Pour finir, nous avons parlé avec Jérémy, Yanna et Noémie, des élèves de 6P. Nous avons discuté des activités qui leur ont beaucoup plu, surtout celle de la bougie qui s’éteignait. Ils espèrent qu’il y aura de nouveau une semaine comme celle-ci l’année prochaine, ils aimeraient peut-être une fois prendre le rôle des grands.
Jérémy, Noémie et Yanna sont contents de leur boule pour le bain.
Ils ont choisi ce thème car ils l’ont déjà étudié l’année passée, mais ils ont créé d’autres expériences sur d’autres sujets. Il ont préparé, durant quatre périodes, 7 activités différentes: une expérience autour de la gravité, une autre autour du son, une autre encore avec des bougies... Ils ont même proposé à leurs invités de faire une boule pour le bain.
Ils ont réparti les petits en plusieurs groupes de trois, un grand suivait chacun d’eux. A chaque nouvelle classe, les grands échangeaient leur rôle.
Les grands et les petits en plein travail
Pour faire la boule de bain, il y avait des ingrédients à disposition. Ils devaient les mélanger et former ensuite une boule. Les 11P les ont mises dans une boîte pour les faire sécher. Ils les redonneront aux petits lorsque elles seront prêtes.
Pour l'activité autour de la gravité, deux demi-globes terrestres découpés dans du sagex reposaient sur une table. Sous l'un d’eux, il y avait un petit aimant. Celui-ci représentait la terre et l'autre, celui qui n'en avait pas, représentait la lune. Les petits devaient déplacer une boussole au-dessus des deux demi-globes et observer la différence.
Pour les bougies, il fallait en allumer une, l’isoler en mettant un pot dessus. Elle s’éteignait. Les grands ont expliqué aux petits que le manque d'oxygène était la cause de l’extinction.
L'activité de la bougie a beaucoup plu.
Nous avons interrogé Mina et Solène, elles nous ont dit que ce qui était le plus difficile pour elles, c’était de s’adapter au vocabulaire des plus petits.
Ensuite, nous avons pu parler à la maîtresse des 6P, Manon Rochat. Elle pense que ces activités sont un bonus pour ses élèves, car ils ont aussi étudié le système solaire. En classe, les enfants ont fait des panneaux sur les planètes, qu’ils pourront compléter avec les informations qu'ils ont recueillies. Il était enrichissant de voir des plus grands donner un cours.
Pour finir, nous avons parlé avec Jérémy, Yanna et Noémie, des élèves de 6P. Nous avons discuté des activités qui leur ont beaucoup plu, surtout celle de la bougie qui s’éteignait. Ils espèrent qu’il y aura de nouveau une semaine comme celle-ci l’année prochaine, ils aimeraient peut-être une fois prendre le rôle des grands.
Jérémy, Noémie et Yanna sont contents de leur boule pour le bain.
Fanny
Mystérieuses étoiles
vendredi, le 07 octobre : Mystérieuses étoiles |Grands et petits
Mardi 4 octobre, mon photographe Bastien J, mon assistant Dimitri et moi-même sommes allés avec les 4P4 assister à un spectacle des 11P (OS latin et italien).
Ils nous ont présenté le Mythe d'Orion, une pièce qu’ils ont eux-mêmes écrite. Selon Noé, un élève de la 4P4, ça ressemblait à la légende du monstre du Loch Ness.
Orion, fils de Poséidon, veut épouser une fille. Il demande sa main à sa mère et cette dernière accepte à la condition qu’il réussisse à vaincre un lion. Après avoir abattu la bête, Orion se vante sur la terre, et crie bien haut que personne ne le surpasse. Malgré sa réussite, la mère refuse l’union et rend Orion aveugle. Qui se rend alors chez le soleil pour que celui-ci lui permette de retrouver la vue. Zeus l’envoie sur une planète lointaine, en guise de punition, pour avoir été trop vantard.
Après le spectacle, les élèves de 11ème ont présenté à leurs petits camarades un texte qu’ils ont traduit en latin et en italien. Les élèves de 4P4 ont essayé de les retraduire en français. Chaque enfant a reçu à la fin une petite carte. Sur celle-ci, il y avait un dessin d’Orion à colorier et, au verso, il y avait plusieurs traductions.
Sofia et Julia, deux élèves de 4P, ont bien aimé se faire aider par leurs grands camarades, elles ont beaucoup apprécié et rigolé.
Ils nous ont présenté le Mythe d'Orion, une pièce qu’ils ont eux-mêmes écrite. Selon Noé, un élève de la 4P4, ça ressemblait à la légende du monstre du Loch Ness.
Orion, fils de Poséidon, veut épouser une fille. Il demande sa main à sa mère et cette dernière accepte à la condition qu’il réussisse à vaincre un lion. Après avoir abattu la bête, Orion se vante sur la terre, et crie bien haut que personne ne le surpasse. Malgré sa réussite, la mère refuse l’union et rend Orion aveugle. Qui se rend alors chez le soleil pour que celui-ci lui permette de retrouver la vue. Zeus l’envoie sur une planète lointaine, en guise de punition, pour avoir été trop vantard.
Après le spectacle, les élèves de 11ème ont présenté à leurs petits camarades un texte qu’ils ont traduit en latin et en italien. Les élèves de 4P4 ont essayé de les retraduire en français. Chaque enfant a reçu à la fin une petite carte. Sur celle-ci, il y avait un dessin d’Orion à colorier et, au verso, il y avait plusieurs traductions.
Sofia et Julia, deux élèves de 4P, ont bien aimé se faire aider par leurs grands camarades, elles ont beaucoup apprécié et rigolé.
Bastien B
Chez Claire-Lise et Anne du Grand-Mont
vendredi, le 07 octobre : Claire-Lise et Anne
Je suis allée à la rencontre des élèves du Grand-Mont pour voir ce qu’ils avaient préparé à l’occasion de la semaine sous les étoiles. J’étais accompagnée de Juliette qui a pris des notes, et de Bastien B qui a fait quelques photographies. Les élèves travaillent sur ce thème depuis le début de l’année scolaire.
Nous avons d’abord interrogé la classe de Claire-Lise, les élèves nous ont décrit les bricolages qu’ils ont faits:
- Nous avons fait des soucoupes volantes et des fusées sur nos sous-mains, nous raconte Lilly.
- On a aussi fait des dessins dans les couloirs, nous explique Rachel.
- Ça nous a pris beaucoup de temps pour faire cette fresque dans le couloir, raconte la maîtresse.
Nous sommes allés ensuite à la rencontre d’une classe qui a réalisé des travaux en rapport avec les étoiles, comme une peinture avec l’illusion que les enfant tombent dans l’espace. Les élèves ont également poinçonné des étoiles avant de les accrocher aux murs de la classe, ils ont aussi décoré le vestiaire de dessins, ils ont placé leur propre tête à la place de celle des d’astronautes.
- J’ai beaucoup aimé faire des dessins, et j’aimerais trop qu’on en refasse sur un autre thème, nous ont dit les élèves.
- On va aussi faire une grande fusée en papier mâché, nous confie la maîtresse.
Nous somme enfin allés chez Anne, ses élèves ont ramené des livres concernant les étoiles et l’espace. Elle nous dit:
- Ils sont encore petits, ils n’ont pas fait grand chose.
- Mais on a quand même fait des fusées avec des rouleaux de papier toilette, rectifie une élève.
Les élèves sont attentifs lorsque leur maîtresse leur raconte des histoires.
Nous avons d’abord interrogé la classe de Claire-Lise, les élèves nous ont décrit les bricolages qu’ils ont faits:
- Nous avons fait des soucoupes volantes et des fusées sur nos sous-mains, nous raconte Lilly.
- On a aussi fait des dessins dans les couloirs, nous explique Rachel.
- Ça nous a pris beaucoup de temps pour faire cette fresque dans le couloir, raconte la maîtresse.
Nous sommes allés ensuite à la rencontre d’une classe qui a réalisé des travaux en rapport avec les étoiles, comme une peinture avec l’illusion que les enfant tombent dans l’espace. Les élèves ont également poinçonné des étoiles avant de les accrocher aux murs de la classe, ils ont aussi décoré le vestiaire de dessins, ils ont placé leur propre tête à la place de celle des d’astronautes.
- J’ai beaucoup aimé faire des dessins, et j’aimerais trop qu’on en refasse sur un autre thème, nous ont dit les élèves.
- On va aussi faire une grande fusée en papier mâché, nous confie la maîtresse.
Nous somme enfin allés chez Anne, ses élèves ont ramené des livres concernant les étoiles et l’espace. Elle nous dit:
- Ils sont encore petits, ils n’ont pas fait grand chose.
- Mais on a quand même fait des fusées avec des rouleaux de papier toilette, rectifie une élève.
Les élèves sont attentifs lorsque leur maîtresse leur raconte des histoires.
Ines
Mission Apollo (2)
vendredi, le 07 octobre : Grands et petits |Mission Apollo 2016
Jeudi, réussi aussi!
Madame Cibert Prod'hom
jeudi, le 06 octobre : Madame Cibert Prod'hom
Le jeudi 29 septembre, je suis allée poser quelques questions concernant la semaine sous les étoiles à Madame Cibert Prod'hom.
Madame Cibert Prod'hom nous a raconté qu'il existait dans l’Etablissement une commission à laquelle certains enseignants et les bibliothécaires participent. C'est à l’occasion d’une de ses séances que l'idée est venue. D’abord celle d'accueillir un stardome pour que les plus grands puissent étudier le ciel. Mais comme certains enseignants des petites classes participent à cette commission, ils ont voulu proposer des activités pour les plus petits. L’équipe s’est mise au travail et a imaginé diverses activités auxquelles toutes les classes pourraient participer.
Le moment phare de cette semaine, c’est la rencontre avec Claude Nicollier, le seul astronaute suisse a être allé dans l'espace. C'est une chance qu'il vienne, il n'y a déjà plus de place. Les responsables ont interdit l’entrée aux moins de 10 ans, afin de ne pas déranger les participants. Ce qui a été une déception pour les élèves trop jeunes mais intéressés.
Madame Cibert Prod'hom nous a expliqué que certaines activités ont été créées par des grands pour des petites classes. Faire sonner un réveil dans une cloche à vide est l’une d’elles. Mais plusieurs classes de petits ont préparé également des activités pour leurs camarades. C’était l’un des buts de cette semaine: mélanger les grands et les petits.
Il y a 5 ans, des élèves de l'OS math physique ont construit des planètes, à l'échelle, pendant les cours d’option spécifique mathématiques et physique avec la collaboration de M. Sahli, le maître de travaux manuels. Cette année, pour la semaine sous les étoiles, les organisateurs ont décidé de les réutiliser et de créer le Sentier des planètes. Notons aussi que des élèves ont créé un tutoriel pour réaliser un système solaire. Vous pouvez le visionner ici.
Le sentier des planètes, réalisé par des élèves il y a 3 ans
C’est la première fois qu'il y a une telle semaine au collège du Mont, tout le monde a eu un peu de pression: Claude Nicollier est en voyage en Amérique du sud et ne rentrera que la veille de la conférence; si son vol est annulé la conférence sera elle aussi annulée. Le stardome a passé de justesse sous les lumières de l'Aula; s’il avait été trop grand, il aurait fallu le déplacer dans une des salles de gym. Bref, tout va-t-il bien se passer?
Madame Cibert Prod'hom aimerait faire revenir le stardome régulièrement, afin que tous les élèves puissent en profiter au moins une fois au cours de leur scolarité. Mais les responsables rêvent d’autre chose encore: refaire chaque année une semaine spéciale. Chacun des collèges du Mont, à tour de rôle, pourrait proposer un thème différent...
Madame Cibert Prod'hom nous a raconté qu'il existait dans l’Etablissement une commission à laquelle certains enseignants et les bibliothécaires participent. C'est à l’occasion d’une de ses séances que l'idée est venue. D’abord celle d'accueillir un stardome pour que les plus grands puissent étudier le ciel. Mais comme certains enseignants des petites classes participent à cette commission, ils ont voulu proposer des activités pour les plus petits. L’équipe s’est mise au travail et a imaginé diverses activités auxquelles toutes les classes pourraient participer.
Le moment phare de cette semaine, c’est la rencontre avec Claude Nicollier, le seul astronaute suisse a être allé dans l'espace. C'est une chance qu'il vienne, il n'y a déjà plus de place. Les responsables ont interdit l’entrée aux moins de 10 ans, afin de ne pas déranger les participants. Ce qui a été une déception pour les élèves trop jeunes mais intéressés.
Madame Cibert Prod'hom nous a expliqué que certaines activités ont été créées par des grands pour des petites classes. Faire sonner un réveil dans une cloche à vide est l’une d’elles. Mais plusieurs classes de petits ont préparé également des activités pour leurs camarades. C’était l’un des buts de cette semaine: mélanger les grands et les petits.
Il y a 5 ans, des élèves de l'OS math physique ont construit des planètes, à l'échelle, pendant les cours d’option spécifique mathématiques et physique avec la collaboration de M. Sahli, le maître de travaux manuels. Cette année, pour la semaine sous les étoiles, les organisateurs ont décidé de les réutiliser et de créer le Sentier des planètes. Notons aussi que des élèves ont créé un tutoriel pour réaliser un système solaire. Vous pouvez le visionner ici.
Le sentier des planètes, réalisé par des élèves il y a 3 ans
C’est la première fois qu'il y a une telle semaine au collège du Mont, tout le monde a eu un peu de pression: Claude Nicollier est en voyage en Amérique du sud et ne rentrera que la veille de la conférence; si son vol est annulé la conférence sera elle aussi annulée. Le stardome a passé de justesse sous les lumières de l'Aula; s’il avait été trop grand, il aurait fallu le déplacer dans une des salles de gym. Bref, tout va-t-il bien se passer?
Madame Cibert Prod'hom aimerait faire revenir le stardome régulièrement, afin que tous les élèves puissent en profiter au moins une fois au cours de leur scolarité. Mais les responsables rêvent d’autre chose encore: refaire chaque année une semaine spéciale. Chacun des collèges du Mont, à tour de rôle, pourrait proposer un thème différent...
Eva
Visite du Stardome avec la 11VG2
jeudi, le 06 octobre : Frédéric Graf
Pendant cette semaine, qui s’est déroulée au Mont-sur-Lausanne, j’ai eu la chance de me rendre avec Tina (la photographe) à la découverte du stardome. Mon intérêt s’est tout particulièrement porté sur les élèves de la 11VG2 qui ont eu la chance d’être les premiers visiteurs.
Tout d’abord le stardome a été conçu sous forme d’arc de cercle, il est constamment gonflé à l’aide d’une pompe. Quand les élèves sont entrés dans l’Aula, ils ont été immédiatement surpris par la taille de la tente, car elle peut contenir une trentaine de personnes. Au début, ils ont eu de la peine à trouver l’entrée pour finalement s’y glisser l’un après l’autre.
Il faut admettre qu’au début les élèves étaient plutôt distraits, mais plus le présentateur parlait, plus les élèves étaient captivés par ses explications intéressantes, on n’entendait plus le moindre bruit. Frédéric Graf posait différentes questions aux élèves, ce qui rendait l’échange très ludique et leur permettait de découvrir un nouvel univers.
Projection d’une galaxie sur la voûte su stardome
Nadège, as-tu apprécié le stardome et pourquoi?
Oui, j’ai apprécié. La présentation était intéressante. Nous étions tous assis pendant que le présentateur parlait et commentait des images projetées.
Tout d’abord le stardome a été conçu sous forme d’arc de cercle, il est constamment gonflé à l’aide d’une pompe. Quand les élèves sont entrés dans l’Aula, ils ont été immédiatement surpris par la taille de la tente, car elle peut contenir une trentaine de personnes. Au début, ils ont eu de la peine à trouver l’entrée pour finalement s’y glisser l’un après l’autre.
Il faut admettre qu’au début les élèves étaient plutôt distraits, mais plus le présentateur parlait, plus les élèves étaient captivés par ses explications intéressantes, on n’entendait plus le moindre bruit. Frédéric Graf posait différentes questions aux élèves, ce qui rendait l’échange très ludique et leur permettait de découvrir un nouvel univers.
Projection d’une galaxie sur la voûte su stardome
Nadège, as-tu apprécié le stardome et pourquoi?
Oui, j’ai apprécié. La présentation était intéressante. Nous étions tous assis pendant que le présentateur parlait et commentait des images projetées.
Nora
Vanessa Colella, une enseignante très enthousiaste
jeudi, le 06 octobre : Vanessa Colella
Mercredi, je me suis rendu dans la classe de Vanessa Colella, une enseignante très enthousiaste, en compagnie d’Alexis et de Kelly, afin de rendre compte des activités de ses élèves.
Au Mottier B
L’intérêt pour les étoiles est très grand dans cette classe. Ils ont appris le nom des planètes du système solaire, leur nombre ainsi qu’un moyen mnémotechnique de se souvenir de leur ordre sous la forme d’une phrase: Me Voici Tout Mouillé, J’ai Suivi Un Nuage. En observant la première lettre de chacun des mots, on peut retrouver chacune de planètes et leur ordre : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Lors de notre visite, une partie de la classe réalisait l’activité proposée par Monsieur Romain Rousset, par l’intermédiaire d’une vidéo postée sur le site de la médiathèque. En parallèle, un autre groupe concevait un quizz afin de tester les connaissances de leurs parents à l’occasion de la soirée parents-enseignants prévue prochainement. J’ai demandé à Abel s’il pensait que les parents allaient réussir à répondre à leurs questions. Sa réponse? Ça dépend de leur âge!
Un peu plus loin, d’autres élèves travaillaient, par groupe de 2 ou 3, sur des exposés. Les élèves que j’ai pu interroger étudiaient ce jour-là Uranus, Jupiter et Mercure. Ils semblaient avoir de la peine à dactylographier leur texte.
Le système solaire de Marc
En cinq semaines, les élèves ont appris
Au Mottier B
L’intérêt pour les étoiles est très grand dans cette classe. Ils ont appris le nom des planètes du système solaire, leur nombre ainsi qu’un moyen mnémotechnique de se souvenir de leur ordre sous la forme d’une phrase: Me Voici Tout Mouillé, J’ai Suivi Un Nuage. En observant la première lettre de chacun des mots, on peut retrouver chacune de planètes et leur ordre : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Lors de notre visite, une partie de la classe réalisait l’activité proposée par Monsieur Romain Rousset, par l’intermédiaire d’une vidéo postée sur le site de la médiathèque. En parallèle, un autre groupe concevait un quizz afin de tester les connaissances de leurs parents à l’occasion de la soirée parents-enseignants prévue prochainement. J’ai demandé à Abel s’il pensait que les parents allaient réussir à répondre à leurs questions. Sa réponse? Ça dépend de leur âge!
Un peu plus loin, d’autres élèves travaillaient, par groupe de 2 ou 3, sur des exposés. Les élèves que j’ai pu interroger étudiaient ce jour-là Uranus, Jupiter et Mercure. Ils semblaient avoir de la peine à dactylographier leur texte.
Le système solaire de Marc
En cinq semaines, les élèves ont appris