Claude Nicollier à l'aula avec les élèves de 8P
lundi, le 10 octobre : Claude Nicollier
Vendredi 7 octobre, de 13h à 14h, Claude Nicollier a fait une conférence sur ses voyages dans l’espace aux classes de 8P2 et de 8P3. Les élèves ont eu l’occasion de poser des questions.
Il a notamment expliqué qu’il y avait beaucoup de satellites dans l’espace. Certains satellites permettent à notre GPS de nous situer ou de localiser une position demandée.

Boule d’eau en apesanteur
Il a raconté aussi que, dans l’espace, si on verse du liquide à l’extérieur de son récipient, cela fait une boule et que l’on peut l’aspirer pour la boire. Lui-même a déjà fait l’expérience et a dit que c’était très amusant.
Claude nous a également appris qu’avant la lune était une boule de roche liquide. Comme la boule d’eau, elle est donc sphérique. Quant à ses cratères, ils sont dus aux météorites qui se sont écrasées à sa surface.

Pâtes lyophilisée que l’on mange dans l’espace
Quand notre astronaute suisse était dans l’espace, lui et ses collègues mangeaient de la nourriture lyophilisée, c’est à dire de la nourriture séchée dans laquelle on rajoute de l’eau pour la manger. Sans ce procédé, la nourriture moisirait à cause de l’humidité. Un mois avant la mission, Claude Nicollier et ses co-équipiers devaient choisir leurs plats lyophilisés en prévision de leur alimentation. Voici des exemples de menus : soupe aux champignons, épinards à la crème, fraises, amandes, thé au citron,…

Claude Nicollier montre aux élèves le noyau d’une comète observé par Rosetta
M. Nicollier a aussi parlé de Rosetta, la sonde qui permet aux scientifiques d’observer et d’étudier un noyau de comète de 5km de diamètre. Rosetta a réussi à se placer en orbite autour du noyau. Elle y a envoyé un robot pour l’analyser.
Claude Nicollier a conclu sa présentation avec une photo de la terre vue de l’espace : On a le sentiment, là-haut, de tout voir et d’avoir une grande liberté de mouvement… c’est super cool ! Mais il faut aussi et surtout s’occuper de la Terre car la plupart d'entre nous y restera.
Monsieur, Nicollier, que vous reste-t-il de vos voyages dans l’espace ? Avez-vous souffert de la solitude?
Beaucoup de bons souvenirs, le bonheur de toucher le télescope spatial Hubble pour la première fois par exemple. Mais aussi quelques désagréments, on se sent mal en effet pendant une à deux heures une fois arrivé dans l’espace. Quant à la solitude, pas de temps pour cela, nous avions bien assez de travail et nous étions une équipe soudée qui collaborait bien. Nous disposions également de 20 minutes par semaine pour communiquer avec notre famille.
Il a notamment expliqué qu’il y avait beaucoup de satellites dans l’espace. Certains satellites permettent à notre GPS de nous situer ou de localiser une position demandée.

Boule d’eau en apesanteur
Il a raconté aussi que, dans l’espace, si on verse du liquide à l’extérieur de son récipient, cela fait une boule et que l’on peut l’aspirer pour la boire. Lui-même a déjà fait l’expérience et a dit que c’était très amusant.
Claude nous a également appris qu’avant la lune était une boule de roche liquide. Comme la boule d’eau, elle est donc sphérique. Quant à ses cratères, ils sont dus aux météorites qui se sont écrasées à sa surface.

Pâtes lyophilisée que l’on mange dans l’espace
Quand notre astronaute suisse était dans l’espace, lui et ses collègues mangeaient de la nourriture lyophilisée, c’est à dire de la nourriture séchée dans laquelle on rajoute de l’eau pour la manger. Sans ce procédé, la nourriture moisirait à cause de l’humidité. Un mois avant la mission, Claude Nicollier et ses co-équipiers devaient choisir leurs plats lyophilisés en prévision de leur alimentation. Voici des exemples de menus : soupe aux champignons, épinards à la crème, fraises, amandes, thé au citron,…

Claude Nicollier montre aux élèves le noyau d’une comète observé par Rosetta
M. Nicollier a aussi parlé de Rosetta, la sonde qui permet aux scientifiques d’observer et d’étudier un noyau de comète de 5km de diamètre. Rosetta a réussi à se placer en orbite autour du noyau. Elle y a envoyé un robot pour l’analyser.
Claude Nicollier a conclu sa présentation avec une photo de la terre vue de l’espace : On a le sentiment, là-haut, de tout voir et d’avoir une grande liberté de mouvement… c’est super cool ! Mais il faut aussi et surtout s’occuper de la Terre car la plupart d'entre nous y restera.
Monsieur, Nicollier, que vous reste-t-il de vos voyages dans l’espace ? Avez-vous souffert de la solitude?
Beaucoup de bons souvenirs, le bonheur de toucher le télescope spatial Hubble pour la première fois par exemple. Mais aussi quelques désagréments, on se sent mal en effet pendant une à deux heures une fois arrivé dans l’espace. Quant à la solitude, pas de temps pour cela, nous avions bien assez de travail et nous étions une équipe soudée qui collaborait bien. Nous disposions également de 20 minutes par semaine pour communiquer avec notre famille.
Juliette