Souvenirs d'enfance

Moi, c’est Jenny. J’ai 5 ans mais je dis 5 ans et demi. Le « demi » C’est SUPER important ! Quand je croise les amis de ma maman, ils me demandent toujours (à croire qu’ils ne s’en souviennent jamais) !
-Tu as quel âge ?
-5 ans et demi. Dis-je.
-Oh, tu es grande ! me disent-ils.
Alors moi je bafouille un « oui » avec fierté. Mais juste après ils rigolent… Alors je regarde mes chaussures, ces chaussures qui me plaisent tant, mes préférées et je me demande pourquoi ils rigolent ?
Aujourd’hui je suis sortie de l’école super contente ! J’ai couru vers ma maman et je lui ai dit :
-Maman ! J’ai fini la flute enchantée ! Et je suis la première de la classe !
Maman m’a regardée et m’a dit :
-C’est bien ma chérie, t’es la meilleure !
Alors j’ai souri et je lui ai demandé timidement :
-Euh… je… on… pourrait… aller… parc ?
-Chérie, ne parle pas dans ta barbe ! me dit maman.
-J’aimerais aller au parc !
Au fait pourquoi on dit : ne parle pas dans ta barbe ? Je n’ai pas de barbe et pourtant Maman continue à croire que j’en ai une ! Je devrais penser à lui acheter des lunettes pour Noël.
Bref, après un bon gâteau pour les 4heures, on est allé, moi et ma maman au parc. Génial !
Au parc j’ai sauté sur la première balançoire que j’ai vue. Et j’ai demandé à maman de me balancer. Ensuite je lui ai dit :
-Maman, je veux toucher les nuages !
Jennifer
Mes cousins sont à la maison. Avant, j’avais l’école alors je ne les voyais que à midi et le soir après l’école. On ne pouvait pas beaucoup jouer mais ma tante nous faisait de bonnes choses à manger à midi, et papa aussi, le soir. Maintenant, c’est les vacances alors je passe toute la journée avec mon cousin et ma cousine. Ce matin, on est allés faire une balade au bord de la rivière. Comme les parents marchaient vite et que nous on était fatigués, on est restés jouer sur des rochers.
Quand on reste à la maison, on joue dans le jardin, sur la balançoire. On s’invente des jeux. On se dit qu’on est des grandes personnes et qu’on a des pouvoirs magiques, comme dans les dessins animés. C’est trop bien et on peut passer la journée à y jouer. Mais le soir, il faut aller manger. Puis on va dormir avant de recommencer la même chose le lendemain.
Audrey
Ce matin c'était la rentrée. On a pu raconter les choses qu'on a faites pendant ces vacances. Maintenant, l'école vient de finir et je me rends au parc avec ma meilleure amie. Je cours avec elle jusqu'à la balançoire. Je m'assieds sur l'une d'elle et mon amie sur l'autre. Je lui montre mes nouveaux autocollants en espérant qu'elle voudra m'en échanger. Je regarde les siens à elle qui est si fière de me les montrer. J'en vois un qui est magnifique. Il est si beau que je lui demande si je peux l'avoir mais elle n'est pas d'accord parce qu'elle aussi elle l'adore. Alors je la supplie de tout mon être. Elle finit par accepter tellement j'en ai envie mais à une condition, c'est que je lui donne celui qu'elle veut en échange. Je n'ai pas envie de lui donner celui qu'elle veut parce que c'est un de mes préférés. Je la supplie d'en choisir un autre mais elle est têtue alors n'accepte pas donc je lui propose de me l'échanger contre deux autocollants et elle accepte.
Vanessa
Tout ça pour dire que, nous avons tous un point commun. Les souvenirs de notre enfance. Parfois, ils sont moins joyeux que les notre, mais c’est des plus joyeux dont il faut se souvenir le plus. Nous avons réussi à réunir trois souvenirs d’enfance de trois personnes très différentes en un seul texte comme si ce n’était qu’une seule personne qui parlait. Comme quoi, se rappeler nos souvenirs, ça fait du bien et ça réuni les cœurs.
Le son

Délirant sur ce son qui m’entraine, ce bruit qui, au début était si dur à déchiffrer, maintenant m’apparaît comme une évidence. De plus en plus puissant, mon esprit s’accorde avec lui et nous ne faisons qu’un.
Un monde se crée autour de moi. Il se dessine au rythme des basses. Une autre vision, si différente du réel.
Mais une sensation de froid me fait revenir au monde si terre à terre où nous vivons.
Je me demande comment je me suis retrouvée là. Rattrapé par la réalité, je sens seul. Tellement que cela devient presque ironique.
J’ouvre les yeux, transpercée de toute part, par la lumière. Pas la lumière des rayons du soleil, mais celle qui sert à éclairer les passants...
Charlotte
La lumière
Couché sur une route, je regarde la lumière qui m’éclaire et m’éblouit.
Tellement éblouissant que je ne vois plus les étoiles, d’habitude si belle et brillante.
Soudain, une autre lumière apparut dans l’obscurité, toujours plus puissante et éblouissante.
Un bruit assourdissant vient frapper mes tympans.
Quelques minutes plus tard, je me réveille et me sens plus confortable.
J’ouvre les yeux, je regarde autour de moi, mais je ne vois plus cette lumière si puissante. Plus qu’une grande lumière blanche.
J’ouvre une porte et là, tout ce que j’avais imaginé était là.
Un magnifique paysage, avec des fleurs de toutes les couleurs, des arbres immenses, ...
C’est le paradis.
Lydie
L'amour en trois temps
Lisa...et...Mike
Cela sonne si bien ! C'est un signe non ? Moi je pense que c'est un signe.
Elle est si belle avec ses yeux verts, ses cheveux blonds et ses fossettes. Je la connais par coeur avec ses mimiques et sa moue boudeuse. Elle ne demande qu'à aimer et à être aimer. Mais je suis là maintenant ! Je pourrais la demander en mariage à l'instant. ou demain ! Vous appellerez peut être ça de la folie, moi j'appelle ça de l'amour. Peut être de l'amour fou...
Ce qui est sûr, c'est que l'on s'aime. Cette intensité lorsque nos regards se croisent dans les couloirs: c'est fusionnel, c'est passionnel. C'est sûr, c'est certain, nous sommes faits l'un pour l'autre.
Je nous vois déjà sur l'autel, pressés de nous dire le «Oui !» qui scellera nos vies ensemble à tout jamais. Elle dans sa belle robe blanche, moi dans mon smoking d'apparat. Ou encore ,nous signant l'acte de vente de notre maison. Ou alors à la maternité pour célébrer la venue de Jessica la petite troisième. Elle sera mère au foyer, je serais chef d'une entreprise prospère. Nous aurons beaucoup d'amis jaloux de notre vie parfaite que nous inviterons avec un malin plaisir dans notre grande maison. Nos enfants réussiront leurs études avec brio, finissant avocats ou médecins. Notre retraite aussi sera parfaite, nous parcourrons le monde pour découvrir des pays et des traditions, et nous nous nous découvrirons encore malgré les années. Nous finirons par mourir vieux, ensemble dans notre lit un belle nuit d'été.
Notre vie ensemble aura été un long fleuve tranquille, sans soucis et surtout parfait.

- Salut, ça va ?
- Ouais, tu veux quoi ?
- Je voulais savoir si... Je voulais savoir si tu voulais qu'on sorte ensemble vendredi soir ?
- Mouais, peut être... Je te redirai. Ciao

Nous nous aimons déjà depuis plus d’une année.
Et nous allons enfin le concrétiser.
Nous vous invitons donc à partager,
Le temps d’une journée, notre conte de fée.

Le 23 août 2010,
Ch. Le Paradis,
L’église St-Pierre,
A 10 heures
Lisa & Mike
Mon cher mari,
Notre mariage ne tient plus debout. Je prends les meubles et les bijoux.
Il faut l’avouer, on était bien tombé mais j’ai réalisé qu’entre nous ça ne plus durer.
Je prends la carte de crédit et part m’installer en Italie et oui mon chéri c’est la vie…
Notre histoire était romantique, entre nous c’était magique.
Il faut l’avouer on ne plus s’aimer.
Je t’aimais éperdument… Mais ça c’était avant.
Toute bonne chose a une fin…
Ton ex-femme chérie
Salomon, Alyssia, Auria et Léa
Vampires Suck
*Trois jours plus tard*
Voilà je suis dans le Montana avec ma mère, elle m’avait tellement manqué ! Et aujourd’hui je vais dans mon nouveau lycée, je flippe parce que je ne connais personne, je ne suis jamais venue dans le Montana auparavant. Me voilà maintenant au lycée, super je commence par les Sciences, la matière que je déteste le plus. Arriver en cours, je commence bien, je suis déjà en retard, et je vois qu’une place, à côté d’un garçon assez étrange avec la peau pâle et un regard à faire peur.
*Un mois plus tard*
Comme j’aime le Montana, je me suis fait rapidement de nouveaux amis mais je n’arrive toujours pas à savoir qui est ce garçon si mystérieux, chaque regard qu’il me lance, je vois de la méchanceté et en même temps de la douceur. A-t-il des amis ? Je le vois chaque jour tout seul, même en classe, il n'est pas trop bavard, mais pourtant il m’intrigue. Tous mes amis, me disent ne me pas m’approcher de lui. Je leur demandais pourquoi. Personne ne me répondait. Me cache-t-il quelque chose de grave ? Peut-être qu’il a déjà tué des gens ou encore pire déjà violer des jeunes filles. NON ! Là je me fais trop de films. Je ne sais même pas son nom, je n’ai jamais osé lui parler, j’ai décidé qu’aujourd’hui j’allais lui parler.
*Fin des cours*
Je le vois se dépêcher de sortir, (comme chaque jour d’ailleurs). Il commença à marcher dans une ruelle sombre, j’ai décidé de le suivre discrètement et dans ma tête la question : Est-ce une bonne idée ? Elle me titillait la tête. Je n’ai pas eu le temps de me répondre, que je vis son visage se transformer et il posa c’est horrible dents pointues sur mon cou.
Ana
Elle sentait ses dents dans son cou, elle avait compris bien trop tard qu'il n'était pas vraiment humain. Mais qu'elle était stupide ! Brooklyn aurait eu tout le temps de fuir si seulement elle avait été moins naïve. Allait-il la tuer ? Qu'est-ce-que ça faisait de mourir ? Revoyons nous vraiment notre vie ?
Et si il ne la tuait pas ? Si il la transformait, comme lui ?
Elle avait lu Twilight mais elle ne pensait pas qu'un jour elle se retrouverai avec une telle douleur et des dents pointues dans le cou.
Ce soir là elle aurait du rentrer, étudier bien au chaud chez elle, en sécurité, mais elle ne l'avait pas fait.
La douleur remplissait toute sa tête, l'empêchent de penser rationnellement, elle n'essaya même pas de se dégager, il était trop fort, exactement comme dans Twilight ! Quelle ironie.
Ses yeux se fermèrent, elle glissa dans un sommeil profond.
Ou peut-être était-elle morte
Khadija
Quand je revois ma vie d'avant, je regrettes de ne pas pouvoir revenir en arrière.
L'école, les amis, la famille...
Tout ça, je ne pourrai plus jamais le revivre et ça me manque tellement !
J'ai lu Twillight, j'ai vu ce que Edward a fait à Bella, j'ai vu les conséquences et je les ai vécues...
J'ai la peau blanche, les yeux qui changent de couleurs j'ai besoin de sang pour me nourrir et rien d'autre.
Je cours à la vitesse de l'éclair, je n'ai plus besoin de dormir, plus besoin d'être dépendante de quelqu'un.
La fille ordinaire à fait place à un monstre assoiffé de sang, qui hante les histoire et qui est prêt à tuer pour manger.
Mais ce monstre n'est pas moi !
Il a pris possession de mon corps, il me ronge de l'intérieur, et me tue à petit feu.
Juste une soirée, juste un instant, juste une seconde...
Pourquoi est ce que ce soir la je ne suis pas rentrée direct chez moi ?
Pourquoi ne suis-je pas rester à la maison étudier ?
Ces question ne servent à rien.
Juste à me faire du mal.
Mais est ce que il y eu d'autre victime ?
Suis-je la seule ?
Mais maintenant plus besoin de questions.
Je sais qui je suis et ce que je suis devenue.
Je suis un vampire.
Eva
Rien à signaler
Gustave et la corneille
Quand la corneille avait faim et qu’elle ne pouvait pas aller chercher les cerises dans le verger, elle se posait sur l'épaule du vieil homme et lui pinçait frénétiquement les oreilles pour qu'il lui donne à manger. Et même qu'un jour, alors qu'elle était tranquillement perchée sur une branche du cerisier, un chat s'approcha furtivement d'elle. Mais la corneille l'avait vu et elle se retourna, ouvrit les ailes et piailla à en réveiller les morts, ce qui fit peur au gros matou qui s'enfuit à toutes pattes. Plus tard, dans la soirée, elle descendit de l’arbre pour marcher un peu et rencontra un écureuil qui se remplissait la panse de noisettes. L’écureuil invita la corneille à déguster ce repas avec lui, ce fut une rencontre parmi bien d’autres.
Le jour du premier août, Gustave alla manger dans un restaurant près de la fête et la corneille le suivit jusqu'au moment où le feu d'artifice éclata. Cela lui fit tellement peur qu'elle partit et Gustave ne la revit plus jamais.
Alexandre A et Sébastien