L’école
mardi 30 septembre 2014 Rangé dans: Pensées
L’école est une chose que certains considèrent comme une torture. Ils préfèreraient rester chez eux. D’autres voient ça comme un bienfait. Ils aiment aller à l’école. Moi je fais partie des deux, des jours j’aime y aller et d’autres pas.
Mais on ne se demande jamais ce que l’on ferait sans l’école, sans tout le savoir que les cours nous apportent. Sans tout cela personne n’aurait de connaissances et tout le monde serait à travailler dès son plus jeune âge comme dans certains pays.
Certains disent qu’ils échangeraient bien leur place avec des jeunes qui travaillent dès l’âge de dix ans. Moi ce que je pense c’est que l’école veut nous apporter tout ce dont on a besoin pour faire le métier qui nous plaît. Car il n’y a rien de pire que de faire une chose que l’on n’aime pas pendant des années.
Mais on ne se demande jamais ce que l’on ferait sans l’école, sans tout le savoir que les cours nous apportent. Sans tout cela personne n’aurait de connaissances et tout le monde serait à travailler dès son plus jeune âge comme dans certains pays.
Certains disent qu’ils échangeraient bien leur place avec des jeunes qui travaillent dès l’âge de dix ans. Moi ce que je pense c’est que l’école veut nous apporter tout ce dont on a besoin pour faire le métier qui nous plaît. Car il n’y a rien de pire que de faire une chose que l’on n’aime pas pendant des années.
Arnaud
Comments
La mort
mardi 30 septembre 2014 Rangé dans: Pensées
Au fond, la mort on ne sait pas ce que c’est. Pourquoi on meurt ? Je ne sais pas. Et pourtant on va tous passer par là. Pourquoi l’humanité existe pour naître et mourir ? Je ne sais pas. Pourquoi vivre si on va mourir. Au fond, on est juste de passage. On peut mourir maintenant, dans une minute, demain ou même dans une semaine. Enfin bref, profite des moments de ta vie. On ne sait jamais, tout peut changer.
Daniella
La boucherie du Grand-Mont
mardi 30 septembre 2014 Rangé dans: Information
La boucherie du Grand-Mont – ou la boucherie Piguet – a été créée par Marcel Piguet en 1978. Avec son épouse Liliane, son fils Stéphane et 4 ou 5 autres collaborateurs, suivant les jours, ils gèrent la boucherie à la place du Grand-Mont 16, au Mont-sur-Lausanne. Aujourd’hui, Marcel Piguet a 76 ans, il est toujours en pleine forme et travaille dans la boucherie 3 ou 4 jours par semaine, comme son épouse Liliane. (Comme quoi le métier de boucher nous fait bien garder la forme.) Stéphane, l’actuel patron, travaille chaque jour de la semaine.
Stéphane Piguet
Presque toute leur viande vient de Suisse, il faut savoir qu’habituellement 20% de la viande que l’on trouve dans nos supermarchés ne vient pas de Suisse. Or, dans la boucherie Piguet, seul le canard est majoritairement importé de France, et l’agneau importé d’Irlande ou de Nouvelle-Zélande, ce qui ne représente que 10% des viandes que propose la boucherie.
Elle propose également des produits aussi divers que des sauces, des champignons, des confitures faites maison par les Piguet... Comment les sélectionnent-ils ? Deux principes : répondre à la demande des clients, et proposer des produits que l’on ne trouve que rarement dans les supermarchés et qui ne sont pas « bas-de-gamme ».
La boucherie Piguet s’est installée dans un bon endroit. Depuis 36 ans. Ils n’ont connu aucun problème avec les voisins, disputes ou querelles, ni évènements majeurs, incendies, crises économiques, évènements par rapport au terrain... J’aime beaucoup la boucherie Piguet.
HORAIRES :
Lundi : Fermé
Mardi->Vendredi :
07h30⇒12h30 / 14h30⇒18h30
Samedi :
07h00⇒12h30 / 13h30⇒16h00
Dimanche : Fermé
Elric
L'absence
jeudi 25 septembre 2014 Rangé dans: Poésie
Tout ma vie
j’ai grandi sans lui
son absence a affaibli mon coeur
son regard et son sourire me manquent
je me regarde dans la glace mais je ne me reconnais plus
les gens me voient comme un comique
mais au fond je suis abandonnique
Tu ne m’as jamais regardé
pour toi je suis joyeux et heureux
mais je ne suis que douloureux
Ne t’en vas pas
ne pars pas
ne m’abandonne pas
non pas encore une fois
Tue-moi
aime-moi
étrangle-moi
câline-moi
mais au moins regarde-moi
Je t’aime malgré cette absence
ce n’ai pas une urgence mais je dois te faire une confidence
cette expérience m’a fait comprendre notre différence
moi je suis en pleine adolescence
et toi en pleine absence
j’ai grandi sans lui
son absence a affaibli mon coeur
son regard et son sourire me manquent
je me regarde dans la glace mais je ne me reconnais plus
les gens me voient comme un comique
mais au fond je suis abandonnique
Tu ne m’as jamais regardé
pour toi je suis joyeux et heureux
mais je ne suis que douloureux
Ne t’en vas pas
ne pars pas
ne m’abandonne pas
non pas encore une fois
Tue-moi
aime-moi
étrangle-moi
câline-moi
mais au moins regarde-moi
Je t’aime malgré cette absence
ce n’ai pas une urgence mais je dois te faire une confidence
cette expérience m’a fait comprendre notre différence
moi je suis en pleine adolescence
et toi en pleine absence
Loïc et Lorenzo
La vie à tous les temps
vendredi 19 septembre 2014 Rangé dans: Poésie
Ne jamais regarder le passé qui soit simple ou composé.
Il vaut mieux regarder le présent pour avoir un futur simple
ou plus-que-parfait...
passé simple ----------> présent ----------> futur simple
Benjamin et Nolan
Portraits
jeudi 18 septembre 2014 Rangé dans: Poésie
1.
Il est assez petit en taille,
Il est drôle et sympa,
Il a les yeux noirs et les cheveux bruns,
Un caractère rebelle !
2.
Il est grand,
Il a les cheveux châtain clair,
Il a des lunettes et les yeux bleus,
Il est drôle et cool !
Seth et Jonathan
Il est assez petit en taille,
Il est drôle et sympa,
Il a les yeux noirs et les cheveux bruns,
Un caractère rebelle !
2.
Il est grand,
Il a les cheveux châtain clair,
Il a des lunettes et les yeux bleus,
Il est drôle et cool !
Seth et Jonathan
Le sauvetage (1)
jeudi 18 septembre 2014 Rangé dans: Récit
Il était une fois un prince. Il était grand, beau, charmeur et musclé. Il était amoureux d’une jeune fille blonde au yeux bruns, elle s’appelait Petrouchka. Mais elle était retenue prisonnière dans un royaume entouré de plusieurs tours d’archers et de gros canons (3 mètres de large et 5 mètres de long). Le prince voulait absolument la délivrer de ce royaume de barbares, alors il créa une armée de 10 dragons, de 10 archers de niveau 5 et de 18 géants de niveau 3.
Il s’exclama: ce soir, à 24 heures 00 précises, nous la délivrerons. DING DING DONG. Les trois cloches sonnèrent. Le prince avança avec son armées.
Il lança ses dragons, puis ses archers niveau 5 et pour finir les géants niveau 3. L’armée du prince détruisit tout sur son passage. Arrivé devant la chambre de Petrouchka, un grand homme se dressa, c’était le roi des barbares niveau 11. D’un seul coup d’épée, il tua toute l’armée du prince. Celui-ci prit son courage à deux mains et combattit le roi barbare, à main nue, lui piqua son épée et le tua. Il sauva ainsi Petrouchka. Elle l’embrassa. Il vécurent heureux pour toujours.
Il s’exclama: ce soir, à 24 heures 00 précises, nous la délivrerons. DING DING DONG. Les trois cloches sonnèrent. Le prince avança avec son armées.
Il lança ses dragons, puis ses archers niveau 5 et pour finir les géants niveau 3. L’armée du prince détruisit tout sur son passage. Arrivé devant la chambre de Petrouchka, un grand homme se dressa, c’était le roi des barbares niveau 11. D’un seul coup d’épée, il tua toute l’armée du prince. Celui-ci prit son courage à deux mains et combattit le roi barbare, à main nue, lui piqua son épée et le tua. Il sauva ainsi Petrouchka. Elle l’embrassa. Il vécurent heureux pour toujours.
Loïc et Lorenzo.
New York
mardi 16 septembre 2014 Rangé dans: Récit
Dix heures de voiture depuis le Canada pour arriver jusque-là. Epuisant !
À peine arrivée, en essayant d’allumer une lampe, ma soeur se reçoit une grosse décharge électrique. Avant de s’apercevoir qu’il n’y avait pas d’ampoule.
Quelques jours plus tard, au plein coeur de Times Square devant un énorme écran géant qui filme tous ceux qui sont devant lui, je me perds. Je commence à stresser, je regarde autour de moi, un homme déguisé en Jack Sparrow me regarde bizarrement. Je sens une main dans la mienne. C’est Maman. Vous n’imaginez pas le soulagement que j’ai ressenti.
Kamila
L’homme et la banane
mardi 16 septembre 2014 Rangé dans: Récit
Il était une fois un chasseur qui habitait à côté d’une forêt où vivaient des bêtes étranges. Un jour, quand il alla chasser, il vit un animal étrange qu’il n’avait jamais vu. Il voulut le tuer mais fit tomber son arme, il la reprit mais se fit attaquer soudainement par sa proie. Il se fit mordre et griffer mais l’homme survécut en tuant la bête. Il était gravement blessé alors il décida de rentrer. Il mangea une banane et alla se coucher. Le lendemain il se rendit à l’hôpital mais mourut devant l’entrée.
Thomas
Chronique du papillon (7)
lundi 15 septembre 2014 Rangé dans: Chronique du papillon
La voie d’échappatoire n’est jamais très loin
Un jour, peut-être, tout sera orange ou bleu suivant les humeurs
Peut-être que c'est seulement moi qui ne vois plus les couleurs
Peut-être aussi qu'il pleuvra demain
Peut-être que ces journées calamiteuses ne seront plus que des dates insignifiantes
Peut-être et j'espère que les vieilles habitudes ne mourront jamais
Peut-être que tu lis ces lignes mais tu n'en as que faire de mes pensées dépourvues de sens à tes yeux
Peut-être que tu fais ça juste pour faire plaisir à quelqu'un, ou juste pour ne pas l'entendre
Seulement pour écouter le silence qui vous lie misérablement, ou pour ne plus te confronter à ces anciennes paroles
Peut-être que si tu persistes à lire c'est qu'au fond, je t'intéresse, je t'intrigue un peu
J'ai sûrement captivé ton attention
Et probablement que le vieil Harry a raison, un texte n'est jamais bon, il peut simplement devenir meilleur qu'avant
Je t'en suis reconnaissant
Qui sait, je ne suis qu'un vieux fou qui renaît sans le vouloir et qui pense trop
Au fond je suis déjà mort mais je...
Je, quoi ?
Le papillon
La plume
jeudi 11 septembre 2014 Rangé dans: Poésie
La plume qui tombe
au milieu des catacombes
qui vole au milieu des champs
tombant tombant
vient à toucher le sol
au grand désespoir du ciel
qui a perdu sa plume
au milieu des catacombes
qui vole au milieu des champs
tombant tombant
vient à toucher le sol
au grand désespoir du ciel
qui a perdu sa plume
Loïc
Habitants des régions de la Suisse en 2012
mardi 09 septembre 2014 Rangé dans: Sciences humaines
La nuit
mardi 02 septembre 2014 Rangé dans: Poésie
Les cieux viennent de s’envelopper
dans leur robe ébène,
le silence est à son comble.
J’observe les étoiles qui luisent dans le ciel
en pensant aux souvenirs de mon enfance.
Une larme m’échappe,
elle coule sur mon visage blanc
éclairé par la lueur de la lune.
Une légère brise vient briser ce calme
et emporte avec elle ma larme.
Couchée dans l’herbe
je ferme les yeux et laisse mon esprit
vagabonder dans mes rêves.
Lorsque je les ouvre,
je sens autour de moi
une fraîcheur encore inconnue.
Je me lève, le soleil s’est lui aussi levé.
dans leur robe ébène,
le silence est à son comble.
J’observe les étoiles qui luisent dans le ciel
en pensant aux souvenirs de mon enfance.
Une larme m’échappe,
elle coule sur mon visage blanc
éclairé par la lueur de la lune.
Une légère brise vient briser ce calme
et emporte avec elle ma larme.
Couchée dans l’herbe
je ferme les yeux et laisse mon esprit
vagabonder dans mes rêves.
Lorsque je les ouvre,
je sens autour de moi
une fraîcheur encore inconnue.
Je me lève, le soleil s’est lui aussi levé.
Jessy
