déc. 2014
Esquisse
lundi 15 décembre 2014 Rangé dans: AVI
Le dessin est une passion depuis toujours. J'essaie d'être le plus réaliste possible et j'espère pouvoir faire un jour un métier en lien avec cette passion.
J'ai eu l'idée de dessiner cette jeune fille lors d'un séjour en Italie.
J'ai eu l'idée de dessiner cette jeune fille lors d'un séjour en Italie.
Leyla
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Chronique du papillon (9)
lundi 15 décembre 2014 Rangé dans: Chronique du papillon
De quel côté
Oser? Jusqu’à quel point?
Rester dans la zone.
Ce ne sera comme convenu, alors oser tout de même ? Mais jusqu’à quel point?
Voir plus loin.
Etonner. De quel côté? Par l’attendu ? Mais en suis-je toujours capable? Je m’en vais me ranger sur le bord. J’ai un peu perdu de vue le ciel, je pars retrouver ses larmes enfouies.
Le papillon
Dans le flou
lundi 08 décembre 2014
Et puis dans le fond, que restera-t-il de ces jours? Un tas de feuilles tristounet dans une bouche pleine?
Que deviendra le crachât du babouin traversant en face de chez moi? Ce lundi après-midi changera-t-il ma vie? Alors pourquoi le subir? Sera-t-il essentiel d'aller se réfugier dans les tanières? Essentiel? Essence? Encens?
Et le sens? Était-il dans le chewing-gum écrasé par la mélancolie?
Qu'en est-il de la beauté de l'ornithorynque ?
S'enfouir, où? Un peu plus loin derrière.
Qu'importe du macaque aux fesses roses lorsqu'elle viendra à nous?
Et puis pourquoi répondre aux mouches ?
Que deviendra le crachât du babouin traversant en face de chez moi? Ce lundi après-midi changera-t-il ma vie? Alors pourquoi le subir? Sera-t-il essentiel d'aller se réfugier dans les tanières? Essentiel? Essence? Encens?
Et le sens? Était-il dans le chewing-gum écrasé par la mélancolie?
Qu'en est-il de la beauté de l'ornithorynque ?
S'enfouir, où? Un peu plus loin derrière.
Qu'importe du macaque aux fesses roses lorsqu'elle viendra à nous?
Et puis pourquoi répondre aux mouches ?
Camilla et Elsa
Poison glacé
lundi 08 décembre 2014 Rangé dans: Récit
Virginie D
J'ai regardé l'horizon, tout semblait mort, vide de sens. Le silence était lourd et pesant; les battements de mon cœur s'accéléraient. Une larme coulait sur ma joue; j'ai baissé les yeux. Mes pieds nus me faisaient souffrir alors je me suis mise à courir, courir sans fin. Ma respiration se raréfiait à chaque nouveau pas, je ne sentais plus mes membres. C'était comme si un poison se répandait dans mon sang. Rien ni personne ne pouvait l'arrêter. J'étais seule, perdue et c'était fini; il n'y avait plus d'espoir.
Clémence
