Tu es celle qui veille

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Quelque chose de court, quelque chose de léger, quelque chose de facile à emporter. Il pleut sur Dizy, je te fais parvenir les légendes de notre voyage avec le mousse. Promis, je ne dépasserai pas les bords de la carte. On y voit les bois de Ferreyres et, au fond, la carrière jaune. A quoi bon nous encombrer.

Tu es celle qui veille.

Que d’amour il m’aura fallu pour que ma langue se délie, que de silences pour que je réduise ma voilure.

Jean Prod’hom