Debora
Lettre d'une fille à sa mère
lundi 01 déc. 2014
Voilà voilà, nous y sommes, j'ai atteint mes cinq oublis. Je n'en suis pas fière, mais c'est une bonne occasion, je trouve, pour rédiger, enfin, le texte que je t’avais promis.
Voilà voilà, il n'est pas chose aisée que de parler de sa maman, cependant parler d'une des deux personnes les plus chères au monde (la deuxième c'est mon papa) serait une des plus belles façon de te dire à quel point je t’aime.
Maman, tu as eu une grossesse plutôt facile à ce que tu as pu me dire. Dans ton ventre, j'étais assez tranquille, accouchement super facile. Tu t'es bien occupée de moi malgré mes vomissements et mes couches malodorantes. A ce moment-là, tu pensais que rien n’était pire que le fait de me nettoyer les fesses, mais tu n'avais encore rien vu.
Les mois, les années ont passé, tu as toujours tout fait pour que je sois la plus heureuse des petites filles et tu as réussi. Tu m'achetais toujours les plus belles Barbies avec lesquelles je jouais pendant des heures. Je me souviendrai toujours de mon premier film au cinéma, Winnie l'Ourson, que tu étais venue regarder avec moi. Ça a dû être vachement ennuyeux quand même.
Merci de ne pas m'avoir acheté un cochon d'Indes après moultes crises afin de l'obtenir. Cet animal était à la mode en ce temps-là. Je ne saurais plus quoi en faire aujourd'hui.
Les mois, les années ont passé, que puis-je dire à propos de la puberté, ado rebelle, longue et merveilleuse période au cours de laquelle j’ai été particulièrement insupportable, mais que ton amour, entre crises et pétages de plombs à répétitions, a su canaliser. Je suis désolée d'avoir été une gamine aussi stupide, et que dire de mon accoutrement parfois ridicule que tu devais supporter. Tu as toujours été là, tu m'as toujours poussée au plus haut et ma réussite, je te la dois.
Les mois, les années ont passé, je me suis calmée et je suis devenue à nouveau une fille plutôt calme. Enfin ça dépend. Au fond, d'ailleurs, le plus important dans tout ça, c'est de savoir, de ressentir tout l'amour que tu as pour moi, le vivre avec et à travers toi.
Voilà voilà, que dire de plus, à part le fait que je t'aime, malgré ton sale caractère, parfois, et tes cris qui me percent les tympans. Tu es mon plus bel exemple.
Voilà voilà, il n'est pas chose aisée que de parler de sa maman, cependant parler d'une des deux personnes les plus chères au monde (la deuxième c'est mon papa) serait une des plus belles façon de te dire à quel point je t’aime.
Maman, tu as eu une grossesse plutôt facile à ce que tu as pu me dire. Dans ton ventre, j'étais assez tranquille, accouchement super facile. Tu t'es bien occupée de moi malgré mes vomissements et mes couches malodorantes. A ce moment-là, tu pensais que rien n’était pire que le fait de me nettoyer les fesses, mais tu n'avais encore rien vu.
Les mois, les années ont passé, tu as toujours tout fait pour que je sois la plus heureuse des petites filles et tu as réussi. Tu m'achetais toujours les plus belles Barbies avec lesquelles je jouais pendant des heures. Je me souviendrai toujours de mon premier film au cinéma, Winnie l'Ourson, que tu étais venue regarder avec moi. Ça a dû être vachement ennuyeux quand même.
Merci de ne pas m'avoir acheté un cochon d'Indes après moultes crises afin de l'obtenir. Cet animal était à la mode en ce temps-là. Je ne saurais plus quoi en faire aujourd'hui.
Les mois, les années ont passé, que puis-je dire à propos de la puberté, ado rebelle, longue et merveilleuse période au cours de laquelle j’ai été particulièrement insupportable, mais que ton amour, entre crises et pétages de plombs à répétitions, a su canaliser. Je suis désolée d'avoir été une gamine aussi stupide, et que dire de mon accoutrement parfois ridicule que tu devais supporter. Tu as toujours été là, tu m'as toujours poussée au plus haut et ma réussite, je te la dois.
Les mois, les années ont passé, je me suis calmée et je suis devenue à nouveau une fille plutôt calme. Enfin ça dépend. Au fond, d'ailleurs, le plus important dans tout ça, c'est de savoir, de ressentir tout l'amour que tu as pour moi, le vivre avec et à travers toi.
Voilà voilà, que dire de plus, à part le fait que je t'aime, malgré ton sale caractère, parfois, et tes cris qui me percent les tympans. Tu es mon plus bel exemple.
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