Alexandre

Dishonored

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Sans vouloir faire de la publicité pour ce jeu, je souhaite vivement vous le conseiller; mais pour ne rien vous gâcher, je vais juste vous dévoiler le contexte qui n'a rien à envier à nombre de livres et romans.

Nous sommes sur une île, une immense île. Une haute digue protège une magnifique ville des assauts répétés de l'océan, cette ville c'est Dunwall. Sa position sur le globe et ses ressources abondantes lui ont permis de devenir la capitale du plus grand empire depuis des siècles. Palais somptueux, ports grouillants d'activités et maisons sublimes font la réputation de Dunwall.

Mais tous cela n'est que la partie émergée de l'iceberg, le reste est beaucoup plus sombre. Certes les riches s'enrichissent mais à quel prix... Les ouvriers s'échinent au travail, les baleines sont massacrées pour leur huile qui fait tourner les machines récemment inventées et la misère s'installe malgré nombre de défauts, la ville tient sans trop de problèmes majeurs.

C'était le cas jusqu'à ce qu'un élément vienne perturber cet ensemble fragile: la peste.
Malédiction démoniaque pour certains ou punition divine pour d'autres, de toute façon les malades n'ont ni le temps ni les capacités pour y réfléchir. En parallèle la digue du quartier des raffineries a cédé, inondant toutes les rues et transformant un quartier prospère en une fosse commune où l'on évacue les victimes de la peste, mortes ou vivantes...

Mais tout cela n'empêche pas la guerre secrète qui se déroule dans les temples, les palais et les parlements, celle qui a lieu entre deux ordres. Le premier se compose des superviseurs, une bande de fanatiques religieux avec une morale morbide qui sont voués à la destruction de l'Outsider dont nous parlerons plus tard, en face les nobles largement dominés par la famille Pendleton, richissimes et corrompus. Tous deux disent vouloir le bien du peuple mais les uns comme les autres ne désirent que le pouvoir.

Au coeur de cette guerre meurtrière, celle qui est censée mener la danse mais qui n'est que le pantin de ceux qui tirent les ficelles, il s'agit de l'Impératrice. Une femme gentille mais naïve sur qui le pouvoir est tombé comme la misère sur sa ville.

Et finalement l'Outsider, il représente la fin et le début de tout, il n'est ni bon ni mauvais et il regarde le monde d'un oeil amusé. Les anciens habitants de Dunwall le vénéraient durant de longs rituels spectaculaires, mais les superviseurs ont rendu ce culte passible de mort, mais nombre de citoyens possèdent encore des objets gravés dans des os de baleine datant de cet ancien temps auquel on prête nombre de pouvoirs étranges.

Alexandre

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