La rose
La rose est une fleure et aussi une couleur
Avec des symphonies. La rose est un grin de blé
Qui a poussé et mérité La rose a un parfum
Qui me rend toute zinzin La rose donne une impréssion
Qui nous fait perdre totalement la raison. La rose a une histoire
Plus longue que celle d’un manoir. La rose est une image
Du miel et du mariage. La rose est une bénédiction
Pour les abeilles et les papillons.
Ana
Le néant
Le néant c’est quoi? Le néant c’est rien enfin je crois! Mais rien c’est quoi? Rien c’est rien. Mais je ne réponds pas vraiment à mes questions. Donc le néant c’est le néant et rien c’est rien. Mais essayez juste 5 minutes de vous imaginez le néant, donc rien.
Mais votre imagination c’est quelque chose donc c’est impossible d’imaginer rien. Parce que c’est même pas ma feuille vu qu’il y a mon texte écrit. Et une feuille c’est pas rien. Rien c’est pas non plus le ciel, enfin si le ciel c’est rien moi je veux bien me faire lapider.
une dernière chose, celui qui peut me dire ce qu’ai le néant il est vachement fortiche.
Aurélien
Le surf
Le surf c’est juste génial, cette sensation d’être porté par les vagues. Bon il y a des moments plus laborieux comme lorsque tu te prend la planche dans les bijoux de famille!
Mais tous sa tu l’oublie lorsque tu te fais une bonne grosse vague, je ne parle pas de celle de 30 mètres mais de celle de 3 mètres.
Quoi? C’est déjà pas mal pour un débutant!
Hicham
Un jour
Je m’appelle Ayala Kursakov. Je vivais à Paris avec mes parents. Ils étaient polonais mais d’origine juive. Voilà maintenant 3 mois que je vivais dans une espèce de cage misérable. Ils avaient tué ma mère devant moi il y a 3 jours. Mon père, lui, avait été déporté. Je vivais seule, à seulement 8 ans. La faim et la soif me rongeaient Une envie me torturait l’esprit. L’envie de m’enfuir, loin, très loin de cette horrible vie. Je pleurais. Sûr de finir ma jeune vie ici. Le garde que je regardais depuis un moment, commença à me fixer...
Je m’appelle Franz Edelstein. Je suis nazi malgré moi, garde d’un camp de concentration. Comme tous les jours, je me rendais à mon boulot, un boulot qui me torturait. Comme tous les jours, je voyais des centaines d’enfants mourir de faim, comme tous les jours, j’entendais les cris de ceux qui se font mal traiter par mes ‘’collègues’’. Mais ce jour, ce jour là, n’allait pas être comme les autres J’observais une fillette qui pleurait. C’était une petit blonde, haute comme trois pommes. Elle était sale et très maigre, je compris vite que la misère la hantait, je devais l’aider ! Je savais que si quelqu’un me voyait, je finirais comme elle, dans la chambre à gaz. Je jetais un coup d’oeil à droite puis à gauche...
L’homme fit un signe à la fillette, elle s’approcha timidement. D’un geste brusque, il souleva le grillage et lui fit signe de passer dessous celui-ci. Rapidement, la fillette rampa et s’enfuit de ce monde d’horreur qui l’avait marqué à jamais, mais le garde aussi...
Alyssia et Léa
Valse de Chopin | numéro 17
Ephémère printemps
Je pourrais bien sûr capturer l’image du champ de colza qui s’étend jusqu’aux montagnes majestueuses, ou celle du pommier du jardin noyé dans les pissenlits éclatants.
Je pourrais même tendre un micro et enregistrer le grincement du trampoline accueillant à nouveaux les enfants rieurs, ou celui de l’eau limpide de la fontaine libérée de son étau de glace.
Mais je ne peux pas voler les senteurs des après-midis de printemps, en extraire l’essence la plus délicieuse et en remplir un flacon.
Je ne pourrai pas ressortir ce flacon et en aspirer les effluves lors des tristes jours de novembre.
Le perfectionnement des technologies peut avancer, il peut même courir ! L’air de mai lui file toujours entre les doigts.
Il reste éphémère. Précieux.

Céliane
Qu'est-ce que c'est ?
Longues, mi-longues ou courtes
Du blanc au noir, du propre au sale
Elles sont multicolores
Sentent bon, sentent mauvais, cela dépend
Trouées ou mouillées elles peuvent être désagréables
En laine ou tricotées, elles peuvent gratter
Elles collent, elles piquent
En vert, ce sont des grande actrices
Avez-vous deviné ?
Elles sont à vos pieds !
Marine
Je crois que j'ai compris...
- Le désordre a été créer en même temps qu'un nigaud a cru apercevoir de l'ordre quelque part.
- L'intelligence n'existe pas, c'est juste ce qu'on croit comprendre et ce qu'on croit ne pas comprendre.
- Je ne suis interessé ni par les sciences exactes ni par les sciences "inexactes" mais par le mélange des deux.
Et aussi que je suis idiot de croire que cela va me servircar, au final, des examens idiots vont essayer de me dire que je suis bon ou mauvais.
Mark
Les sons du silence

Il y a certains moments quotidiens qui durent à l'infini. Avec la famille, les amis ou seul, tout simplement. Chaque jour, tous les mois ou les années bissextiles.
Chez nous, c'est les vendredi soir, de décembre à mars. En général vers neuf heure.
On est tous les cinq dans la voiture, mon père conduit, ma mère à la place du passager. Et nous trois, entassés sur la banquette arrière avec nos sacs. A la radio, il y a "drôle d'histoire" l' émission de la RSR. On écoute, les cinq, sans un bruit. Parfois, l'un de nous s'endort, mais il y a toujours quelqu'un pour écouter les histoires racontées par cette femme dont je ne connais que la voix entrecoupée par les grésillement. La route grise et blanche s'étire sous nos yeux dans le noir, parsemée des feux arrière des voitures devant nous. Soudain, la route se fait plus sillonneuse et les arbres blanchissent. Et si on sent la voiture freiner, c'est sûrement qu'un lièvre ou un chevreuil traverse tranquillement la route. On est bientôt arrivé. Et quand finalement le bourdonnement du moteur disparait complètement pour laisser place au silence de la montagne, chacun ouvre sa portière et sort de la voiture, encore tout engourdi par la semaine qui vient de se terminer, et inspire une première bouffée de liberté.
Sophie
Depuis que j'ai cinq ans...
Depuis que j'ai cinq ans, cela fera donc neuf ans cette année, je prends des cours de danse.
Apprenant toujours plus de mouvements et rajoutant toujours plus de styles, Jazz, Classique, Hip hop
N'oubliant pas l'Orientale, ma passion a été en grandissant et grandit toujours. Mais ceux qui me connaissent bien ne
Se gêneront pas de vous dire que ma deuxième passion est tout aussi dévorante, qu'elle me prend autant de temps
Et que j'en parle si souvent, mais cela, c'est une toute autre histoire...
Fanny
Photo | Valentin
Une passion
Chanter permet de m’évader.
Chanter pour mieux tout surmonter.
Chanter me fais vibrer.
Chanter me laisse m’exprimer.
Chanter sois même son vécu.
Chanter, plus qu’un plaisir.
Chanter, la passion de ma vie.
Cette image n’est pas protégée par un droit d’auteur
Fiona
Passion
Ola dans les gradins,
Oh oui, du respect tu en auras,
Tu ne pourras plus t’arrêter,
Ballon au pied,
Avec les mains tu seras sanctionné,
L’esprit sera ta force,
Lis le mot en couleurs et tu liras le mot clé.
Alexandre R
Blizkrieg, mauvaise vue et gâteau d'anniversaire
Il est vrai que ma grand-mère est un personnage quelque peu particulier sur certains points.
J'ai donc pris le bus soixante à Bellevaux, c'est là que j'habite, tout près de l'arrêt du bus. Avant d'attendre le bus, il m'a fallu attendre car il avait du retard. Je me suis donc assise par-terre, il n'y a pas de banc sur cet arrêt de bus... enfin si, mais il est un peu plus loin et je ne voudrais pas rater le bus.
Quand je suis arrivée chez ma grand-mère, j'ai sonné à la porte. J'aime bien cette sonnette, elle fait le même bruit qu'une alarme de sous-marin et un phare rouge s'allume au-dessus de la chaise à bascule de grand-mère.
D'habitude, elle ne traine pas pour ouvrir la porte, mais là, ça devenait long. Alors j'ai sonné encore une fois et j'ai caressé Bulldozer, le chat noir. Avant, grand-mère avait deux chats, Bulldozer et Blizkrieg, mais Blizkrieg est mort écrasé par une voiture en courant après une sourie. Je me souviens de ce jour horrible, quand grand-mère à crié pleins d'insultes que je ne connaissais pas au conducteur. Elle en sait des choses, ma grand-mère.
Mais aujourd'hui, elle n'a pas ouvert la porte, alors je suis entrée avec le chat. J'ai demandé s'il y avait quelqu'un, mais personne n'a répondu. J'ai poussé la porte de la cuisine et j'ai poussé un horrible cris.

Hélène
Un moment en famille

- Dis, Papa chéri...
- Oui?
- Je peux avoir un chien. Steuplé, steuplé...
- Tu sais Jenni, un chien, il faut le promener...
- Oui je sais... Alexia, touche pas à ça!
- Il faut le brosser...
- Aucun problème!
- Jenni, tu m’fais une couette ou un chignon, ou non, deux couettes ou un palmier.
- Il faut jouer avec lui...
- Je lui donnerai une de mes peluches... Ma DS! lâche ça!
- S’assurer qu’il mange bien...
- Je remplirai la gamelle... Hé! c’est mon croissant.
- Tu me mets quelques barrettes? Jenni, tu peux me maquiller comme une princesse?
- Stop! C’est bon, ça ira. Je veux plus de chien! J’ai déjà assez de boulot avec une soeur!
Jennifer
Anniversaire
C’est plus qu’un jour,
Un peu trop court,
C’est du bonheur,
Plein le cœur,
Que nous offrent les amis,
Venus des quatre coins du pays,
La famille aussi compte beaucoup,
Elle nous donne un peu près tout,
Elle nous offre plein de cadeaux,
Chaque année encore plus beaux.
C’est un jour entier,
Où le téléphone n’arrête pas de sonner,
Le facteur amène plein de courrier,
Des lettres qu’on reçoit chaque année.
Il y aussi un gros gâteau,
Avec des bougies qui le font encore plus beau.
Tout ça pour un souvenir,
Qui ne peut pas finir,
On s’en rappelle une fois par an,
Car ça nous touche tellement,
De savoir qu’il y a des années,
Cet enfant que tu es toujours est né.
Audrey
Oh si seulement
Oh si seulement.

Mathilde
Les souvenirs
des bons et des mauvais.
On a des souvenirs heureux,
vécus seuls ou à deux.
Des odeurs qui rappellent l'enfance ou les vacances.
Des évènements mémorables
qu'on est pas capables,
d'éliminer de nos pensées.
On a aussi des souvenirs tristes,
des deuils à surmonter
ou des erreurs à assumer.
Dans la vie il y a des pleurs, des rires.
Donc les souvenirs peuvent blesser ou faire sourire.
Céline P
Déception
Mais aujourd'hui je me suis trompée !
Je ne crois plus aux princes charmants,
Ce ne sont que des êtres perfides et méchants.
Les larmes coulent le long de mes joues,
Où j'en suis, je ne sais plus du tout.
A-t-il fait de moi son jouet ?
Je ne sais plus quoi en penser.
Il m'a dit qu'il me comblerait de bonheur,
A la place il fait couler mes pleurs...
Je pensais que c'était un garçon sérieux,
Et qu'ensemble on serait heureux...
Mais apparemment il m'a menti,
Il n'est pas aussi gentil qu'il le dit.
Je ne sais plus quoi faire,
Sans lui j'ai perdu mes repères...
Fiona
Mon enfance
Étais celle où je n'avais aucun souci.
Où tout était merveilleux et joyeux.
Celle où je ne savais pas pourquoi,
La vie était faite de malheurs.
La période où j'ignorais,
que la haine et la violence existaient.
Quand j'avais cinq ans,
je rêvais au prince charmant.
Les câlins sur les genoux et les goûters au nutéla.
Les dessins animés au petit matin,
quand les parents n'étaient pas là.
Le monde paraissait très grand,
Quand j'étais enfant.
Ana
Si j’avais ce don subtil
John Howe
Si j’avais ce don subtil
Si j’étais assez habile
Si je savais illustrer
Chaque rêve chaque pensée
Si j’avais cent paysages
Cent ciels et cent visages
Des princesses amoureuses
Des créatures monstrueuses
Qui jaillissent de ma main
Sur du papier à dessein
Si de mes doigts assurés
Tout un monde apparaissait
Des mers de peinture à l’eau
Des fleuves tracés au pinceau
Si je mélangeais les couleurs
Comme une palette de bonheur
Alors je dessinerais sans cesse
Dans une infinie allégresse
Céliane
LHC
Ces trois lettres ne vous diront surement rien mais, pour moi, elles veulent dire beaucoup.
LHC veut dire: Lausanne Hockey Club.
Comme vous l’aurez deviné, c’est une équipe de hockey sur glace.
Cela fait 1 an, 1 an que je vais, pratiquement, à tous les matchs avec mon écharpe autour du cou.
Je n’aime pas le LHC juste parce qu’ils sont forts!
Bien sûr, ça fait plaisir quand ils marquent et gagnent mais ce n’est pas la principale raison. Il y a aussi l’ambiance qu’ils émettent dans la patinoire, les supporters qui applaudissent tous ensemble, le suspense dans les matchs importants, ...
Le hockey ce n’est pas juste des beaux garçons qui patinent derrière un puck mais un esprit, une mentalité!
Je ne saurai décrire l’amour que j’ai pour ce club!
Alyssia
Quotidiennement

Il s’ lève. Il est 6h du mat'. Il y a 4h, il était en train de traîner dans le square avec les potos.
Un banc, une garrot et une zic de rap étaient leurs compagnons.
Lundi, c’est jour de cours. Il rassemble vite son bordel qu’il entasse dans son eastpack. Il mange vite fait quelque chose puis s’habille, un peu de gel pour avoir l’air beau gosse. Il arrive dans la cour, il s’pose et dort encore 5 minutes. Il a son 2ème réveil qui sonne, alors il monte en cours, sert la main du prof et va s’asseoir penaud à sa place les yeux fixés sur l’horloge pendant toute la matinée. Ouf, récré, il y g,. 20 minutes d’air. Il a aussi grave la dalle alors il commence à mendier vers les riches en chocolats, en crêpes, en gaufres, en bonbons, en sandwichs. Drinnnng sonnerie encore 1h30 à tenir. Manque de bol, il reçoit son test de la semaine passée. Ouais celui qu’il avait bien foiré. C’est son tour, la prof s’approche de lui comme si c’était sa dernière heure et là il tourne les pages de son test après l'avoir reçu. Comme d’habitude 2, le chiffre qu’il redoute le plus à l’école. Il aurait envie d’avoir le pouvoir de remonter le temps pour corriger les erreurs de son test, mais ceci est impossible l’ami. Le pire c’est qu’il devra le dire à ses vieux. À 12h, il court chez lui manger parce que ça creuse tout ça!
14h, il doit de nouveau y aller alors là, évidemment il y va moins speed. 1h30 à écouter le ronronnement du prof en bruit de fond. Bizarrement pour y retourner, il y court pas à la maison car il sait qu’il y aura son père qui fait que de boire et qui va lui gueuler dessus et c’est pas la célèbre phrase « craint rien croit seulement » qui le ferra aller plus vite à la baraque. Il avait raison. Il s’est fait engueulerr. Il appelle son crew et se rassemblent dans le square, fument, jouent au basket en espérant un jour jouer sur le parquet des 76ers. Tôt ou tard il sait qu’il devra aller à la casa où comme d'hab' il mangera, se douchra, regardera la télé et ira au pieux !
Voilà une journée ordinaire pour notre ami.
Vous semble-t-elle vraiment ordinaire ?
Naïm Matt
Personne ne sera épargné...
Je ne voulais pas te voir t’envoler,
Je la voyais grandir,
Je la voyais étendre son empire,
Je te voyais souffrir,
Je te voyais dépérir…
Tenu en vie par de simples machines
Sans même avoir pris de la cocaïne…
Je ne te voyais plus sourire,
Tu avais perdu tout plaisir,
Tu ne pouvais plus te battre,
Ta vie devenait un massacre...
Regarder passer les heures,
La voir te ronger de l’intérieur,
Je ne la connaissais pas,
Mais je la voyais en toi…
Je la voyais dans tes larmes,
Je la voyais dans tes cris,
Je la voyais dans ta souffrance,
Au moins maintenant que tu es parti,
Elle n’est plus avec toi,
Elle t’a enfin laissé,
Mais elle recommencera…
… Personne ne sera épargné !
Pauline
Le bruit
Quand un bruit retentit.
Surprise malgré moi,
Je cherche qui l'envoi.
On dirait du tonnerre,
Je regarde par la fenêtre.
Il pleut beaucoup,
Des feuilles partout,
S'éparpillant
À chaque coup de vent.
Evidemment c'est lui,
Qui fait tant de bruit.
Audrey
C'est la nuit
Il pleut.
Je marche dans la rue.
Mais je ne vois pas la pluie.
Car il fait nuit.
Une voiture arrive.
Ses phares brillent.
Pendant quelques instants, je vois les impacts des gouttes d'eau sous la lumière de ses phares.
...
Puis plus.
Car la voiture est partie.
Et que c'est la nuit.
Robin
2 Décembre 2030
Je l’attends depuis un mois.
D’habitude elle vient nous voir,
Un vendredi soir.
Car je l’ai observée,
Ces dernières années.
Mais elle ne court pas les rues
Je pense qu’elle ne viendra plus.
Les gens ne font plus attention,
Car ils ont d’autres passions.
La nature et eux,
Cela fait deux !
Alors, elle s’en va doucement,
Sans laisser de glaçons
J’espère qu’elle arrivera
Dans moins d’un mois,
Car Noël sans elle,
Ce n’est pas une fête !
Audrey
La neige ne tombe pas !
Et pourtant la neige ne tombe pas…
Cette neige était tant désirée et attendue,
Que cela me rend profondément triste et déçue !
Chaque matin, je vais regarder
Si la neige est, peut-être, tombée.
Mais chaque matin, bien sûr, il n'y a rien
Et je me dis que ce sera pour demain!
Roxane
Lui...
Avec ses grands yeux verts, il me regardait, non pas de travers.
Ses cheveux bruns brillaient et moi je fondais.
Il ne dit rien.
Difficile de l'embrasser, sa grandeur m'empêchait de l'approcher.
Sa silhouette magnifique se rapprochait d'un monde magique.
Je voulais le serrer dans mes bras, trop timide je n'osa pas.
Je ne dis rien non plus.
Sa cicatrice sur son front, faisait de lui un homme bon.
Il prenait soin de son apparence, je sentais une bonne odeur d'encens.
Tout d'un coup, il ouvrit sa bouche mais ce n'était que pour un bâillement louche.
Alyssia
Je me suis approchée de toi
J’ai tout de suite compris que j’allais t’aimer…Rien qu’en regardant tes yeux…
Mais si seulement, Si seulement dans tes yeux J’aurais vu là ou j’en serais actuellement…
Alors oui, j’en ai rêvé de toi, nuit et jour sans m’arrêter…
C’est vrai que d’un côté je voyais parfaitement qu’entre nous ça ne marchera jamais parce que tu as préféré un autre choix…
Oui parce que tu as préféré traîner avec des bimbos et me rendre entièrement jalouse sans même t’en rendre compte…
Tu as voulus te la jouer en mode gamin et tu m’ignorais et tu m’ignores encore plus, de jour en jour…
Comme si je n’existais plus mais pourtant…
Je suis si près de toi…
Je revois encore le brun de tes yeux… Et le destin que je pensais avoir à l’intérieur d’eux…
Oui mais maintenant je retombe de haut parce que j’ai espéré, j’ai gardé espoir et maintenant je m’écroule et impossible de me relever, j’ai trop vécu déjà…
Dans mes rêves, j’y ai cru, dans mon cœur, je l’est entendu, mais maintenant tout est rompu…
Regarde maintenant ou j’en suis… Chaque jour devant toi, chaque jour derrière toi à t’affronter…
À affronter ton regard qui m’a trop souvent fait rêver…
À me dire stop, à nier mon amour envers toi, à nier ce que mon cœur exprime… Je me sens seul, je me sens délaissée, nouée et tellement déprimée…
Mais je n’arrive pas à nier…
Peut-être trop rêver de toi,de ta voix, de ton charme, de tes yeux, de toi tout simplement.
Se sentir seule et mal-aimée, se sentir in désirée…
Je n’ai pas le droit de te dire ce que je pense parce que tu ne veux pas de moi…
Tu m’as jugé trop vite, tu m’as jugé avec les autres, avec tout ce qu’ils racontent sur moi…
Fiona
Une soirée inoubliable !
Au Maroc, dans une petite ville colorée, les indigènes se retrouvent en fin de journée, sur la place principale. C'est avec émerveillement que je me promène et regarde les diverses activités qui se trouvent sur cette place.

Charmeurs de serpents, dresseurs de petits singes, musiciens traditionnels et même des charlatans vendant des cornes de gazelles et jambes d'autruches pour soigner quelconques maladies! Plus loin, mes pas finissent par m'amener vers le seul jeu proposé dans cette foule. Un jeu tout simple, où l'on doit attraper des bouteilles de boissons sucrées avec une canne à pêche artisanale. A l'extrémité de celle-ci se trouve un anneau qu'il faut adroitement placer autour du goulot de la bouteille. Une trentaine de personnes, femmes enfants et hommes sont regroupés en cercle. J'essaie. Des joueurs rigolent avec moi. Certaines personnes me donnent des astuces pour tenir ma canne ou pour attraper cette satanée bouteille. C'est très gentil de leurs part, mais, je dois avouer: cela ne m'a pas beaucoup aidée! Quelques personnes s'arrêtent pour voir ce qui se passe. Ce jeu demande énormément de patience et d'adresse; ce n'est pas une mince affaire mais un grand moment de bonheur! Après vingt minutes d'essais infructueux je cède ma place à quelqu'un d'autre.
Ce jour-là m'a rappelé qu'avec peu de chose nous pouvons beaucoup nous amuser et rigoler. Pas besoin de jeux électroniques.
Nora
Simplement moi
Maintenant qu'on se connaît mieux qu'avant,
je peux te dire mes sentiments.
Il m'as fallu du temps pour comprendre que c'était toi.
Quand tu me dis que je suis pas assez bien pour toi,
mon coeur part en éclats.
J'ai fait mon choix il reste plus que toi.
Si seulement tu me laissais une chance,
je pourrais te montrer tous ce qu'il y a en moi.
Je peux pas faire semblant de pas t'aimer.
A chaque fois que je te vois, il me faut trouver la force de te dire.....
Ce fameux mot.
Je sais que tu comprends que c'est pour toi.
Que tu sais que je t'aime.
Mais oser te le dire, parait impossible.
Car je sais la réponse.
Et ça me décourage.
~ JE T'AIME.
(Et oui, encore une texte qui parle d'amour,
mais en ce moment je pense que à ça.)
Fiona
Photo | Love-histoiresde-amour
L’AMOUR
Sentiment de plaisir, de joie
Ne faire plus qu'un avec la personne que l'on aime.
Pouvoir compter sur cette personne nuits et jours,
Dans les hauts et les bas.
Moi, c'est ce que je voudrais faire avec toi.
Que tu me prennes dans tes bras.
Que tes lèvres viennent se poser sur les miennes.
Et si pour une fois, je te disais se que je recent.
Me jeter dans tes bras sans avoir peur de tomber de haut.
Quand je te vois arriver, mon coeur se tourne et retourne,
de gauche à droite, de haut en bas.
Les battements de mon coeur commencent à accélérer.
Ca me donne envie de t'embrasser.
Moi je vous dis que c'est l'amour, juste l'amour.
Je vais bientôt me lancer, respirer, et te l'avouer,
t'avouer que je t'aime.
......(A*).....
Fiona
Le Matin
Traverser un champ trempé tout en évitant les limaces ... il faut le vivre pour comprendre ! Arrivé à l'école, il y a les débuts cool avec des profs autant mal réveillés que toi ou l'allemand. Déja le matin quand on me parle français, je comprends pas grand chose, alors en allemand je peux pas et quand je suis en classe, je regarde autour de moi, et j'observe mes 13 camarades qui ont vécu ou presque, la même histoire que la mienne.
Valentin
Un univers de petits riens
Un verre de cristal
Objet des plus banal
Au loin le soleil
Tous les jours pareil
Qui s’associent pour
Faire apparaître l’amour.
La nature est bien faite
A vos plumes poètes
L’imagination sans fin
Créez jeunes écrivains
Sur le monde autour de vous
Inventez milles textes fous !
Céliane
Fondations

La plante grandit. Ses feuilles se développent et se multiplient. Elle rampe. Elle se déploie toujours plus. Elle s’avance, tel un espion, elle s’étend, tel un envahisseur. Elle fonde le royaume de la courge.
Marie B