Les compléments de temps, lieu, cause...
A l’école
à neuf heures ce matin,
parce qu’il n’avait pas mangé
Dans sa chambre
pour son anglais
à 16 heures
A midi
proche de son armoire
parce qu’il n’en avait pas d’autre
A ce moment-là
vers l’arrêt de bus
parce qu’il a glissé
Quand son ami a sonné à la porte
parce qu’il y avait des balançoires
devant le bâtiment
Le soir
quand la pluie se déchaîne
pendant toute une semaine
Un samedi matin tôt
à l’hôtel
parce qu’ils devaient se marier
Le matin de Pâques
au Mont-sur-Lausanne
à cause de son réveil
Lundi midi
à la FNAC
parce qu’il le voulait
A l’école
à neuf heures ce matin,
parce qu’il n’avait pas mangé
Dans sa chambre
pour son anglais
à 16 heures
A midi
proche de son armoire
parce qu’il n’en avait pas d’autre
A ce moment-là
vers l’arrêt de bus
parce qu’il a glissé
Quand son ami a sonné à la porte
parce qu’il y avait des balançoires
devant le bâtiment
Le soir
quand la pluie se déchaîne
pendant toute une semaine
Un samedi matin tôt
à l’hôtel
parce qu’ils devaient se marier
Le matin de Pâques
au Mont-sur-Lausanne
à cause de son réveil
Lundi midi
à la FNAC
parce qu’il le voulait
Chaque jour
vers le ciel
grâce à son imagination
Pendant le cours de français
à 8 heures
parce qu’il était allumé
Près de chez lui
à 13 heures 30
parce qu’il n’y arrivait pas
Chaque jour
vers le ciel
grâce à son imagination
Pendant le cours de français
à 8 heures
parce qu’il était allumé
Près de chez lui
à 13 heures 30
parce qu’il n’y arrivait pas
Chaque jeudi matin tôt
dans la forêt
parce qu’il voit un chevreuil
Tous les samedis soir
devant le bar
parce qu’il avait trop bu
Le 20 février 2014 à 15 heures 17
dans les champs en face de l’école
parce que je regarde par la fenêtre
Pendant qu’elle regardait par la fenêtre
chez lui
lorsque les nuages formaient des formes
A seulement minuit
en le faisant
ayant réussi
Juste après l’accident
dans un lit
parce qu’il souffrait le martyr
Quand le soleil brillait
dans son jardin
en buvant un cocktail
Chaque vacance
à côté de la piscine
parce qu’il court
Quand le bruit se fit entendre
dans la salle de classe
parce qu’Elodie tomba
Vers minuit
chez la vieille dame
à cause de la folle
Quand il avait faim
à côté de son appartement
pour nourrir ses enfants
Dans son jardin
pendant plus d’une heure
parce qu’il dormait dans un arbre
A la bibliothèque
tard le soir
parce que le ciel s’assombrissait
En fin d’après-midi
sur un banc
parce que mon frère s’est fait très mal
En pensant à lui
parce qu’elle allait dormir
vers une heure du matin
Dans une cuisine
quand il préparait à manger
parce qu’il avait un couteau
Au milieu de la mer
à cause du courant
quand il lui a dit au revoir
Pendant les cours
en le disant
grâce à lui
Au crépuscule
sur une plage
parce qu’il faisait chaud
Dehors
parce que ses parents n’étaient pas là
à la tombée de la nuit
En arrivant
ayant gagné le match
à l’aéroport
Depuis la semaine dernière, es pruniers du verger font leurs belles fleurs blanches. On ne pense plus à la neige d’hier. Soudan, l’employé communal qui habite à côté de chez moi passe relever les compteurs. On a consommé, cette hiver, une quantité d’eau impressionnante. On s’assied à l’extrémité du muret pour causer des affaires locales. Dans les arbres, parce que le soleil brille, on entend une ribambelle d’oiseaux qui chantent sans discontinuer.
à neuf heures ce matin,
parce qu’il n’avait pas mangé
Dans sa chambre
pour son anglais
à 16 heures
A midi
proche de son armoire
parce qu’il n’en avait pas d’autre
A ce moment-là
vers l’arrêt de bus
parce qu’il a glissé
Quand son ami a sonné à la porte
parce qu’il y avait des balançoires
devant le bâtiment
Le soir
quand la pluie se déchaîne
pendant toute une semaine
Un samedi matin tôt
à l’hôtel
parce qu’ils devaient se marier
Le matin de Pâques
au Mont-sur-Lausanne
à cause de son réveil
Lundi midi
à la FNAC
parce qu’il le voulait
A l’école
à neuf heures ce matin,
parce qu’il n’avait pas mangé
Dans sa chambre
pour son anglais
à 16 heures
A midi
proche de son armoire
parce qu’il n’en avait pas d’autre
A ce moment-là
vers l’arrêt de bus
parce qu’il a glissé
Quand son ami a sonné à la porte
parce qu’il y avait des balançoires
devant le bâtiment
Le soir
quand la pluie se déchaîne
pendant toute une semaine
Un samedi matin tôt
à l’hôtel
parce qu’ils devaient se marier
Le matin de Pâques
au Mont-sur-Lausanne
à cause de son réveil
Lundi midi
à la FNAC
parce qu’il le voulait
Chaque jour
vers le ciel
grâce à son imagination
Pendant le cours de français
à 8 heures
parce qu’il était allumé
Près de chez lui
à 13 heures 30
parce qu’il n’y arrivait pas
Chaque jour
vers le ciel
grâce à son imagination
Pendant le cours de français
à 8 heures
parce qu’il était allumé
Près de chez lui
à 13 heures 30
parce qu’il n’y arrivait pas
Chaque jeudi matin tôt
dans la forêt
parce qu’il voit un chevreuil
Tous les samedis soir
devant le bar
parce qu’il avait trop bu
Le 20 février 2014 à 15 heures 17
dans les champs en face de l’école
parce que je regarde par la fenêtre
Pendant qu’elle regardait par la fenêtre
chez lui
lorsque les nuages formaient des formes
A seulement minuit
en le faisant
ayant réussi
Juste après l’accident
dans un lit
parce qu’il souffrait le martyr
Quand le soleil brillait
dans son jardin
en buvant un cocktail
Chaque vacance
à côté de la piscine
parce qu’il court
Quand le bruit se fit entendre
dans la salle de classe
parce qu’Elodie tomba
Vers minuit
chez la vieille dame
à cause de la folle
Quand il avait faim
à côté de son appartement
pour nourrir ses enfants
Dans son jardin
pendant plus d’une heure
parce qu’il dormait dans un arbre
A la bibliothèque
tard le soir
parce que le ciel s’assombrissait
En fin d’après-midi
sur un banc
parce que mon frère s’est fait très mal
En pensant à lui
parce qu’elle allait dormir
vers une heure du matin
Dans une cuisine
quand il préparait à manger
parce qu’il avait un couteau
Au milieu de la mer
à cause du courant
quand il lui a dit au revoir
Pendant les cours
en le disant
grâce à lui
Au crépuscule
sur une plage
parce qu’il faisait chaud
Dehors
parce que ses parents n’étaient pas là
à la tombée de la nuit
En arrivant
ayant gagné le match
à l’aéroport
Depuis la semaine dernière, es pruniers du verger font leurs belles fleurs blanches. On ne pense plus à la neige d’hier. Soudan, l’employé communal qui habite à côté de chez moi passe relever les compteurs. On a consommé, cette hiver, une quantité d’eau impressionnante. On s’assied à l’extrémité du muret pour causer des affaires locales. Dans les arbres, parce que le soleil brille, on entend une ribambelle d’oiseaux qui chantent sans discontinuer.