Cocktail | Laïus, topo et cliché
Argumentation
Un article de Tristan Pannatier
vendredi 10 octobre 2013
Le «droit» de choisir le moment de sa mort
TRISTAN PANNATIER
Résumé
Pendant longtemps, l’homme s’est employé, grâce à la médecine, à retarder toujours plus le moment de sa mort. Il l’a fait parfois avec un tel entêtement qu’on en est venu à parler à ce propos d’«acharnement thérapeutique ». Dans ce contexte, la peur de la mort a parfois cédé la place à la peur de se voir refuser «le droit de mourir» ; c’est ainsi qu’on a commencé à parler d’un tel droit, la mort ayant été envisagée jusque-là plus comme une fatalité que comme un droit subjectif. Invoquer un droit à mourir revient à revendiquer une liberté : celle de choisir le moment et la manière de sa mort.
Mais une telle liberté existe-t-elle juridiquement? Et si oui, avec quelles conséquences? C’est là l’objet de cet exposé.
La suite c’est ici
TRISTAN PANNATIER
Résumé
Pendant longtemps, l’homme s’est employé, grâce à la médecine, à retarder toujours plus le moment de sa mort. Il l’a fait parfois avec un tel entêtement qu’on en est venu à parler à ce propos d’«acharnement thérapeutique ». Dans ce contexte, la peur de la mort a parfois cédé la place à la peur de se voir refuser «le droit de mourir» ; c’est ainsi qu’on a commencé à parler d’un tel droit, la mort ayant été envisagée jusque-là plus comme une fatalité que comme un droit subjectif. Invoquer un droit à mourir revient à revendiquer une liberté : celle de choisir le moment et la manière de sa mort.
Mais une telle liberté existe-t-elle juridiquement? Et si oui, avec quelles conséquences? C’est là l’objet de cet exposé.
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