Les punitions
03 avril 2014 Rangé dans : It's so lucky
La punition est une action exercée par un personnage que nous nommerons l’Autorité sur un second personnage que nous nommerons le sujet.
Le but de la punition est de s’assurer que le sujet respecte la volonté de l’Autorité en ne répétant pas une action que nous appellerons X et que l’Autorité considère comme une faute.
Historiquement la méthode de la punition a été utilisée depuis les temps préhistorique avec plus ou moins de réussite. Les cas sont nombreux où c’est finalement le sujet qui s’est révolté.
Le fonctionnement théorique peut se résumer dans les six étapes suivantes :
1.- Le sujet accompli une action nommée X
2.- L’Autorité découvre X
3.- L’Autorité n’apprécie pas X, pour une raison indéterminée
4.- L’Autorité ne veut plus que le sujet répète l’action X
5.- Pour cela l’Autorité décide d’utiliser une méthode ancestrale nommée la punition et dont Pavlov (prix Nobel de médecine en 1904) a décrit le fonctionnement en expérimentant avec des chiens.
6.- L’Autorité pense qu’une certaine action que nous appellerons Y est désagréable aux yeux du sujet. Elle va donc obliger le sujet à effectuer Y dès que l’action X sera effectuée. Le cerveau du sujet va associer X à Y. Le sujet va penser que X lui fait du mal car Y étant la conséquence de X, lui fait du mal. Il va donc en théorie éviter à l’avenir de produire l’action X pour ne plus subir Y à l’avenir.
Le système fonctionne en théorie mécaniquement. Il nécessite un excellent système de surveillance pour le point 2 ci-dessus. Son principal désavantage est que pour certains sujets récalcitrants ils vont quand même faire X en évitant que l’Autorité ne s’en aperçoive ou ne puisse pas réagir.
La punition est un système facilement applicable et qui ne nécessite pas de réflexion ou de compétence particulière de la part de l’Autorité. La punition renforce le pouvoir de l’Autorité en renforçant la peur du sujet envers elle. L’effet de bouche à oreille permet à cette peur de se répandre rapidement vers d’autres sujets.
Si ce système fonctionne bien avec des animaux comme les chien avec les humains il présente un certain nombre de difficultés liées à l’intelligence et la capacité de réflexion d’un sujet humain.
Le but de la punition est de s’assurer que le sujet respecte la volonté de l’Autorité en ne répétant pas une action que nous appellerons X et que l’Autorité considère comme une faute.
Historiquement la méthode de la punition a été utilisée depuis les temps préhistorique avec plus ou moins de réussite. Les cas sont nombreux où c’est finalement le sujet qui s’est révolté.
Le fonctionnement théorique peut se résumer dans les six étapes suivantes :
1.- Le sujet accompli une action nommée X
2.- L’Autorité découvre X
3.- L’Autorité n’apprécie pas X, pour une raison indéterminée
4.- L’Autorité ne veut plus que le sujet répète l’action X
5.- Pour cela l’Autorité décide d’utiliser une méthode ancestrale nommée la punition et dont Pavlov (prix Nobel de médecine en 1904) a décrit le fonctionnement en expérimentant avec des chiens.
6.- L’Autorité pense qu’une certaine action que nous appellerons Y est désagréable aux yeux du sujet. Elle va donc obliger le sujet à effectuer Y dès que l’action X sera effectuée. Le cerveau du sujet va associer X à Y. Le sujet va penser que X lui fait du mal car Y étant la conséquence de X, lui fait du mal. Il va donc en théorie éviter à l’avenir de produire l’action X pour ne plus subir Y à l’avenir.
Le système fonctionne en théorie mécaniquement. Il nécessite un excellent système de surveillance pour le point 2 ci-dessus. Son principal désavantage est que pour certains sujets récalcitrants ils vont quand même faire X en évitant que l’Autorité ne s’en aperçoive ou ne puisse pas réagir.
La punition est un système facilement applicable et qui ne nécessite pas de réflexion ou de compétence particulière de la part de l’Autorité. La punition renforce le pouvoir de l’Autorité en renforçant la peur du sujet envers elle. L’effet de bouche à oreille permet à cette peur de se répandre rapidement vers d’autres sujets.
Si ce système fonctionne bien avec des animaux comme les chien avec les humains il présente un certain nombre de difficultés liées à l’intelligence et la capacité de réflexion d’un sujet humain.
Alexandre